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| qui prononça dans l'affaire du divorce entre Philippe-Auguste et Ingeburge; en Espagne et en Allemagne. Ami et protecteur zélé de S. François d'Assise, ce Colonna était en si haute estime que Célestin III désirait déposer la tiare en sa faveur, et qu'Innocent III dut son élévation surtout à l'accession de Colonna (1).

II. JEAN COLONNA, depuis 1216 cardinal-prêtre au titre de Ste Praxède, légat du Pape Honorius III auprès des Croisés, et présent en cette qualité à la conquête de Damiette (novembre 1219); général des armées du Pape Grégoire IX qui devaient chasser Frédéric II de Si

COLONNA ¿de Columna), nom qui revient frequemment dans l'histoire de l'Eglise et qui appartient à une famille ancienne et princière, residant originairement à Rome et dans ses environs, qui se répandit au dehors, se perpetua dans la lignée des dues de Palliano et des princes de Colonna-Sciarra, et donna à l'Eglise et au monde un Pape, beaucoup de cardinaux et d'évêques, des generaux d'armée et des savants. Elle tire probablement son nom du bourg Colonna, l'ancien Labicum, daus la Campagne romaine, et remonte, d'après des documents certains, jusqu'en 1100 (1), epoque à laquelle on voit un Pierre Colonna, renfermé dans les châ-cile, mort en février 1244. Durant son teaux de Colonna et de Zagarola, menacer le Pape Pascal III. Elle a pour armes une colonne d'argent surmontée d'une couronne, avec la devise: Flecti-Théodore Comnène, dynaste d'Épire, et mur, non frangimur. Quelques auteurs disent qu'Alexandre III, d'autres que Gregoire IX déclara tous les membres de la famille Colonna à jamais incapables de revêtir, quelque part que ce fût, une dignite ecclésiastique, à cause de leur attachement opiniâtre aux opinions gibelines; mais aucun document historique ne constate ce fait. Ce qui est établi, c'est que Boniface VIII déclara les descendants de Jean III et d'Othon XVI, de la maison Colonna, irréguliers jusqu'à la quatrième génération (2). Les membres de cette famille remarquables dans l'histoire de l'Église sont, dans l'ordre chronologique, les suivants :

I. JEAN COLONNA surnommé a S. Paulo, créé cardinal-prêtre, au titre de Ste Prisque, par Célestin III, en 1193, nommé par Innocent III cardinalevêque de Sabine, chargé de plusieurs missions diplomatiques importantes : en France, au concile de Soissons (1201),

(1) J. Palatii Gesta Pontif., II, Venet., 1688, p. 047. (2) J. Palatu Fasti Cardinal., I, Venet., 1703, p. 517 et 518.

voyage en Orient, il tomba, avec Pierre de Courtenay, couronné par le Pape empereur de Byzance, dans les mains de

fut retenu prisonnier. Il parvint, après avoir recouvré sa liberté, à faire proclamer empereur Pierre de Courtenay, par Manuel, patriarche de Constantinople, en lui montrant par les lettres du Pape que le couronnement de cet empereur ne porterait aucun préjudice aux droits du patriarche. Captif de nouveau, non plus des Grecs, mais des Sarrasins, qui le prirent durant un pèlerinage qu'il faisait à Jérusalem, il obtint sa liberté par son intrépidité, et apporta en 1223 à Rome la colonne à laquelle le Christ avait été flagellé, et qu'il dressa dans l'église dont il était titulaire. On trouve quelques lettres de ce cardinal legat dans Ughelli (2).

III. JEAN COLONNA, neveu du précédent, étudia à Paris, devint Dominicain et provincial de son ordre en Toscane (1236 et 1237). En 1255 il obtint

(1) J. Palatii Fasti Cardinal., I, 385-387. Hurter, Innocent III, 1re éd., I, 76, 80, 236, 402; II, 276; IV, 250. Ughelli, Ital. sacra, 2e éd., 1717-1722, t. I, p. 162.

