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venable aussi d'en donner un sommaire, ce qui devient souvent nécessaire pour montrer la liaison des écrits didactiques avec ce qui précède ou avec le but même du livre entier. Il n'est pas nécessaire de faire précéder l'interprétation proprement dite d'une paraphrase complète de la section ou du paragraphe. Cette paraphrase est, de temps à autre, utile, quand le commentateur veut indiquer clairement le sens littéral d'un passage difficile.

3° Lorsque, dans la série de ces sections ou paragraphes, le commentateur rencontre des leçons différentes, il faut qu'il indique quelle leçon il considère comme originale et préfère, et quels motifs il a pour cela. Son attention doit se porter surtout sur les leçons dont les différences entraînent une divergence de sens, et cela d'autant plus que la teneur du texte est plus importante.

40 Il faut, dans l'interprétation de chaque section et de ses parties, que le commentateur explique exactement tout ce qui peut être obscur ou inconnu aux lecteurs, au point de vue des expressions, des propositions, des personnes et des choses nommées dans les textes, et cela d'après les principes de l'herméneutique sacrée, et par l'emploi consciencieux de tous les moyens accessoires que fournit l'exégèse. On exige du commentateur qu'il explique les contradictions apparentes de certains textes bibliques et la divergence des commentaires d'autres interprètes, avec l'indication des motifs pour lesquels il s'en écarte, mais toujours en vue des besoins particuliers de son temps et de ses lecteurs. Enfin l'exégète catholique doit, conformément au précepte du concile de Trente (1), veiller à ce qu'il ne donne aucune explication des choses de la foi et des mœurs qui soit contraire au sens de l'Église

(1) Sess. IV.

catholique ou au sentiment unanime et évident des Pères (1).

Cet ordre est également désirable dans les autres espèces de commentaires; seulement on le modifie suivant la nature particulière de ces commentaires.

Nous ne pouvons donner ici une liste complète des commentaires bibliques existants; nous indiquerons les principaux.

I. Des sept premiers siècles de l'Église on a les commentaires d'Origène, de S. Athanase, S. Ephrem le Syrien, de S. Basile, S. Grégoire de Nazianze, S. Chrysostome, S. Cyrille d'Alexandrie, S. Isidore de Péluse, Théodoret; dans l'Église latine, de S. Hilaire de Poitiers, S. Ambroise, S. Jérôme, S. Augustin, S. Grégoire le Grand.

II. Dans les siècles suivants, jusqu'à la prétendue réforme, il faut rappeler, outre les commentateurs indiqués dans l'article CHAINE (Catena), Bède, Théophylacte et S. Thomas d'Aquin, Alcuin, S. Bonaventure, Hugues de Saint-Caro, Nicolas de Lyre, Paul de Bourges, Alphonse Tostat et le Gree Euthyme Zigabénus.

III. Dans les temps modernes et dans les temps les plus récents :

A. Commentateurs catholiques: a. De tous les livres ou de la plupart des livres de l'A. et du N. T. : Cornélius a Lapide, Cornélius Jansenius, Emmanuel Sa, Ménochius, Jirinus, Mariana, Dom Calmet, de la Haye (2 recueils, Biblia magna, 5 t., Paris, 1643, et Biblia maxima, 19 t., 1660); les Allemands Braun, Fischer, Brentano, Dereser et Allioli;

b. D'un livre ou de plusieurs livres historiques de l'Ancien Testament : Thomas de Vio (cardinal Caiétan), Augustin Steuchus, Jérôme Oléaster, Thomas Malvenda, Sébastien Barradius,

(1) Voy. EXÉGÈSE.

