leurs armes, leurs combats, 237. Pourquoi ils mangent leurs prison- AMESTRIS, mère de Xerxès. Inhumainement pieuse, I, 639. Amitié. Le fruit le plus parfait de la société, I, 195. Quatre espèces de lai- sons entre les hommes, auxquelles le nom d'amitié ne convient pas propre- ment, ibid. Amitié contre nature, fort en usage chez les Grecs : ce qu'en jugeoit Montaigne, 198. Idée de l'amitié la plus accomplie, 200. En quoi se résout la vraie amitié, 201. Idée des amitiés communes, 202. Dans une amitié parfaite, c'est à celui qui reçoit que celui qui donne est obligé, 203. L'amitié parfaite est indivisible, 204. Les amitiés ordinaires peuvent être Amour. Comment se guérit, au jugement de Cratès, I, 606. Combien cette passion a d'empire sur l'esprit de l'homme, 705 et suiv. Si les desirs que l'amour inspire aux hommes sont les plus violents, II, 122. Moyens dont on s'est servi pour les amortir, ibid. et suiv. Ses emportements bannis du mariage, et pourquoi, 287. Tout tend, parmi les hommes, à mettre en jeu cette passion, 290. Ce que c'est que l'amour, 319. Il rend l'homme ri- dicule et semblable aux bêtes, ibid. Ne doit point être condamné, puisqu'il nous est inspiré par la nature, 320. Parler discrètement de l'amour, c'est le rendre plus piquant, 323. L'amour des Espagnols et des Italiens, plus respectueux et plus timide, n'en est que plus agréable, ibid. L'amour doit être conduit par degrés et sans précipitation, 324. Pourquoi, en amour, les hommes ont tort de blâmer la légèreté et l'inconstance des femmes, 330. Pouvoir injuste que des amants favorisés s'attribuent sur leurs maîtresses, 335. Avantages qu'on pourroit retirer de l'amour dans un âge avancé, 341. Quel est l'âge auquel l'amour convient proprement et naturellement, 344. Amour conjugal. Doit être accompagné de respect, I, 225. Amours dénaturėes. Vrai moyen de les décréditer, I, 110. AMURAT. Immole six cents jeunes Grecs à l'ame de son père, I, 228. AMYOT (Jacques). Loué de ce que, dans sa traduction de Plutarque, il n'a pas francisé les noms latins, I, 338. Éloge de son style, 437. ANACHARSIS. Quel est, à son avis, le gouvernement le plus heureux, I, 328. ANAXAGORAS. Le premier philosophe qui ait reconnu que toutes choses ont été faites et sont gouvernées par un esprit infini, I, 630. ANAXARCHUS. Mis en pièces par le tyran Nicocréon; sa fermeté dans la dou- ANAXIMANDER. Son opinion sur la nature de Dieu, I, 630. Et sur celle de ANDRODUS. Par quelle aventure il échappa à la mort qu'il alloit subir, I, ANDRON, Argien. Traversoit la Libye sans boire, II, 587. ANGLOIS. Vœu fort particulier de quelques gentilshommes anglois : réflexions à ce sujet, II, 73. ANGUIEN. Voyez ENGHIEN. Animaux. Voyez Bêtes. ANTIGONUS. Comment se moque d'un poëte qui l'avoit appelé fils du Soleil, ANTIOCHUS. Dépouillé de ses conquêtes par une lettre du sénat romain, ANTISTHENES. Sa réponse à ceux qui lui reprochoient sa conversation avec ANTISTHENES OU ANTISTHENIUS, surnommé Hercule. Ce qu'il commandoit APOLLODORE, tyran de Potidée. Torturé par le souvenir de sa propre barba- Apparences. Dans la vie, le sage est déterminé par elles, I, 617 et suiv. Philo- Approbation publique. Pourquoi doit être recherchée, I, 785. ARACUS, amiral de Sparte, I, 119. ARCESILAS. Louable de ce qu'il savoit bien user de ses richesses, I, 276. Sa ARCHIAS, tyran de Thèbes. Périt dans une conspiration, pour avoir différé ARCHILEONIDE, mère de Brasidas. Pourquoi