(2) Ital. sacra, t. III, p. 420. Conf. J. Palatii Fasti Cardinal., t. I, 435 et 436.

l'archevêché de Messine, et en 1262 l'ar- | le Pape. Excommunié et longtemps fugitif, relevé de l'excommunication par Benoît XI et réinstallé au rang des cardinaux par Clément V, il mourut le 14 août 1318 à Avignon; son corps fut inhumé à Rome (1).

chevêché de Nicosie en Chypre, qu'il fut obligé de quitter par suite des séditions qui y éclatèrent (1263). Nommé vicaire d'Urbain IV, et employé de diverses manières par les successeurs de ce Pape, il mourut entre 1280 et 1290. Il laissa : 1o Mare historiarum, ab orbe condito usque ad Ludovici XI, Galliarum regis, tempora, en manuscrit, et qu'il ne faut pas confondre avec la Mer des Histoires de Brochart (1); 20 Liber de Viris illustribus ethnicis et Christianis, publié en 1720 par Benoît Zoanelli, avec des remarques; 3o Epistolæ ad diversos de Infelicitate curialium; de Gloria Paradisi, non imprimés (2). Les six fils de son frère Othon XVI, savoir: Jacques, Matthieu, Othon XVII, Jean III, Landolphe et Jordan, furent très - favorisés par le Pape Nicolas IV, qui cherchait dans la maison Colonna un contre-poids à la maison des Orsini, et ce fut sous le règne de ce Pape (1288-1292) que se développa surtout la puissance territoriale des Colonna. Parmi les fils d'Othon XVI l'Église compte :

IV. JACQUES COLONNA, d'abord archidiacre de la cathédrale de Pise, créé en 1278, par le Pape Nicolas III, cardinal-diacre au titre de S. Mariæ in via lata, nommé par Nicolas IV archiprêtre de la basilique libérienne (SainteMarie Majeure) et protecteur de l'ordre de Saint-Jacques. C'était un ami du puissant cardinal Napoléon Orsini, qui s'était rangé du côté des Colonna, ennemis jurés de sa maison, ce qui lui fit donner la pourpre par le Pape Nicolas IV, en 1288. Jacques Colonna tomba en disgrâce sous Boniface VIII (3), parce qu'il avait pris nettement parti pour sa famille dans la lutte élevée entre elle et

(1) Paris, 1488, 1515, 1536.

(2) Conf. Quétif et Echard, Script. ord. Prædic., 1, 418-420.

(3) Voy. BONIFACE VIII.

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V. PIERRE COLONNA, créé cardinaldiacre au titre de S. Eustache ou de S. Angeli par Nicolas IV, en 1288, et archiprêtre de Sainte-Marie Majeure, comme Jacques Colonna, son oncle, dont il fut le compagnon d'infortune, était fils de Jean III, qui, accusé de posséder sans titre légal plusieurs propriétés, fut condamné par le Pape Boniface VIII. Pierre Colonna avait pour frères Étienne VIII, qui avait pillé le trésor pontifical, et Jacques, surnommé Sciarra, qui avait personnellement attaqué le Pape. Avant son entrée dans les Ordres Pierre était marié, mais sa femme avait pris le voile. Également excommunié et forcé de fuir Rome, absous par Benoît XI, réintégré par Clément V, il mourut aussi à Avignon, en 1326 (2). Les frères de Pierre, Etienne et Sciarra, revinrent à Rome et profitèrent du séjour du Pape à Avignon pour fonder de nouveau leur puissance en Italie. Sciarra se rangea résolument du côté de l'empereur Henri VII et de Louis de Bavière, qui le nomma, contre le gré de Jean XXII, vicaire de l'empire à Rome, et lui accorda, pour la part qu'il avait prise à son couronnement, en 1328, une couronne dans ses armes. Parmi la postérité de Sciarra nous devons nommer ici son petit-fils,

VI. AGAPET COLONNA, archidiacre de Bologne, nommé évêque d'Ascoli, en 1363, par Urbain V, en 1369 évêque de Brescia, sous Grégoire XI, successivement légat auprès de Charles IV en Allemagne, auprès de Henri de Castille en Espagne et de Ferdinand en Portugal,

(1) J. Palatii Fasti Cardin., I, 516-519. (2) J. Palatii, 1. c., 536. Conf. l'article BONIFACE VIII.

