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brement et avec conscience à la gloire | lano, S. François, quittant Rome, f

de Dieu, comme la nature entière le fait spontanément et sans conscience (1); et telle est la destination suprême et commune de toutes les créatures, qui s'identifie avec l'intention du Créateur, et s'exprime nettement et complétement dans la formule: Tout pour la plus grande gloire de Dieu.

appeler un pieux gentilhomme, nomm Jean, qui demeurait dans le castel & Greccia, non loin de Réate, dans la vallée, et lui dit : « Veux-tu que nous é lébrions la fête de la Nativité chez toi: va et prépare ce que je vais t'order ner. » Or le séraphique fondateur de Franciscains voulait que tout fût disposé suivant ce qui s'était autrefois passé à Bethlehem. Lorsque la nuit de Noël fut venue, S. François, suivi des

DE DREY. CRÉCELLES A TÉNÈBRES. Voyez SEMAINE SAINTE. CRÈCHE (LA) dans laquelle le Sau-frères de son ordre et d'une foule pieuse, veur du monde fut couché à son entrée dans le monde devint dès la plus haute antiquité l'objet du culte des Chrétiens à Bethlehem, où on la conservait; c'est ainsi que nous savons que S. Jérôme et son élève Ste Paule la visitèrent avec respect et dévotion (2).

Aujourd'hui elle est conservée à Rome, dans la basilique Libérienne, à SainteMarie Majeure, où on l'apporta, avec quelques pierres du rocher de la grotte de Bethlehem, au septième siècle (et non en 352, comme l'a prouvé Benoît XIV) (3).

Pendant l'année la précieuse relique (elle est en bois) est renfermée dans un reliquaire d'argent, déposé dans une magnifique chapelle souterraine. Elle est publiquement exposée le jour de Noël (4). C'est ce qui a fait nommer parfois l'église de Sainte-Marie Majeure Notre-Dame de la Crèche (ad præsepe). La coutume, encore observée de nos jours en beaucoup d'endroits, de faire des crèches dans les églises et les maisons le jour de Noël, date de S. François d'Assise; du moins c'est dans sa vie que nous en rencontrons le premier exemple. Trois ans avant sa mort, disent S. Bonaventure et Thomas de Co

(1) Ps. 18, 1-5.

(2) Epist. 108 ad Eustoch., § 10. (3) L. IV, de Canoniz. Sanct., part. 2. (4) Bianchini, diss. 1, de Præsepi et cunis D. N. J.-Chr., n. 13, p. 82.

arriva dans la vallée de Greccia, où la crèche avait été établie, entourée de personnages représentant la sainte Vierge, S. Joseph, les bergers, etc., etc. Le tout était brillamment éclairé. S. François. les moines et le peuple' passèrent la nuit à chanter les louanges du Seigneur ; enfin le saint Sacrifice fut célébré au-dessus de la crèche, et le saint, faisant les fonctions de diacre, chanta avec une indicible joie l'Évangile de la Nativité de Notre-Seigneur (1). C'est ainsi que cette coutume s'introduisit dans l'ordre de S. François et de là dans l'Église. Au temps naïf du moyen âge (2), durant la nuit de Noël, des personnes représentant Marie et Joseph étaient assises à côté de la crèche, et chantaient alternativement avec le peuple des noëls. Les prêtres portant des cierges allaient chercher l'enfant dans sa crèche, ils le prenaient dans leurs bras et le montraient au peuple. On faisait aussi des processions à la crèche (D. Martène en cite une de l'église de Rouen), ou bien l'on portait processionnellement l'image de l'enfant Jésus (par exemple chez les Dominicains) (3); puis on le déposait dans la crèche ; on l'exposait dans une chapelle latérale, où chacun venait baiser

(1) Bolland., ad 4 Sept., p. 643. (2) Conf. Daniel, Thesaurus hymnologic, 1, 144.

(3) Conf. Labat, Voyage en France, t. III.