rejette l'éloge qu'on lui fait de Architecte. Courte harangue d'un architecte au peuple d'Athènes, I, 178. Du ARCHYTAS. Sa modération dans la colère, II, 108. Quelle aversion il avoit Areopage. Pourquoi ce vénérable sénat jugeoit de nuit, I, 700. ÁRÉTIN (Pierre). S'il mérite le nom de divin, I, 375. ARGENTERIUS (Jean Argentier), médecin, II, 181. ARGIPPÉES. Peuple qui vivoit en sûreté sans armes offensives, I, 768. ARIOSTE. A quel âge Montaigne cessa de prendre goût à ses ouvrages, I, 494. ARISTARCHUS. Ce qu'il disoit pour se jouer de la présomption de son siècle, ARISTIPPE. Sa réponse à celui qui lui disoit qu'il devoit aimer ses enfants, ARISTODEMUS, roi des Messéniens. Ce qui le détermine à se tuer, II, 267. ARISTOTE. Comment conduisit l'instruction d'Alexandre, I, 169 et suiv. Com- ARMÉNIE. Ses montagnes sont quelquefois toutes couvertes de neige, I, 259. Armoiries. Incertaines, I, 340. ARRAS. Étrange obstination de plusieurs de ses habitants, lorsqu'elle fut prise ARRIA, femme de Cécina Pœtus. Se poignarde elle-même pour encourager ARSAC (le sieur d'), frère de Montaigne, I, 231. ARTARXEXES. Comment adoucit la rigueur de quelques lois de Perse, I, 522. ARTIBUS, général de l'armée de Perse. Comment son cheval fut cause de sa ASIATIQUES. Pourquoi ils menoient en leurs guerres femmes et concubines ASINIUS POLLIO. Ce qu'il trouvoit à reprendre dans les Commentaires de ASSASSINS, peuple dépendant de la Phenicie. Comment ils croient gagner le ASSIGNI (le sieur d'), I, 25. ASSYRIENS. Comment ils domptoient les chevaux dont ils se servoient à la ASTAPA, ville d'Espagne. Avec quelle fureur ses habitants se jettent dans un ATALANTE. Par quel moyen elle fut vaincue à la course, II 256 et suiv. Ataraxie des pyrrhoniens. Ce que c'est, I, 613 et 719. Atheisme. Rarement établi dans l'esprit de l'homme comme un dogme sé- ATHENES. Comment elle étoit aimée des étrangers, II, 286. ATHENIENS. Leur superstition sur la sépulture des morts, cruelle et puérile, Athletes. Leur force est plutôt vigueur de nerfs que de cœur, I, 156 et suiv. ATLANTIDE, ile. Son étendue, I, 230. Ce ne peut être l'Amérique, 232. AUBIGNY (monsieur d') assiégeant Capoue, I, 28. AUFIDIUS. Sa mort, I, 70. AUGUSTE, Il veut se venger de Neptune après une tempête, I, 23. Comment AUGUSTIN (saint). Miracles attestés par lui, I, 191. Quel dommage c'eût été AURAT, ou plutôt DAURAT. Mis par Montaigne au rang des meilleurs poëtes Auteurs. Ne doivent écrire sur chaque sujet que ce qu'ils savent, I, 232. S'ils Aveugle. Histoire d'un gentilhomme aveugle-né, I, 734. Exemple d'un homme devenu aveugle en dormant, II, 74. Avocats. Comparés aux prédicateurs, I, 39. Persuadés quelquefois de la B. Bains. Les anciens en usoient tous les jours avant le repas, I, 363. Leur uti- lité, II, 136 et suiv. Chaque nation en fait un usage particulier, 188. BAJAZET Ier. Fit éventrer un soldat accusé d'avoir pris de la bouillie à une BATHORY (Étienne), roi de Pologne. Loué par Montaigne, I, 258. BAYARD. Sa fermeté sur le point de rendre l'esprit, I, 17. Quel étoit son vrai Beauté du corps. En quoi elle consiste, I, 586 et suiv. Si, sur cet article, les BEAUVAIS (l'évêque de). Vainqueur de plusieurs ennemis à la bataille de BELLAY (Guillaume du). Jugement sur ses Mémoires, I, 507 et suiv. BELLAY (Martin du). Ses Mémoires historiques : ce qu'en pense Montaigne, BELLAY (Joachim du). Excellent poëte françois, au jugement de Montaigne, |