Andre Masius, Jacques Bonfrère, Arias (Lemgo, 1786); le recueil intitulé

Montanus, Nicolas Serrarius ;

Du livre de Job: Gaspard Sanctius, Jean de Pineda, Fr. Vavasseur ;

Des Psaumes: Thomas Leblanc, Gilb. Genebrardus, Simon de Muis, Bossuet, cardinal Bellarmin, Gerhauser (Landshut, 1817);

Des Proverbes de Salomon : Rodolphe de Bayne, Ferd.-A. Salazar;

Du Cantique des cantiques: Gilb. Genebrardus, Louis de Ponte, Kistemaker ;

Des Prophètes: Ar. Montanus, Jér. Pradus, Jean Vilalpandus, Fr. Ribeira, Four. Ackermann (12 Proph. minor., Vienne, 1830), etc.;

De tous les livres du N. T.: Schnappinger, Kistemaker, F.-X. Massl;

D'un ou plusieurs livres du N. T.: Alph. Salmeron (4 Ev. et Ep. S. Pauli); Bern. Lamy (4 Ev.); Ant. Vogt (4 Ev. et Ep. Pauli); Jean Maldonat (4 Ev. edit. recentiss., Mog., 1840-44, 5 t.) ; Jacq. Pires (4 Ev., ed. nov. Mechl., 1823); Lamb. Frommondus et Thom. Massutius (Act. Apost.); Guil. Estius (Epist. S. Pauli et cathol., ed. nov., Mog., 1841 sq.); Jean Gagnæus, Fr. Tittelmann, Fr. de Tolède et Bernardin de Piconio (Ep. S. Pauli); Jean Lorin (Ep. cathol.); H. Klée (Év. de S. Jean, 1829; Ép. aux Rom., 1830; Ép. aux Hébr., 1833); Adalb. Maier (Év. de S. Jean, 1843-45); Mack (Ep. pastoral., 1836); Windischmann (Ép. aux Gal., 1843); Conr. Lomb. (Epist. ad Hebr., 1843); Reithmayr (Ép. aux Rom., 1845); Louis Ab-Alcazar, Sylveira (Apocal.), etc., etc.

B. Commentateurs protestants. Outre Luther, Zwingle, Calvin, Mélanchthon, il faut citer: Brenz, OEcolampade, Bucer, Bugenhagen, Osiander, Bèze, Cléricus, Hugo Grotius, Cocceius. Ont encore interprété

a. Toute la Bible: J.-G. et C.-F.-C. Rosenmüller (Scholia in N. et in V. T.); J.-D. Michaelis (Gött., 1773); Hetzel

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Critici sacri ou Anglicani (Londini, 1660), et Synopsis, publiée par Matth. Polus (Londres, 1669);

b. L'Ancien Testament: J.-A. Dathe, J.-C. Schulz et Laurent Bauer, un ou plusieurs livres : Calov, Chytræus (Pentat.); Séb. Schmidt (Jos., Psal., Job, plusieurs prophètes); Schultens et Umbreit (Job et Prov.); Musculus, Cramer, de Wette, Böckel (Psaumes); Calixt, Hül Helvicus, Vitringa, Ursinus (grands prophètes); Gésénius (Isaïe); Hävernik et Lengerke (Daniel); Kunad, Lambert, Tarnov, Wigand (petits prophètes); Chytræus, Gebhardi, Credner, Meier.

seman,

c. Le Nouveau Testament en entier ou en majeure partie; J.-T. Wetstein (2 t. in-fol., Amstel., 1752); J.-B. Koppe (Act. Ap., in Ep. et Apoc.); Olshausen | (N. T., Koenigsberg, 1820); H.-A.-W. Meyer, de Wette (Manuel d'exégèse); un ou plusieurs livres : Ch.-F. Kuinöl (Lib. hist. et Ep. ad Hebr.); H.-E.-G. Paulus (réfuté par beaucoup de protestants); C.-F.-A. Fritzsche (Ev. sec. Matth. et Marc. et Ep. ad Rom.); Fr. Lücke (Écrits de S. Jean); A. Tholuk (Év. de S. Jean, Ép. aux Rom. et aux Hébr.); J.-F. Flatt (la plupart des Ép. de S. Paul); Rückert (Ép. aux Rom., aux Corinth., aux Gal., aux Éph.); Reiche (Ép. aux Rom.); Heidenreich, Billroth (Ép. aux Corinth.); Rheinwald, Hölemann (Ep. aux Philipp.); Steiger, Böhmer, Huther (Ép. aux Coloss.); Pelt (Ép. aux Thess.); Matthieu (Ep. pastor.); Bleck, Stier, Stein (Ép. aux Hébr.); Jachmann (Ép. cathol.); Theile, Gebser et Kern (Ép. de S. Jacques); Steiger (I de S. Pierre); Bengel, Eichhorn (Apocal.), etc.; etc.