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l'enfant divin. Ces coutumes sont tombées presque généralement en France et en Allemagne; mais on fait encore assez généralement des crèches, qui subsistent jusqu'à la Chandeleur, et à chaque fête nouvelle (Circoncision, Épiphanie) il y a des changements de scène.

Toute âme chrétienne et pieuse reconnaîtra sans peine l'influence salutaire de ces coutumes naïves sur le sentiment religieux des enfants, du peuple, et de tous ceux chez qui la simplicité de la foi s'allie aux plus pures lumières de l'intelligence.

KERKER.

CRÉDENCE, petite table placée dans le sanctuaire, communément du côté de l'Épître, parfois du côté de l'Évangile, surmontée d'un crucifix et de deux chandeliers, et où l'on place le calice, les burettes et d'autres objets nécessaires au saint sacrifice de la messe. On ne se sert habituellement de ces crédences que pendant la grand'messe, durant la quelle, d'après la rubrique du missel, le diacre, au moment où l'on chante l'incarnatus est, prend sur la crédence la bourse et va étendre le corporal sur l'autel. Après l'Oremus qui suit le Credo, le sous-diacre, enveloppé d'un voile, prend à son tour le calice sur la crédence et l'apporte sur l'autel. Après la communion et l'ablution il reporte le calice sur la crédence. Il y a maint cérémonial qui renferme de nombreuses prescriptions liturgiques sur la crédence. Le sacristain doit la préparer pour la grand'messe, la couvrir d'une vaste nappe blanche qui tombe jusqu'à terre; on ne doit y placer ni gradin pour les chandeliers, ni reliquaires. La plupart du temps la crédence est fixe. A la messe pontificale il y a ordinairement deux crédences, l'une pour le calice et les burettes, l'autre pour le missel, le canon, les chandeliers portatifs, le grémial, le bassin et d'autres objets nécessaires à l'office. De temps à autre ces deux cré

dences se rencontrent, même à une grand'messe ordinaire, l'une pour le calice, l'autre, sans crucifix ni chandeliers, pour le livre dans lequel on chante l'épître et l'évangile. Il faut en général sous ce rapport consulter et observer les rites locaux des divers diocèses.

CREDO. Voy. Messe.

CRELL (JEAN et SAMUEL). Voy. So

CINIENS.

CRELL (NICOLAS). Voy. CRYPTOCALVINISTES.

CRÉPIN. Il y a plusieurs saints de ce nom dans l'Église catholique; les plus connus sont les trois suivants :

1o CRÉPIN, évêque de Pavie, intrépide défenseur de la foi orthodoxe. Il se montra tel surtout au concile tenu à Milan contre Eutychès. Sa sollicitude pour son diocèse s'étendit au delà de sa mort; car, sentant ses forces diminuer, il se rendit à Milan, et y recommanda aux personnages les plus influents son diacre, S. Epiphane, de Pavie. En effet, à peine Crépin fut-il mort, en 465, que d'une voix unanime Epiphane fut choisi, et malgré sa résistance et sa jeunesse (il n'avait que vingt-huit ans) il fut porté au siége épiscopal de Pavie, à la satisfaction de tous les fidèles (1).

2o CRÉPIN, de Viterbe, de l'ordre de Saint-François, naquit à Viterbe, le 13 novembre 1668, de parents pauvres, mais pieux, qui l'élevèrent chrétiennement. Il montra de bonne heure de la ferveur religieuse; il jeûnait souvent, priait toujours, et désirait ardemment entrer, comme frère lai, dans l'ordre de Saint-François. Admis chez les Capucins de Viterbe, parmi lesquels il se distingua bientôt par toutes les vertus d'un austère religieux, mais surtout par sa charité pour les pauvres, qu'il avait souvent l'occasion d'exercer en ramassant les aumônes pour le couvent, et qu'il

(1) Conf. Stolberg, Hist. de la rel. de J.-C., t. XVII, p. 29; t. XVIII, p. 474.

manifestait par les soins et l'instruction | qu'il prodiguait aux enfants. Personne ne savait mieux que lui donner un bon conseil, résoudre avec sagesse les questions les plus difficiles; aussi les personnes de toutes les conditions, les cardinaux, les évêques, les gens du peuple, le consultaient comme un oracle inspiré de Dieu même. Il prévit le 1er mai 1750 sa fin prochaine, et mourut en effet dix-huit jours plus tard.

