La Meffe de S. Hubert, Double, le 3. No- La Meffe de S. Charles, Double, le Memoire des SS. Vital & Agricole, La Meffe de S. Didace, Confeffeur, Semi-dou- La Meffe de S. Gregoire Thaumaturge, Semi- La Melle de la Dedicace de la Bafilique de S. Pier- re & S.Paul, le 18. Novembre. 483 Memoire de S. Pontien Pape & Martir. 486 La Meffe de S. Felix de Valor, Confeffeur, Semi- La Meffe de la Presentation de la Sainte Vierge, APPROBATION De Monfieur PIROT, Docteur de la Maifen &Societé de Sorbonne. JA 'Ai lû le Dixiéme Tome de l'Année Chrétienne. En Sorbonne le deuxiéme Novembre 1692. PIROT. AUTRE APPROBATION de Monfieur GERBAIS, Docteur de la Societé de Sorbonne. J 'Ai lù le Dixième Tome de l'Année Chrétienne, de M. le Tourrieux, & il fera à mon avis auffi propre que les precedens à former de veritables Chrétiens. Donné à Paris le 15. Novem bre 1692. GERBAI S. T AUTRE APPROBATION. J' 'Ai lû ce Dixiéme Volume de l'Année Chrétienne, avec la même application que les precedens. J'y ai trouvé comme dans ceux-là l'efprit & les idées de l'Auteur de cet excellent Quvrage, exactement fuivis; ainfi que fon pieux deffein de donner aux Fidéles un moien de rendre à Dieu un culte d'autant plus pur & plus fincere, qu'il eft eutierement conforme à l'ufage de l'Eglife, fidélement executé par une traduction pure, par des moralitez folides & prifes du fond de la Religion; & enfin par un heureux choix de ce qu'il y a de plus édifiant dans la conduite des Saints. C'est le témoignage que je rends volontiers à ce Livre, où je n'ai rien remarqué qui ne s'acorde avec la pureté de la foi de l'Eglife, & avec la fainteté de fa morale. A Paris le 8. Novembre 1692. LEs faints Peres de l'Eglife ont toujours eu un fi profond refpect pour le faint Sacrifice de nos Autels,.& l'ont envisagé comme fi grand, fi rempli de majefté, & fi propre à produire dans le cœur desFidéles les fruits d'une veritable & folide pieté par un facrifice interieur & univerfel d'euxmêmes, qu'ils fe font fait un devoir leffentiel der leur expliquer ce myftere redoutable, de dévelo per le fens des divines Ecritures dont on y faifoit la lecture, afin qu'elles devinffent pour les Chrétiens une fource feconde de lumiere, de grace & de benediction.Ce zele a paffé jufqu'à l'Auteur de l'Année Chrétienne; puis que conduit & guidé par la doctrine des faints Docteurs, il a donné au pu-. blic des Explications fi folides & fi édifiantes de l'Ecriture, qu'on peut efperer que ceux qui les liront avec application, trouveront dans ce Dixiéme Volume, auffi-bien que dans tous les autres, des fentimens orthodoxes, des veritez pures, des maximes exactes & point outrées, une éloquence vraînent chrétienne, & s'écrieront comme les Pelerins d'Emaus, inftruits autrefois par JefusChrift même: N'eft-il pas vrai que notre cœur étoit tout brûlant dans nous lorsqu'il nous parloit durant le chemin, & qu'il nous expliquoit les Ecritures? Fait à S. Denis ce 17. Novembre 1692. V D'ARNAUDIN, Curé de S. Martin à S. Denis en France. AUTRE APPROBATION. U le Livre, qui porte pour titre, l'Année Chrétienne, &c. & n'y aiant rien trouvé qui foit contre la Foi & les bonnes mœurs, mais au contraire le trouvant rempli de pensées trèsfolides & très-chrétiennes, propres à nourrir la picté des Fidéles, & à fournir abondanment aux Predicateurs zelez, de quoi les inftruire dans les veritez les plus falutaires, je juge, qu'il fera fort utilement réimprimé. Fait à Malines le 6. Septembre 1687. J. DE CUYPER, Licent. en la |