C. Commentateurs juifs de l'A. T.: R. Aben Esra, Maimonides (Moïse ben Maimon); Dav. Kimchi, Salomon Jarchi (Raschi), Isaac Abarbanel, Schelomo ben Melech, Lévi ben Gerson, Moseh ben

Nachmann, Vechai, Mardochai ben Elieser.- Dom Calmet, Dictionarium historico-critic. S. Scripturæ, Luc., 1725, in-fol., p. 26-67, offre une liste étendue et complète des Commentaires de l'Ancien et du Nouveau Testament et des dissertations et traités sur cette matière. On peut comparer à l'œuvre de D. Calmet celui de Ch.-W. Flugge: Essai

d'une histoire des Sciences théologiques, Halle, 1796-98, 3 vol.; C.-F.-K. Rosenmuller, Manuel de la littérature

de la Critique et de l'Exégèse bibliques, Gött., 1797-1800, 4 vol.; G.-W. Meyer, Hist. de l'Exégèse de la Bible, Gött., 1802-9, 5 vol.; J.-B. Winer, Manuel de la Littérature théologique, surtout protestante, 3e éd., Leipzig,

1837; Thesaurus librorum rei catholi

cæ, Wurzb., 1847; Lippert et Schmidt, Catalogue bibliographique, no 8, Halle, 1847, p. 34 (qui devrait indiquer plus exactement les commentaires dus à des auteurs catholiques).

KOZELKA.

COMMENTAIRE DU DROIT CANON. Voy. GLOSE.

COMMERCE CHEZ LES ANCIENS HÉBREUX. Le commerce, en tant qu'échange des produits, doit, d'après la nature des choses, être aussi ancien que reconnaissance du fait et du droit de

la

propriété. Cependant l'échange dut faire naître promptement la vente et l'achat proprement dits, et dès le temps d'Abraham on voit que les payements se faisaient par les marchands avec des pièces d'argent (1). Du reste, le commerce de l'antiquité fut d'abord un commerce régional, et, en Orient, un commerce de caravanes, nécessité par les nombreux déserts, les peuplades de brigands et les bêtes féroces qui rendaient les voyages peu sûrs. Les commerçants se réunissaient en groupes, fixaient certaines époques et certaines routes (1) Voy. ARGENT MONNAYÉ

pour leurs expéditions, des étapes pour leurs dépôts de marchandises et leurs échanges, ne se servaient en général que de chameaux, et se restreignaient à transporter des marchandises légères et précieuses. Ces associations commerciales se nommaient caravanes (N ou nan, persan karvan, marchand) et traversaient déjà la Palestine au temps

7:

des patriarches. Joseph fut vendu à une

de ces caravanes de marchands ma

dianites (1). On s'occupait moins du

commerce maritime, qui, on le comprend, se bornait à un commerce de cala navigation fut dans l'enfance. Les botage, le long des côtes, tant que l'art de Phéniciens furent, ce semble, le premier peuple qui s'adonna exclusivement expéditions commerciales maritimes (2). à la navigation et qui entreprit de grandes Leur position géographique les y invitait naturellement, et la proximité des forêts du Liban leur en fournissait facilement les matériaux premiers.