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archevêque de Lisbonne, et enfin créé par Labain V1, en 1878, cardinal-prêtre au titre de Ste Prisque, et, en cette qualité, charge de diverses missions en Italie, mourut, en 1380, à Rome (1). En même Temps le Pape Agapet créa cardinaldiacre, au titre de S. Eustache, son frère FINAR, jusqu'alors prévôt de Saint-Nicolas, tenta, sous le déguis Omer, dans le diocèse de Térouanne, et nonce apostolique à Gênes sous Grégowe XI. Il avait défendu avec zèle, contre l'antipape Clément VII (2), le Pape légitime Urbain VI, auquel il était aussi dévoué que Sciarra l'était à l'empereur. Après de vives luttes, soutenues dans l'intérêt du Pape, Étienne fut fait sénateur, et resta en possession de cette dignité jusqu'au moment où Cola di Rienzo (19 mai 1347) fut proclamé tribun de Rome (3). Il eut la douleur de voir mourir six de ses fils avant de descendre lui-même dans la tombe, en 1349, à un âge très-avancé. Parmi ses six fils cinq appartenaient à l'état ecclésiastique; les plus célèbres sont :

JEAN, créé, en 1322, par le Pape Jean XXII, cardinal-diacre, au titre de S. Angeli, défenseur courageux de la cause papale contre Louis de Baviere, ami de Pétrarque et des savants en général, mort à Avignon en 1343 (4);

AGAPET, archidiacre de Lombez, chapelain de Clément VI, évêque de Luni et de Sarzane, en 1344, mort la même année, qui eut pour successeur, JORDAN, son frère, jusqu'alors archidisere de Toul (6);

JACQUES, évêque de Lombez, qui fut également en commerce d'amitié avec Patrarque,

des pèlerins blancs qui troublaient l'Italie (1), de s'emparer du Ca par un coup de main. Il fut excom nié, avec son frère Jean, à la de nouveaux troubles excités en f de Ladislas de Naples et du gor neur du château Saint-Ange, Anta Tomacelli, et sous le Pape Grégoire ses parents subirent, le 18 juin 14 en leur qualité d'alliés du roi de ples, une sanglante défaite de la pa de Paul Orsini. Un autre successe d'Étienne VIII fut le général Eties Colonna, qui, après avoir appris l' de la guerre sous son cousin, Prospe Colonna, fut d'abord à la solde d Charles-Quint, se mit, en 1526,au serviet de Clément VII, au moment où ce Pap avait tous les Colonna contre lui, ensuit au service de la France (2). Plus tan il fut nommé par Paul III au comman dement des troupes qui devaient conquérir Camérino, et mourut feld-marechal de Charles-Quint, à Pise, en 1548.

D'Othon XVII, autre frère du cardi nal Jacques Colonna, nommé au no IV, descendit en droite ligne :

VII. OTHON COLONNA, cardinal-diacre au titre de S. Georgii in Velabro depuis 1405, qui devint Pape sous le nom de Martin V (3). Il avait fait donation, en 1409, à son frère aîné, Jordan