Le Pape Pie VII le proclama bienheureux le 26 avril 1806; le décret de béatification dit « qu'il était le père des pauvres, le consolateur des affligés; que son cœur était simple et pur; qu'il avait une vive dévotion envers la sainte Vierge, et qu'il était célèbre par les dons de prophétie et de miracles que Dieu lui avait départis (1). »

3o CRÉPIN et CRÉPINIEN, martyrs de Soissons. Quoique les Chrétiens fussent tranquilles pendant les dix-huit premières années du règne de Dioclétien (284-303) (2), il y eut durant cet intervalle quelques martyrs, l'empereur d'Occident, Maximien-Hercule, n'ayant pas été favorable aux Chrétiens comme son collègue. Outre Quintin, Lucien, Ruffin, Valère et Eugène, qui s'étaient rendus de Rome dans les Gaules pour y propager l'Évangile, et qui y trouvèrent une mort glorieuse, on compte parmi les athlètes de la foi à cette époque les deux frères Crépin et Crépinien. Le désir de convertir les païens les avait également amenés de Rome dans les Gaules. Ils s'arrêtèrent à Soissons, où, la situation des affaires ne leur permettant pas d'agir ouvertement, ils se vouèrent en silence à leur sainte vocation. Quoique d'une famille distinguée, ils se mirent à apprendre un métier, et se firent cordonniers, tant pour suivre l'exemple de

(1) Conf. Butler, Vie des Saints et des Martyrs, t, II.

(2) Conf. Eusébe, Hist. eccl., VIII, 1.

l'Apôtre et gagner leur vie par le travail de leurs mains que pour entrer plus facilement par là en rapport avec les païens.

Ils devinrent bientôt les ouvriers les plus adroits et les plus expéditifs de leur profession, et, comme ils donnaient leur marchandise à meilleur marché que les autres cordonniers et servaient gratuitement les pauvres, ils virent le monde affluer dans leur atelier et parvinrent par leurs conversations et leur conduite exemplaire à gagner un grand nombre de leurs visiteurs au Christianisme. L'envie, la jalousie s'attachèrent à leurs œuvres, et Crépin fut bientôt accusé d'avoir volé à de riches tanneurs le cuir dont il faisait des souliers aux pauvres. L'empereur Maximien-Hercule, ayant été informé des nombreuses conversions opérées par les saints missionnaires, les fit arrêter par le gouverneur Rictiovarus. Celui-ci les envoya à l'empereur, qui ne put les faire abjurer ni par les plus brillantes promesses ni par les plus cruelles menaces. Rictiovarus reçut l'ordre de les mettre à mort après leur avoir fait subir d'affreuses tortures. On introduisit des baguettes aiguës dans leurs doigts entre l'ongle et la chair; on découpa des lanières de soulier avec la peau de leur dos; on leur pendit d'énormes pierres au cou pour les noyer dans l'Aisne; on les plongea dans du plomb fondu; mais Dieu les sauva de toutes ces tortures. Enfin Maximien leur fit couper la tête (287). Au sixième siècle on érigea en leur honneur une grande église à Soissons, et ils furent de bonne heure invoqués comme patrons des cordonniers. L'association des Frères cordonniers de Michel Buch, nommé vulgairement le bon Henri, fondée en 1645, et celle des Frères tailleurs, instituée deux ans plus tard, se placèrent, avec toutes les associations affiliées du même genre, sous le patronage de ces deux saints, dont on célèbre la mémoire le

25 octobre. Cf. Butler, Vie des Saints, | droite, l'épaule gauche et une grande t. XV; Laurentius Surius, de Probatis partie du corps nus (ce qui les avait fait Sanctorum, etc., t. V, p. 959.