Les Hébreux, malgré ce voisinage, paraissent pendant assez longtemps avoir pris peu de part ou même n'avoir eu aucune part aux transactions des Phéniciens. Leur commerce se réduisait à des échanges intérieurs, qu'animaient régulièrement chaque année les trois fêtes principales. De même que nous voyous encore de nos jours l'époque des pèlerinages de la Mecque être, pour ainsi dire, le moment des foires les plus importantes de l'Arabie, de même les Hébreux profitaient des jours qui réunissaient presque toute la nation autour du sanctuaire pour faire des affaires, porter le superflu de leurs denrées et de leurs produits sur les places, y acheter ou obtenir par échange les choses nécessaires à leur entretien. La loi mosaïque ne renferme, il est vrai,

(1) Genèse, 37, 25-28.

(2) Genèse, 10, 4. III Rois, 10, 11.

aucune disposition particulière sur les transactions commerciales, sauf la défense d'employer de fausses mesures et de faux poids (1). Tandis qu'elle se taisait absolument sur le commerce, silence qui ne semblait pas pouvoir être interprété favorablement, elle assignait | à chaque Hebreu le champ qui devait lui fournir ce qui était nécessaire à son entretien, et veillait encore à ce que jamais ce champ ne pût être entièrement perdu pour lui et pour sa famille. Rien n'excitait spécialement l'Hébreu à augmenter son héritage par le commerce. En outre l'intérêt de l'argent entre compatriotes était défendu, l'année jubilaire éteignait toutes les dettes, double disposition qui était évidemment nuisible au commerce. On ne peut donc pas s'étonner beaucoup de ce que, sauf des transactions en quelque sorte passives et tout à fait indispensables sur les produits naturels ou industriels, les Hébreux ne s'inquiétèrent pas beaucoup du commerce extérieur avant David et Salomon.

du bois de sandal et des pierres précieuses (1); ils allaient sur la Méditerranée à Tarsis (en Espagne), et, d'après III Rois, 10, 22, en rapportaient, outre l'or et l'argent, qui abondaient anciennement en Espagne (metallis plumbi, ferri, æris, argenti, auri, tota ferme Hispania scatet) (2), D, DEP

, c'est-à-dire, d'après les interprétations ordinaires, des dents d'éléphants, des singes et des paons (3). Mais, comme la navigation était surtout du cabotage, qu'elle était lente, il fallait aux navires de commerce qui allaient à Tarsis trois ans pour revenir (4). Cet espace de temps peut précisément servir à prouver que ces navires partaient de quelque port de la Méditerranée, comme Joppé, par exemple (5), et non d'Asiongaber, qu'ils doublaient l'Afrique et revenaient par la même route au point de départ, comme le pensent Michaélis (6) et Jahn (7).

Ce commerce profitable cessa avec le règne de Salomon. Ses successeurs immédiats furent occupés d'autres choses par suite de la division du royaume, et ce ne fut guère que le roi Josaphat, environ quatre-vingts ans après Salomon, qui chercha à raviver le commerce extérieur et qui fit construire à Asion

dre à Ophir. Mais la tentative échoua: les navires furent détruits, avant leur

Nous n'avons pas de renseignements positifs sur un commerce à l'étranger de quelque importance sous David; mais, comme il conquit Elath et Asiongaber (2), deux ports sur la mer Rouge (3), et qu'il était en rapport d'amitié avec les Tyriens (4), il est très-gaber des navires qui devaient se renvraisemblable qu'il profita de ces circonstances favorables pour le commerce, puisque, d'après I Paral., 29, 4, il laissa à sa mort 3,000 talents d'or d'Ophir (5). Dans tous les cas, le commerce extérieur et maritime, pratiqué à l'aide des marins de Tyr, fut considérable sous Salomon. Les navires partaient d'Asiongaber, se rendaient à Ophir, et rapportaient principalement de l'or,

(1) Lévit., 19, 36 sq. Deuter., 25, 12. (2) Voy. ASIONGABER.

départ, par une tempête (8). Sous son successeur Joram Asiongaber fut prise par les Iduméens, qui se rendirent indé

(1) III Rois, 9, 26 28; 10, 11. II Paral., 9, 10.
(2) Pline, Hist. nat., III. Conf. les nombreux

témoignages des anciens sur l'abondance de
p. 169 sq.
l'argent en Espagne, daus Bochart, Phal.,

(3) Keil, Comm. sur les Rois, p. 156.
(4) III Rois, 10, 22. H Paral., 9, 21.

