Histoire de la vie et des ouvrages de J. de La FontaineA. Nepveu, 1824 - 638 |
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... porte , dit La Fontaine , le public veut que je << me batte avec toi . » Poignant , après avoir résisté inutilement , tire son épée par complaisance , se rend aisément maître de celle de La Fontaine , et lui demande de quoi il s'agit ...
... porte , dit La Fontaine , le public veut que je << me batte avec toi . » Poignant , après avoir résisté inutilement , tire son épée par complaisance , se rend aisément maître de celle de La Fontaine , et lui demande de quoi il s'agit ...
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... porte ses pas , Tâchez de l'adoucir , fléchissez son courage ; Il aime ses sujets , il est juste , il est sage ; Du titre de clément rendez - le ambitieux : C'est par là que les rois sont semblables aux dieux . Du magnanime Henri qu'il ...
... porte ses pas , Tâchez de l'adoucir , fléchissez son courage ; Il aime ses sujets , il est juste , il est sage ; Du titre de clément rendez - le ambitieux : C'est par là que les rois sont semblables aux dieux . Du magnanime Henri qu'il ...
Strona 110
... porte à sa femme vient à l'appui de plusieurs autres passages de ses ouvrages qui nous apprennent que ce qu'il estimoit le plus dans les femmes , étoient les avantages dont elles tirent elles - mêmes le plus de vanité . " Dans une ...
... porte à sa femme vient à l'appui de plusieurs autres passages de ses ouvrages qui nous apprennent que ce qu'il estimoit le plus dans les femmes , étoient les avantages dont elles tirent elles - mêmes le plus de vanité . " Dans une ...
Strona 111
... qui nous conduisoit n'a- « voit pas la clef ; au défaut , je fus long - temps à " " La Fontaine , Lettres à sa femme , 3 , t . VI , p . 408 . › Ibid . , p . 417 . « < considérer la porte , et me fis conter LIVRE II . III QUATRIÈME LETTRE.
... qui nous conduisoit n'a- « voit pas la clef ; au défaut , je fus long - temps à " " La Fontaine , Lettres à sa femme , 3 , t . VI , p . 408 . › Ibid . , p . 417 . « < considérer la porte , et me fis conter LIVRE II . III QUATRIÈME LETTRE.
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Charles Athanase Walckenaer. « < considérer la porte , et me fis conter la ma- << nière dont le prisonnier étoit gardé . Je vous << en ferois volontiers la description ; mais ce sou- « venir est trop affligeant . Qu'est - il besoin que ...
Charles Athanase Walckenaer. « < considérer la porte , et me fis conter la ma- << nière dont le prisonnier étoit gardé . Je vous << en ferois volontiers la description ; mais ce sou- « venir est trop affligeant . Qu'est - il besoin que ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
adressée aimable aimoit amis amours auteurs avoient avoit ballade beau beauté Boileau Bussy-Rabutin c'étoit célébre Champmeslé charmes Château-Thierry Chaulieu Choisy cœur Colletet composé connoissance connoître cour d'Hervart D'Olivet d'Orléans dame date déja devoit écrits édit épître esprit étoient étoit fabuliste faisoit falloit femme fille Fontaine Fontaine avoit Fouquet François de Maucroix Furetière goût graces HIST Histoire de l'académie homme Ibid in-fol intitulé Jannart jeune l'académie françoise l'amour l'édit Lettres à divers littérature long-temps Louis Racine Louis XIV madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné madame de Thianges mademoiselle mari mariage Maucroix Mazarin Mémoires ment Molière monarque Muses n'avoit note OEuvres diverses ouvrages parler paroît passer Pellisson Pidoux pièces poëme poésie poëte Pouget Poussay pouvoit premier prince de Conti prose Psyché raison recueil de fables Sablière Saint-Évremond satire seroit seulement siècle sorte sujet sur-tout surintendant taine talent tion trouve trouvoit Walck
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Strona 190 - J'entends innocemment : sur son propre désir Quelque rigueur que l'on exerce, Encore y prend-on du plaisir. Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi ; Tu n'y seras pas sans emploi : J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Strona 572 - Tu te trompes assurément, mon cher ami, s'il est bien vrai, comme M. de Soissons me l'a dit, que tu me croies plus malade d'esprit que de corps. Il me l'a dit pour tâcher de m'inspirer du courage ; mais ce n'est pas de quoi je manque. Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie.
Strona 285 - Descartes, ce mortel dont on eût fait un dieu Chez les païens, et qui tient le milieu Entre l'homme et l'esprit ; comme entre l'huître et l'homme Le tient tel de nos gens, franche bête de somme...
Strona 230 - LES fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
Strona 8 - Le nœud d'hymen doit être respecté , Veut de la foi , veut de l'honnêteté Si par malheur quelque atteinte un peu forte Le fait clocher d'un ou d'autre côté , Comportez-vous de manière et de sorte Que ce secret ne soit point éventé : Gardez de faire aux égards banqueroute : Mentir alors est digne de pardon. je donne ici de beaux conseils, sans doute : Les ai-je pris pour moi-même? Hélas ! non.
Strona 271 - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux .m'offrent de doux objets ! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie ! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix:' En est-il moins profond, et moins plein de délices? Je lui voue au désert de nouveaux sacrifices. Quand le moment viendra d'aller trouver les morts, J'aurai vécu sans soins, et mourrai sans remords.
Strona 269 - J'ai quelquefois aimé : je n'aurais pas alors, Contre le Louvre et ses trésors, Contre le firmament et sa voûte céleste Changé les bois, changé les lieux Honorés par les pas, éclairés par les yeux De l'aimable et jeune bergère Pour qui, sous le fils de Cythère 2, Je servis, engagé par mes premiers serments.
Strona 232 - N'offrent jamais de vous que de nobles images. Je ne puis estimer ces dangereux auteurs Qui de l'honneur, en vers, infames déserteurs, Trahissant la vertu sur un papier coupable, Aux yeux de leurs lecteurs rendent le vice aimable.
Strona 140 - Ma foi, le jugement sert bien dans la lecture. A mon gré le Corneille est joli quelquefois.
Strona 457 - Je ne suis pas moins ennemi que vous, du faux air d'Esprit que prend un Libertin. Quiconque l'affectera, je lui donnerai la palme du ridicule. Rien ne m'engage à faire un livre, Mais la raison m'oblige à vivre En sage Citoyen de ce vaste Univers : Citoyen qui voyant un monde si divers. Rend à son auteur les hommages Que méritent de tels ouvrages.