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l'Église latine n'a point suivi cet exemple. | Sicile, et, en 678, il obligea les Arabes à Constantin avait de grandes et de nobles accepter un armistice de trente années qualités. Ses défauts, ses fautes et ses au prix d'un très-fort tribut; mais il fut, crimes ont été exagérés ou dissimulés de son côté, contraint d'en payer un aux par ses partisans et ses adversaires avec | Bulgares, pour garantir ses États des inune égale partialité.

vasions de ces hordes barbares. La controverse du monothélisme fut terminée sous son règne, après avoir agité les esprits pendant près de cinquante ans. Il avait, dès 678, prouvé combien il désirait procurer la paix à l'Église en rétablissant, par son heureuse intervention, les anciens rapports entre Rome et l'archevêque de Ravenne, Réparatus, successeur de Maur, archevêque schismatique. Pour terminer la controverse du monothélisme, il convoqua, de concert avec le Pape Agathon, en 680, le sixième concile œcuménique à Constantinople. Ce concile, qui, d'après la salle du palais impérial dans lequel il fut tenu, se nomma le concile in Trullo, fut clos après dix-huit sessions, auxquelles Constantin avait personnellement assisté (il ne s'était absenté que de celles dans lesquelles avait eu lieu le jugement sur la doctrine des monothélites, c'est-àdire depuis la douzième jusqu'à la dixseptième inclusivement).

DE RAUSCHER. CONSTANTIN 11, empereur, fils de Constantin le Grand, naquit à Arles en 316 et devint César quelques années plus tard. En 335 son père lui confia le gouvernement de l'Espagne, des Gaules et de la Bretagne, et Constantin conserva ces provinces, outre l'Afrique proconsulaire, après la mort de son père, tandis que les autres provinces de l'empire étaient le partage de ses deux frères plus jeunes, qui s'emparaient de plus des provinces léguées à leurs cousins et vacantes par le meurtre de ces princes. Telle fut l'origine de la guerre qui, trois ans après, éclata entre Constantin et Constant, et qui causa la mort rapide du premier, défait et tué dans une embuscade près d'Aquilée, en 340. Constantin avait pris S. Athanase sous sa protection; il l'avait connu à Trèves, où son père avait exilé le pieux évêque. Constantin avait rendu S. Athanase à son Église d'Alexandrie, après une conférence tenue à Sirmium entre les trois frères. Dans la lettre qu'il lui remit, il mandait aux Alexandrins que son père n'avait éloigné S. Athanase de son Église et ne l'avait envoyé à Trèves que pour le garantir contre les dangers dont ses ennemis l'avaient menacé de tous côtés ; que, la paix rétablie, Constantin avait reconnu l'utilité de la réintégration du pieux évêque, mais que la mort l'avait empêché de réaliser un vœu qu'il appartenait à son fils d'accomplir.

CONSTANTIN IV, Pogonat ou le Barbu (668-685), fils de Constant II, fut proclamé empereur à Constantinople après le meurtre de son père. Il combattit avec succès son rival Miziz, en

Les 160 évêques présents prononcèrent l'anathème contre le monothélisme et envoyèrent au Pape, pour qu'il les confirmât, les décisions de l'assemblée. - Les priviléges que Constantin accorda à l'Église de Rome sont très-remarquables. Il l'exempta, entre autres immunités, par édit spécial, de la contribution qu'après l'élection d'un nouveau Pape on avait coutume d'envoyer à la cour de Constantinople (1); il lui accorda, sous le pontificat de Benoît II, le droit de faire sacrer le Pape nouvellement élu sans attendre la confirmation de l'empereur; toutefois, immédiatement après Constantin, cette confirmation du

(1) Anastas., Vita Agathonis. Pagi, Brev. Rom. Pontif., p. 461.

nouveau Pape Conon, second successeur de Benoît, fut encore demandée à l'exarque de Ravenne, Théodore. Constantin mourut, après un règne glorieux de dix-huit ans, en septembre 685.

THALLER.

CONSTANTIN V, Copronyme, c'està-dire ordurier (741-775), fils de Léon l'Isaurien, lui succéda au trône de Byzance. Cet empereur a été jugé trèsdiversement. Tandis que les adversaires anciens et modernes de l'Église catholique voient en lui un organe énergique et un vigoureux défenseur des intérêts de son temps, le juge impartial trouve dans les témoignages de l'histoire des preuves évidentes que ce prince fut un tyran, qui ne recula devant aucun moyen, quelque cruel qu'il fût, pour faire prédominer ses opinions théologiques, et qui d'ailleurs ne manquait ni de courage ni de talent militaire. On savait, avant qu'il montât sur le trône, qu'il partageait les opinions de son père sur le culte des images; mais, parvenu à l'empire, il dépassa de beaucoup les craintes qu'il avait inspirées d'avance.