(5) Conf. Jon., 1, 3.

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port. Ozias rendit Élath à Juda, mais Élath retomba au pouvoir des Syriens sous Achaz et ne paraît pas être redevenu une possession judaïque avant la captivité (2). Ce commerce maritime de Salomon amena un commerce intérieur important entre la Judée, l'Égypte et la Syrie d'une part, commerce dont l'objet était surtout des chevaux égyptiens (3), et, d'autre part, la ville de Tyr, avec laquelle on échangeait du blé et de l'huile contre des bois de cyprès et de cèdre (4). Il continua plus ou moins activement sous les successeurs de Salomon. On voit, par exemple, dans Ézéchiel, qu'on transportait de Juda et d'Israël à Tyr notamment du froment, de la résine, du miel et du baume (5). Il est probable que ce n'était, en général, qu'un commerce de première nécessité.

pendants de Juda (1). Amazias reprit ce | Mais, avant cette époque, au temps d'Esdras et de Néhémie, les marchés hebdomadaires étaient si considérables à Jérusalem que les marchands de Tyr les fréquentaient (1), et on sait qu'au temps du Christ on faisait un trafic d'animaux servant aux sacrifices jusque dans le parvis du temple (2). La Mischna parle de marchands qui circulaient dans les villes (3) et vendaient souvent trop cher et cherchaient à trop bénéficier (4). Cependant, même à cette époque postérieure à la captivité, la loi mosaïque paraît avoir nui à l'activité du commerce, surtout du commerce extérieur. Sans ces entraves et sans leur position toute spéciale en face du paganisme, les Hébreux eussent, sans aucun doute, été un peuple commerçant considérable avant comme après la captivité; car les occasions étaient entrêmement favorables. Les côtes de la Palestine étaient anciennement les seules et exclusivement les seules en possession du commerce du monde, c'est-à-dire du commerce qui liait l'Europe à l'Asie. Si ces côtes de Palestine, qui, alors que le commerce ne se frayait pas encore d'autre chemin, nourrissaient tant de peuples, étaient visitées par tant de nations et étaient occupées par les plus grandes puissances commerciales, se fussent livrées aux transactions lointaines, elles eussent atteint une bien plus grande importance, avant l'époque où les Grecs dominèrent les mers et se mirent eu possession du commerce du monde (5). WELTE.

Il en fut autrement après le retour de la captivité de Babylone. Les Juifs, dispersés dans diverses contrées, s'adonnèrent volontiers au commerce, lorsque le lieu qu'ils habitaient leur en fournit l'occasion; ils se mirent en relation avec leurs compatriotes restés en Judée et ravivèrent ainsi le commerce même de la Palestine. C'est ce qui arriva notamment en Égypte les Juifs prirent une grande part au commerce de ce pays au temps des Ptolémée (6). Les princes favorisèrent aussi plus tard de toutes facons le commerce de la Palestine. Par exemple, Simon Machabée améliora le port de Joppé (7), et Hérode en fonda un nouveau à Césarée (8).

(1) IV Rois, 8, 20-22. II Paral., 21, 8-10. (2) Voy. ELATH.

(3) III Rois, 10, 28. II Paral., 1, 14-17. (5) III Rois, 5, 24.

(5) 27, 17.

(6) F.-S. de Schmidt, Diss. de Commerc. et

Navigat, Ptolemæorum,

(7) I Mach., 14, 5.

(8) Jos., Ant., XV, 9,6

COMMISSAIRE, commissarius. Nonseulement le pouvoir souverain politique ou ecclésiastique, mais encore toute

(1) Néhém., 13, 16.

(2) Matth., 21, 12. Jean, 2, 14-16.

(3) Maseroth, 2, 3,

(4) Nedarim, B, 1.

(5) Bertheau, Hist. des Israelites, p. 121, 125. Conf. Tychsen, de Commerciis et Navigationi. bus Hebræorum ante exil. Bab.

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