Par son petit-fils Etienne X, Étien- (mort sans postérité mâle le 16 aout

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frié à Jeanne Ruffo († 1471); PROS-dinal-diacre au titre de S. Geor Velabro depuis 1442, archiprêtre basilique de Latran sous Nico134 Calixte III et Pie II, dont il déélection, actif et dévoué à l'Église, à Rome en 1463 (1), et Édouard, te de Célano, souche des Palliano, t duc de Marsi et d'Amalfi, en 1481, nt accusés auprès du Pape Eue IV (2) d'avoir détourné les sommes assées, dans l'intérêt de l'Église, sous rtin V, prédécesseur d'Eugène IV, et, a suite de cette accusation, provoés, par la conduite équivoque de leur usin, Étienne IX Colonna, à s'empar à l'improviste de la ville de Rome. Etienne IX avait reçu du Pape l'ordre 'arrêter en secret Otto Pocci, chanceier de Martin V, l'avait exécuté avec Deaucoup d'imprudence, et, craignant la colère d'Eugène, avait fait accroire au prince de Salerne que le Pape n'avait pas d'autre intention que de ruiner complétement la famille Colonna. Mais Eugène, à l'aide des Vénitiens et des Florentins, fut bientôt en état d'humilier les Colonna, de les contraindre à payer d'énormes amendes et à restituer plusieurs des villes et des domaines qu'ils possédaient.

A cette occasion GASPARD COLONNA, proche parent des séditieux, archevêque de Reggio, en Calabre, depuis 1426, et de Bénévent depuis 1429 († le 4 juillet 1435), fut enfermé au château Saint-Ange le 20 juin 1431 et en sortit plus tard (3). Mais, malgré ces humiliations et ces pertes, auxquelles s'ajouta la prise de possession de la principauté de Salerne par Jean de Sicile, les Colonna s'allièrent, en 1433, avec Nicolas Fortebraccio, qui s'était révolté contre Eugène, et ne laissèrent pas un instant de repos au Pape jusqu'à ce

(1) J. Palatii Fasti Card., II, 205.
(2) Voy. EUGENE IV.

(3) Ughelli, Ital. sacra, VIII, 162; IX, 331

que, en 1436, Jean Vitelleschi ruina de fond en comble Palestrina (1).

Antoine Colonna, prince de Salerne, laissa quatre fils d'un premier mariage, savoir:

1o Pierre-Antoine, père du fameux capitaine Marc-Antoine l'aîné (né le 3 septembre 1478), auquel Jules II donna sa nièce en mariage et Frascati en dot, et dont Marc n'eut que la malheureuse Livie Colonna, assassinée à la demande de son beau-fils, Pompée Colonna ;

2o JEAN, cardinal;

3o Jérôme, seigneur de Gallicano et de Zagarola;

4o Prosper, prince de Palliano-Tragetto.

De ceux-ci et de leur postérité sortirent et appartinrent à l'Église :

VIII. Le cardinal JEAN COLONNA, nommé ci-dessus au no 2, d'abord abbé commendataire de Grottaferrata, administrateur de l'évêché de Riéti, puis créé, en 1480, cardinal-diacre au titre de S. Maenfermé riæ in Aquiro, par Sixte IV, dans le château Saint-Ange à cause des rapports de sa famille avec Ferdinand de Naples, et relâché seulement au bout d'un an. Ferdinand était venu au secours de son gendre, le duc Hercule de Ferrare, en 1482, contre Sixte IV (2), et avait gagné à son parti tous les Colonna, à l'exception de ceux de Palestrina et des Savelli. Aussi les Orsini, auxquels les Colonna avaient enlevé Tagliacozzo, n'eurent pas de peine à obtenir de Sixte IV l'emprisonnement du cardinal, jusqu'au moment où celui-ci parvint, à l'aide des Vénitiens et des Génois, à rétablir la bonne intelligence entre le Pape et Ferdinand.

Les Colonna ne supportèrent pas patiemment les pertes qu'on leur avait infligées dans cette circonstance; ils con

(1) Raynald, ad ann. 1431, II, X-XV; 1433, XXV; 1436, XXII.

(2) Voy. SIXTE IV.