FRITZ.

appeler opía), les cheveux longs et pendants, le visage sombre, la barbe héris

CRESCENS (Kproxns), un des compa-sée, les ongles semblables à des griffes gnons et des coopérateurs de S. Paul. D'après la seconde Ép. à Tim., 4, 10, au temps de la captivité de l'Apôtre à Rome, durant laquelle il écrivit à Timothée, Crescens vint de Rome en Galatie, où, suivant les Constitutions apostoliques (1) et plusieurs Pères, il prêcha le Christianisme. Les anciens martyrologes, dans Bède, Usuard, Ado et d'autres (2), disent qu'il prêcha en Galatie et en d'autres provinces. S. Epiphane (3) et Théodoret s'accordent en partie avec eux, en ce sens cependant que S. Épiphane, dans le passage cité de la seconde épître à Timothée, veut lire Gaule au lieu de Galatie, malgré le témoignage des manuscrits; Théodoret lit Galatie et comprend la Gaule.

CRESCENS le Cynique. Au second siècle de l'ère chrétienne la philosophie était généralement dégénérée; ce n'était plus qu'une théorie sans sanction morale, qu'une affaire de goût, un arsenal de phrases sonores, un gagnepain (4), et, sauf quelques rares exceptions, la philosophie n'exerçait plus aucune influence sur la vie morale de ses sectateurs (5). Le cynisme avait atteint le dernier terme de la décrépitude; tombé à l'état de caricature, il était devenu une espèce de métier du plus bas étage (6). Les cyniques n'avaient plus que l'extérieur de commun avec Antisthènes, Crates et Diogène (μóvov trà o quoia) (7); ils n'excitaient que la frayeur et le dégoût. Le manteau jeté sur l'épaule

(1) 7, 46.

(2) Ad V calend. Julii.

(3) Hær., 51.

(4) Tatian., Or. c. Græc., c. 25.

(5) Max. Tyr., Or., XXIX, 2, ed. Heins. (6) Lucian., Fugitivi, 12. 13,

(7) Fug., 15.

(övʊyas Onpíwv) (1), un bâton noueux et une énorme besace dans les mains, d'une effrayante saleté, d'une grossièreté bruyante, tels étaient les cyniques qui parcouraient les villes. Cependant il manque à tous ces traits le signe le plus caractéristique, qui était une impudence et une ignorance sans bornes (μaðía). « Leur demande-t-on une preuve de leur savoir: ils s'en tirent par des injures et en faisant tourner leur bâton (2). » La corruption intérieure de ces hommes, qui se vantaient « de n'être que des chiens (3), » égalait leur extérieur dégoûtant. Aboyer, dévorer, piller, se vautrer dans la paresse, s'asseoir en parasites à la table des riches (4), s'enivrer et s'enorgueillir de leur dégradation (5), était leur vie habituelle. La pédérastie et la communauté des femmes n'étaient pas rares chez les cyniques (6), et, tandis qu'ils prétendaient n'avoir aucun besoin, ils portaient habituellement sur eux, comme instruments de leurs pratiques vertueuses, de l'or, des parfums, des couteaux de table, des miroirs et des dés (7).

Enfin ils jouaient le rôle public d'arbitres des mœurs, quoiqu'on ne pût rien trouver de plus dénué de sens que leurs paroles, si ce n'est leur conduite (8). L'influence des cyniques était déplorable parmi les basses classes, car leurs exemples étouffaient dans le cœur du peuple tout sens d'économie, d'esprit de famille, d'amour conjugal, de patrio

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tisme, d'amitié et de goût du travail; ils excitaient la multitude contre tout ce qui les gênait ou leur était odieux. Tandis que les autres sectes philosophiques étaient hostiles au Christianisme par orgueil scientifique (1), la haine des cyniques procédait des motifs les plus vils; la grandeur morale des Chrétiens leur était un perpétuel et insupportable reproche.