A peine empereur, et pendant qu'il était engagé dans une entreprise contre les Sarrasins, qui avaient fait une invasion en Asie Mineure, il vit s'élever dans Constantinople un parti hostile, à la tête duquel se trouvait son beau-frère Artabasd. Les Catholiques orthodoxes s'attachèrent à ce parti, ainsi que le faible patriarche de Constantinople, qui avait été iconoclaste aussi ardent, sous le règne de Léon, que partisan résolu des images sous Artabasd.

Constantin, revenu de son expédition contre les Sarrasins, reconquit en 743 Constantinople, que la guerre civile avait ravagée pendant près de dix-huit mois, et prononça une terrible sentence contre ses adversaires. Artabasd et ses deux fils eurent les yeux crevés et furent exilés, une foule de sénateurs eurent la tête

tranchée, ou les yeux crevés, ou furent maltraités d'une autre façon. Anastase. le patriarche, n'échappa point à ces peines infamantes; toutefois Constantin le laissa sur son siége, certain qu'il était de ne pas trouver un instrument plus docile de ses volontés que l'infortuné prélat.

Après plusieurs victoires remportées sur terre et sur mer sur les Arabes, qu'affaibissait alors la lutte des Ommiades et des Abbassides, croyant avoir suffisamment consolidé son pouvoir, Constantin se tourna, avec toutes les force. dont il pouvait disposer, contre le culte des images. En 747 il renouvela les défenses que Léon avait publiées en 726 et 728, en les renforçant par les pénalités les plus cruelles. Le nombre des martyrs s'accrut dès lors journellement. Quiconque ne voulait pas obéir aux or dres de l'empereur était ou banni ou mis à mort, et ses biens étaient confis qués. Les moines surtout, qui défendaient avec une grande hardiesse la doctrine de l'Église, furent les victimes des vengeances de l'empereur : ils étaient arrachés de leurs couvents, leurs maisons étaient détruites, on les contraignait même de se marier. Cependant l'empereur était loin d'être satisfait. Il avait, pour atteindre complétement son but, besoin du concours des évêques, et à cette fin il tint, d'abord en 750, plusieurs conférences secrètes à Constantinople entre des ecclésiastiques et des laïques, afin que cette entente facilitât dans les provin ces l'accès des mesures prises. Ce ne fut qu'en 754, le siége patriarcal étant devenu vacant par la mort d'Anastase, qu'il réunit les évêques en un synode, auquel il eût été heureux de pouvoir donner un caractère d'œcuménicite. Chacun des évêques qui arrivait au synode recevait la promesse d'être élu patriarche s'il montrait de la condescendance pour les projets de l'empereur. Les trois cent trente-huit évêques se montrerent parfaitement dévoués au souverain, et

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c'est ainsi qu'après sept mois de session | à son père à l'âge de dix ans, et régna
l'anathème fut prononcé contre le culte d'abord sous la tutelle de sa mère Irène.
des images en général, et en particulier Il partageait les opinions de l'impéra-
contre ses défenseurs les plus éminents, trice par rapport au culte des images, et
Germain, ancien patriarche de Constan- mit avec elle un terme à cette déplora-
tinople sous Léon l'Isaurien, Georges, ble guerre. Il convoqua à Constantinople
moine de l'île de Chypre, et Jean (786), d'après le désir de Tarasius, pa-
Damascène. Le premier soin de Cons- triarchenouvellement élu, et avec l'agré-
tantin, après ce résultat obtenu, fut ment du Pape Adrien Ier, un concile qui
de faire reconnaître ce synode comme devait, après une enquête sérieuse (1),
un concile œcuménique (le septième). annuler les décrets du faux concile de
Tous les évêques, tous les ecclésiasti- 754. Mais les évêques orthodoxes furent
ques de l'empire furent invités à sous- obligés de se retirer devant les agitations
crire les décrets du concile. Alors s'en- tumultueuses des soldats ameutés con-
gagea une lutte désespérée qui dura tre eux par les partisans de Constantin
jusqu'à la mort de Constantin : très-peu Copronyme, dont ils s'imaginaient que
de moines obéirent aux ordres de l'em- le concile voulait flétrir la mémoire. Ce
pereur; ceux qui résistèrent payèrent ne fut que l'année suivante que les évê-
leur foi de leur sang. Parmi les pre- ques, réunis à Nicée, délivrés de la pres-
mières victimes de l'aveugle rage de sion d'une aveugle soldatesque, purent,
l'empereur l'histoire cite André le Ca- durant les sept sessions du concile, réfu-
lybite, qui fut bientôt suivi d'une foule ter les objections faites au culte des
de martyrs. Des centaines de fidèles images, prononcer l'anathème contre la
courageux et persévérants furent chas- doctrine hérétique des iconoclastes, et
sés, emprisonnés, mutilés; presque tous rétablir le culte de dulie dû aux images,
les couvents furent fermés, beaucoup de
monastères renversés, d'autres conver-
tis en écuries et en casernes. Les moi-
nes, expulsés de leurs saints asiles, étaient
contraints de déposer leur habit, et ceux
qui s'y refusaient étaient livrés aux ri-
sées, aux outrages et à la cruauté de
la multitude réunie dans le cirque.

