Œuvres complètes, Tom 12Verdière, 1818 - 576 |
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... arts , rassemblés , tourdi ; et uvelles et juriscon ileté ren- solu dans t devenu juge , le décis . La ille sen- e moins ; et l'a sociétés de Ra- it près cultivés avec émulation , s'éclairassent mutuelle- ment . Mais dans un climat où ...
... arts , rassemblés , tourdi ; et uvelles et juriscon ileté ren- solu dans t devenu juge , le décis . La ille sen- e moins ; et l'a sociétés de Ra- it près cultivés avec émulation , s'éclairassent mutuelle- ment . Mais dans un climat où ...
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... arts . Mais ce caractère de simplicité était lui - même pris dans les mœurs ; car les mœurs des Grecs étaient simples , si on les compare avec les nôtres . D'abord elles étaient plus libres et plus généra- lement populaires , par cela ...
... arts . Mais ce caractère de simplicité était lui - même pris dans les mœurs ; car les mœurs des Grecs étaient simples , si on les compare avec les nôtres . D'abord elles étaient plus libres et plus généra- lement populaires , par cela ...
Strona 17
... arts purement agréables , pour y appliquer une attention sérieuse ; le caractère de son génie n'était pas la délicatesse ; et si elle montra un discernement juste et fin , ce ne fut qu'en fait d'éloquence , le seul des talents de l ...
... arts purement agréables , pour y appliquer une attention sérieuse ; le caractère de son génie n'était pas la délicatesse ; et si elle montra un discernement juste et fin , ce ne fut qu'en fait d'éloquence , le seul des talents de l ...
Strona 18
... Art d'Ai- mer était écrit . Virgile et Ovide , Tacite et Pétrone , Sénèque et Juvénal , parlaient la même langue , et non pas le même langage . Horace était sévère et chaste le matin , licencieux le soir , selon qu'il écrivait pour le ...
... Art d'Ai- mer était écrit . Virgile et Ovide , Tacite et Pétrone , Sénèque et Juvénal , parlaient la même langue , et non pas le même langage . Horace était sévère et chaste le matin , licencieux le soir , selon qu'il écrivait pour le ...
Strona 19
... art d'éluder , de voiler , de dissimuler , de rendre l'expression timide et modeste , lors même que la pensée ne l ... arts d'agrément , une influence continuelle sur l'es- prit de société , et un empire presque absolu sur l'opinion et ...
... art d'éluder , de voiler , de dissimuler , de rendre l'expression timide et modeste , lors même que la pensée ne l ... arts d'agrément , une influence continuelle sur l'es- prit de société , et un empire presque absolu sur l'opinion et ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
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Popularne fragmenty
Strona 419 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Strona 208 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Strona 420 - Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Strona 415 - De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple^ obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Strona 420 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah! combien frémira son ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Strona 491 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Strona 200 - Dans le fond des forêts allaient-ils se cacher? Hélas! ils se voyaient avec pleine licence. Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux. Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Strona 416 - Entre le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon fils, que caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Strona 200 - J'attendais le moment où j'allais expirer; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste plaisir; Et sous un front serein déguisant mes alarmes, II fallait bien souvent me priver de mes larmes.
Strona 208 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.