Or le philosophe Crescens, qui vivait à Rome du temps de l'empereur MarcAurèle, était un modèle de ce cynisme dégradant. Ce philosophe, que S. Justin appelait un propos, un charlatan, un saltimbanque, sous prétexte de sauvegarder la croyance populaire, avait, à la grande joie de la populace, accusé les Chrétiens d'irréligion et d'athéisme. Justin, qui résistait hardiment à tous les philosophes, répondit à l'accusateur, démontra publiquement qu'il n'était qu'un ignorant et un imposteur, qui, dans sa lâcheté, ne s'était pas donné la peine d'étudier la doctrine des Chrétiens, ou n'osait pas, par crainte du peuple, avouer la vérité qu'il connaissait (2). Justin révéla en outre la corruption morale de Crescens, qui surpassait tous ses collègues, d'après le témoignage de Tatien (3), en pédérastie, avarice, saleté et goinfrerie. Crescens, exaspéré contre l'intrépide apologiste des Chrétiens, jura sa mort, que, d'après ses principes, il représente d'ordinaire comme n'étant pas un mal. Justin soupçonna (4) le danger dont Crescens le menaçait; Tatien (5) parle d'embûches que le cynique lui dressa, ainsi qu'à Justin, et les martyrologes, dans Eusèbe (6) et dans S. Jérôme (7), nomment expressément Cres

(1) Orig., c. Celsum, III, 44. (2) Apol. min., 3.

(3) C. Græc., c. 19.

(4) Apol. minor., 3.

(5) L. c., 19.

(6) Hist. eccl., IV, 16. Chron. ad Olymp., 232, 2.

(7) De Vir, illustr., c. 23.

cens comme l'auteur de la mort de §. Justin. C. WEISS.

CRESCENTIA (SAINTE) OU CRESCENCE, la nourrice de S. Vit, fut convertie au Christianisme par ce saint enfant, & souffrit avec lui et S. Modeste le martyre sous Dioclétien (1). Le Martyrologe de S. Jérôme parle déjà de Crescentia, associée à Vit et à Modeste; Rhaban Maur, Ado et Usuard en font mention dans le martyrologe du neuvième siecle. Les plus anciens actes de ces trois martyrs ne vont pas au delà du sixième siècle et ne sont pas très-authentiques. On peut voir l'examen critique, ainsi que la description de la mort des trois saints, dans les Acta Sanctorum.

Lorsque la nouvelle Corbie eut été fondée en Westphalie, le culte de ces trois martyrs devint général en Allemagne, et l'intéressante histoire de la translation de leurs reliques à Corvey existe encore dans les Acta SS.

CRESCENTIA (MARIE) (la vénérable) naquit le 20 octobre 1682 à Kaufbeuern, dans le diocèse d'Augsbourg. Son père, Matthieu Höss, était un tisserand d'une sainte simplicité, qui aimait à méditer les souffrances du Christ; sa mère, malgré sa pauvreté, était extrêmement charitable. Ces pieux parents élevèrent leur enfant dans la voie où ils marchaient en présence du Seigneur. Marie Crescence, jeune encore, reçut divers dons particuliers du Ciel, et la prière l'élevait souvent jusqu'à l'extase. En 1701 elle prit l'habit des religieuses au couvent du tiers-ordre de Kaufbeuern; elle avait entendu durant un de ses ravissements, dans l'église même du couvent: « C'est ici le lieu de ton repos. »

La pieuse religieuse fut soumise à de rudes épreuves; elle tomba dans le creuset des tribulations intérieures, se sentit délaissée au dedans, se vit persécutée au dehors par ses sœurs, attaquée

(1) Voy. VIT (S.).

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