Constantin ne trouva que trop d'instruments dociles de sa fureur dans les gouverneurs des provinces, qui, avides de la faveur du tyran, saisissaient toutes les occasions de réjouir leur maître par le récit de leurs sanglants exploits. Constantin tomba malade durant une expédition dirigée contre les Bulgares, et mourut, le 14 septembre 775, sur le bâtiment qui devait le débarquer au château de Strogylum. THALLER.

CONSTANTIN VI, Porphyrogénète, ainsi nommé parce que, au moment de sa naissance, en 771, son père Leon IV était déjà empereur. Constantin succéda

poσxúσis, en opposition avec le culte de latrie dû à Dieu seul, ¿ìn0và λαтpeía (2). Les canons de ce septième concile œcuménique furent proclamés devant l'empereur et l'impératrice, dans la huitième session tenue à Constantinople, en présence du peuple.

Constantin s'abandonna pendant tout son règne à la direction de sa mère, dont, il est vrai, une sédition, soutenue par les vétérans, chercha à l'affranchir; mais, au bout d'un an, l'empereur la rappela lui-même à la régence. Aussi cruelle qu'ambitieuse, Irène se vengea d'une manière sanglante de l'outrage qu'elle avait subi elle ne songeait qu'à régner seule. Après une expédition que Constantin avait entreprise contre les Sarrasins, et dans laquelle, trompé par de faux renseignements, il avait exposé les

(1) Voy. l'art. précédent.
(2) Labbe, Concil., t. VIII.

provinces menacées aux ravages de l'ennemi, il s'était aliéné la plupart des esprits par le soupçon de lâcheté qui planait sur lui. Irène voulut profiter de la disposition générale pour priver son fils de la couronne. Constantin échappa aux conjurés qui allaient s'emparer de lui, mais il fut pris en Asie par le parti voué à l'impératrice. On le ramena à Constantinople, et l'atroce Irène lui fit crever les yeux dans la chambre même où elle l'avait mis au monde. Avec lui s'éteignit la race des Isauriens (1). THALLER.

CONSTANTIN, Pape de 708 à 715, Syrien de naissance, fut élu après la mort de Jean VII. L'unité de l'Église était menacée au commencement de son pontificat par le schisme qu'avait introduit le nouvel évêque de Ravenne, Félix, qui avait bien été sacré à Rome, y avait fait sa profession de foi et y avait prêté serment de fidélité au Pape, mais qui, de retour dans son diocèse, ex. cité par les habitants de Ravenne, voulut déclarer son Église indépendante de celle de Rome. L'empereur Justinien II fit amener à Constantinople les schismatiques, dont la plupart furent mis à mort, tandis qu'on creva les yeux à Félix. Constantin, après la déposition de Justinien, rétablit dans son ancienne dignité l'aveugle Félix, qui se repentait sincèrement de son injustice. Justinien étant remonté sur le trône voulut, comme il l'avait déjà essayé une fois, obtenir la sanction du Pape pour les canons décrétés au concile tenu, probablement vers 692, à sa demande, à Constantinople, et qu'on nomme Quinisextum, parce qu'il devait compléter le cinquième et le sixième concile œcuménique, relativement aux affaires de discipline; mais toutes les tentatives ayant échoué, et Jean VII ayant renvoyé sans exception tous les actes, quoique l'empereur

(1) Théophane, Chronogr., p. 304.

lui eût laissé la faculté de ne confirmer que ceux qui n'étaient pas contraires à l'Église romaine, Justinien invita le Pape à venir à Constantinople, afin de pouvoir s'entendre avec lui sur les me sures à prendre.