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son, encore existante des Co Sciarra Barberini. Du resu d'opposition contre les Papes qu propre à la famille Colonna anima lement les successeurs d'Étienne VI car, en 1400, le fils d'Étienne X

archevêque de Lisbonne, et enfin créé par Urbain VI, en 1378, cardinal-prêtre au titre de Ste Prisque, et, en cette qualité, chargé de diverses missions en Italie, mourut, en 1380, à Rome (1). En même temps le Pape Agapet créa cardinaldiacre, au titre de S. Eustache, son frère ÉTIENNE, jusqu'alors prévôt de Saint-Nicolas, tenta, sous le déguiseme Omer, dans le diocèse de Térouanne, et nonce apostolique à Gênes sous Grégoire XI. Il avait défendu avec zèle, contre l'antipape Clément VII (2), le Pape légitime Urbain VI, auquel il était aussi dévoué que Sciarra l'était à l'empereur. Après de vives luttes, soutenues dans l'intérêt du Pape, Étienne fut fait sénateur, et resta en possession de cette dignité jusqu'au moment où Cola di Rienzo (19 mai 1347) fut proclamé tribun de Rome (3). Il eut la douleur de voir mourir six de ses fils avant de descendre lui-même dans la tombe, en 1349, à un âge très-avancé. Parmi ses six fils cinq appartenaient à l'état ecclésiastique; les plus célèbres sont :

JEAN, créé, en 1322, par le Pape Jean XXII, cardinal-diacre, au titre de S. Angeli, défenseur courageux de la cause papale contre Louis de Bavière, ami de Pétrarque et des savants en général, mort à Avignon en 1343 (4);

AGAPET, archidiacre de Lombez, chapelain de Clément VI, évêque de Luni et de Sarzane, en 1344, mort la même année, qui eut pour successeur, JORDAN, son frère, jusqu'alors archidiacre de Toul (5);

JACQUES, évêque de Lombez, qui fut également en commerce d'amitié avec Pétrarque.

des pèlerins blancs qui troublaient alo. l'Italie (1), de s'emparer du Capitol par un coup de main. Il fut excommunié, avec son frère Jean, à la suite de nouveaux troubles excités en faveur de Ladislas de Naples et du gouverneur du château Saint-Ange, Antoine Tomacelli, et sous le Pape Grégoire XII ses parents subirent, le 18 juin 1407, en leur qualité d'alliés du roi de Naples, une sanglante défaite de la part de Paul Orsini. Un autre successeur d'Étienne VIII fut le général Etienne Colonna, qui, après avoir appris l'art de la guerre sous son cousin, Prosper Colonna, fut d'abord à la solde de Charles-Quint, se mit, en 1526,au service de Clément VII, au moment où ce Pape avait tous les Colonna contre lui, ensuite au service de la France (2). Plus tard il fut nommé par Paul III au commandement des troupes qui devaient conquérir Camérino, et mourut feld-maréchal de Charles-Quint, à Pise, en 1548.

D'Othon XVII, autre frère du cardinal Jacques Colonna, nommé au no IV, descendit en droite ligne :

VII. OTHON COLONNA, cardinal-diacre au titre de S. Georgii in Velabro depuis 1405, qui devint Pape sous le nom de Martin V (3). Il avait fait donation, en 1409, à son frère aîné, Jordan

Par son petit-fils Étienne X, Étien- (mort sans postérité mâle le 16 août

(1) Ughelli, Ital. sacra, I, 467; IV, 554. J. Pulatii Fasti Cardin., II, 50, 51.

(2) J. Palatii, 1. c., 68.

(3) Félix Papencordt, Cola di Rienzo et son temps, Hambourg et Gotha, 1841.

(4) J. Palatii Fasti Cardin., I, 616, 617. (5) Ughelli, Ital. sacra, I, 854.

1422), de Salerne et d'Amalfi, et du comté d'Albe à son autre frère Laurent († 1426). Les fils de Laurent : Antoine, prince de Salerne après la mort de Jor

(1) Voy. BONIFACE IX.

(2) J. Palatii Fasti Cardinal., II, 636, 640. (3) Voy. MARTIN V.

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