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Constantin répondit à cet appel en 710, et fut solennellement par reçu bère, fils de l'empereur, le clergé et le peuple. De Constantinople le Pape se rendit à Nicée, en Bithynie, où l'empereur l'avait prié de venir le rejoindre. Justinien alla avec empressement au devant de lui, et donna, en voyant le Pape, les plus vives démonstrations de joie et d'humilité. Il est difficile de décider si Justinien, en cette circonstance, jouait simplement la comédie et avait en vue un tout autre projet (1), ou si, touché du repentir de ses fautes passées à la vue du souverain Pontife, il avait voulu honorer réellement le représentant de Jésus-Christ, qui a le pouvoir de lier et de délier. Ce qui est certain, c'est que, le dimanche suivant, Justinien assista à la messe célébrée par Constantin, qu'il reçut avec toute sa famille la communion des mains du Pontife, et qu'il confirma tous les priviléges de l'Église romaine. On ne peut pas plus démontrer jusqu'à quel point Constantin reconnut les canons du synode de Constantinople. On voit qu'ils ne furent pas généralement adoptés par cette circonstance que le Pape Jean VIII trouva nécessaire de faire de nouveau confirmer les canons orthodoxes de ce concile. En oc tobre 711 Constantin revint de son voyage, et, trois mois plus tard, Justinien et son fils Tibère furent assassinés, et Philippicus Bardanes s'empara de la couronne impériale. Cet usurpateur, ardent partisan du monothélisme, deposa le patriarche orthodoxe de Constantinople, Cyrus, éleva à sa place Jean, plus docile à ses volontés, réunit en 712

(1) Gfrærer, III, 93.

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un faux synode, contraire au sixième concile œcuménique, et poursuivit de toutes les façons les fidèles orthodoxes.

Le Pape Constantin, auquel il envoya sa profession de foi, la rejeta; on passa sous silence, au canon de la messe, le nom de l'empereur; on n'admit pas ses statues dans les églises; le peuple se souleva contre le prince, qui voulait chasser le préfet de Rome, Christophe, Catholique orthodoxe, pour le remplacer par le monothélite Pierre. Les deux partis en vinrent aux mains, et le calme ne put se rétablir que lorsque Constantin envoya des prêtres apaiser le peuple soulevé. Mais le règne de Philippicus fut de courte durée : dix-huit mois après son élévation il fut chassé et remplacé par Anastase sur le trône de Byzance. Celui-ci combattit les monothélites dans la profession de foi qu'il adressa au Pape, que d'ailleurs il s'efforça de sou- | tenir de tout son pouvoir. Constantin envoya le prêtre et apocrisiaire Michel à Constantinople, pour présenter ses félicitations à l'empereur et demander qu'il réintégrât dans la communion de l'Église les évêques qui se repentaient d'avoir cédé aux exigences de Philippi. cus. Constantin régna sept ans; il rut le 8 avril 715. Anastase vante la fermeté avec laquelle il poursuivit l'erreur partout où il la rencontra, et d'autre part la douceur et l'humilité qui lui valurent l'amour de l'Église. Ce fut pendant son pontificat que les deux rois Coënred et Offa vinrent de Bretagne à Rome pour y terminer leur vie dans un❘

couvent.

mou

THALLER.

CONSTANTIN SYLVAIN. Voy. PAU

LICIENS.

CONSTANTINOPLE. Il n'est guère d'acte qui ait eu une plus grande influence sur l'histoire ecclésiastique et profane que la fondation d'une seconde capitale du monde romain. Constantin, qui donna son nom à l'antique Byzance, attribua sa pensée à une inspiration di

ENCYCL. THÉOL. CATII. — T. V.

vine, et, si l'on songe aux événements immenses qui se rattachent à la fondation de cette ville, médiatrice entre l'Europe et l'Asie, la mer Noire et la Méditerranée, il paraît hors de doute que la Providence a eu une part spéciale dans ce grand fait historique. Une histoire même fort abrégée de cette ville serait l'histoire de l'empire de Byzance. Nous ne rappellerons ici que ce qu'elle offre de plus important et de plus saillant.

Constantinople fut la première ville dans laquelle un empereur chrétien arbora la croix. Les anciennes statues des dieux de Samos et de Cnide, de l'Hélicon et des autres sanctuaires célèbres du paganisme, que l'empereur y fit réunir, furent comme des esclaves et des témoins de la victoire remportée par le Christianisme sur le monde païen (1). La nouvelle Rome ayant été fondée, en 330, aux frontières qui étaient le plus menacées, l'Italie cessa d'être la première province de l'empire romain; l'ancienne Rome fut réduite à ne vivre que sur son passé, et ce fut de l'Orient et du bas Danube que les maîtres de l'empire purent défendre le plus efficacement leurs États contre les Persans d'une part et les Goths de l'autre.

Mais la création de cette seconde capitale ne permit pas aux empereurs de porter une égale sollicitude à l'Orient et à l'Occident, et le partage de l'empire romain en deux empires, dont l'un dura jusqu'en 1453, l'autre jusqu'en 1806 (2), fut décidé par l'inauguration de Constantinople, en 330, tout comme on put prévoir dès lors que l'influence gréco-asiatique deviendrait prédominante dans la partie orientale de l'empire.

Si Constantin Ier n'avait posé, en fa

(1) Conf. Tillemont, Histoire des Empereurs, etc., t. IV, art. 65.

(2) L'empereur d'Allemagne ne quitta ce titre qu'après 1810.

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