CXX. Les Vaudois nullement Calvinistes: preuve par Crespin. CXXI. Preuve par Beze. Page 176 178 CXXII. Changement des Vaudois de Calabre, et leur entière Ibid. extinction. CXXIII, Les Vaudois d'à présent ne sont pas prédécesseurs, mais sectateurs des Calvinistes. 179 CXXIV. Nul secours à tirer des Vaudois pour les Calvinistes. Ibid. CXXV. Les Calvinistes n'ont aucun auteur du temps qui favorise leur prétention sur les Vaudois. 181 CXXVI. Livres vaudois produits par Perrin. 182 184 CXXVII. Suite. CXXVIII. Confession de foi produite par Perrin. Qu'elle est postérieure au calvinisme. 185 186 CXXIX. Démonstration que les Vaudois n'avoient point de Confession de foi avant la Réforme prétendue. CXXX. Que lesVaudois en dressant leur Confession de foi calviniste, ont retenu quelque chose des dogmes qui leur étoient particuliers. 189 188 CXXXI. Réflexions sur l'histoire des Albigeois et des Vaudois. Artifice des ministres. CXXXII. Démonstration que les hérétiques qui ont nié la réalité au douzième et treizième siècle sont Manichéens. Insigne supposition des ministres. CXXXIII. Suite. Manichéisme à Metz. Les Bogomiles. CXXXV. Autre falsification. CXXXIV. Suite des suppositions des ministres. 190 192 193 1bid. 194 CXXXVII. Récapitulation. CXXXVIII. Deux autres objections des ministres. CXXXIX. Seize Eglises des Manichéens, qui comprenoient Ibid. 195 toute la secte. 196 CXL. Les Cathares au nombre de quatre mille. Ce que c'étoit. Ibid. CXLI. Si le mot de croyans signifie les Vaudois chez les anciens auteurs. Illusion d'Aubertin. 197 CXLII. Conclusion. Que les Vaudois ne sont point du sentiment des Calvinistes. CXLIII. Ce qu'il faut croire de la vie des Vaudois. 198 Ibid. CXLIV. L'aigreur est le caractère de cette secte. Abus de l'E Page 199 criture. CXLV. Eminente sainteté dans l'Eglise catholique. Saint Bernard. CXLVI. Aigreur et présomption des hérétiques. 201 202 Ibid. CXLVIII. Condamnation inévitable de ces hérétiques, en ce qu'ils renioient leur religion. CXLVII. S'il faut se laisser surprendre à leur fausse constance. Réponse mémorable de saint Bernard. 203 Histoire des Frères de Bohéme, vulgairement et faussement appeles Vaudois. CXLIX. La secte des Frères de Bohême. 204 CL. Ils désavouent ceux qui les appellent Vaudois; et pourquoi. 205 CLI. Sentimens de Camérarius et de Rudiger. 206 CLII. Les Vaudois désavoués par les Frères, aussi bien que les Picards. 207 Histoire de Jean Viclef, anglais. CLIII. Doctrine impie de Viclef, dans son Trialogue. CLIV. Il imite la fausse piété des Vaudois. 208 212 CLV. Qu'on n'a point calomnié la doctrine de Viclef au concile de Constance. CLVI. Pernicieuse doctrine de Viclef sur les Rois. 213 Ibid. CLVII. Articles de Viclef conformes à notre doctrine. 214 CLVIII. Confession de foi de Viclef produite par M. de la Ro que, fils du ministre. 215 CLIX. Qu'elle est fausse par Viclef même. Ibid. CLX. Viclef renonce à sa doctrine, et meurt dans la commu CLXII. Jean Hus imite Viclef dans sa haine contre le Pape. 217 sés, excepté la communion sous les deux espèces, et le CLXVI. Que tout est bon aux Protestans, pourvu qu'on crie Ibid. Ibid. CLXX. Les Calixtins disposés à reconnoître le Pape. 223 CLXXI. D'où vient donc qu'ils respectoient tant la mémoire de CLXXIII. Origine des Frères de Bohême qui se séparent de Ibid. CLXXV. Ils ne prenoient que le nom de Jean Hus, et n'en sui- Ibid. Ibid. CLXXXVI. La manière dont ils refusent l'adoration confirme CLXXXVII. Leur incertitude et leurs ambiguités affectées. 237 CLXXXVIII. Les Luthériens et les Calvinistes les veulent tirer à eux. Ils penchent vers les premiers. CLXXXIX. Luther leur donne son approbation, et comment. 240 CXC. Leurs fêtes, leurs temples, leurs jeûnes, le célibat de leurs CXCI. La perpétuelle virginité de Marie, mère de Dieu. Pag. 241 CXCII. Ils se réfugient en Pologne. CXCIII. Ils s'y unissent avec les Luthériens et les Zuingliens, dans l'assemblée de Sendomir. CXCIV. Termes de l'accord de Sendomir. Ibid. CXCV. Les Zuingliens sont ceux qui se relâchent le plus dans cet accord. 243 CXCVI. Relâchement des Luthériens, et comment ils s'en peu vent sauver. 244 CXCVII. Disposition des Frères de Bohême. Ibid. 245 Ibid. CXCIX. Réflexions générales sur l'histoire de toutes ces sectes. 246 CC. Autre réflexion sur ce que des sectes si contraires se fondent toutes sur l'évidence de l'Ecriture. CCI. Dernière et plus importante réflexion sur l'accomplissement de la prédiction de saint Paul. CCII. La doctrine des deux principes marquée par saint Paul : pourquoi cette doctrine est appelée une doctrine de démons. 247 248 CCIII. Question: Pourquoi le Saint-Esprit de toutes les hérésies n'a prédit en particulier que le seul manichéisme. Caractère de cette hérésie. L'hypocrisie. L'esprit de mensonge. La conscience cautérisée. 249 CCIV. Suite des raisons pourquoi le Saint-Esprit a marqué cette hérésie plutôt que les autres. 250 CCV. Comment les Vaudois sont sortis des Albigeois manichéens. 252 CCVI Comment Luther et Calvin sont sortis des Albigeois et des Vaudois. 254 CCVII. Les Eglises protestantes cherchent en vain la succession des personnes dans les sectes précédentes. Ibid. CCVIII. Elles y trouvent encore moins la succession dans la doctrine. 255 CCIX. Quelle succession ont les hérétiques. 256 LIVRE XII. Depuis 1571 jusqu'à 1579, et depuis 1603 jusqu'à 1615. I. Plusicars Eglises prétendues réformées de France veulent changer l'article de la Cène dans la Confession de foi. 258 II. Le synode national les condamne. Décision de ce synode pleine d'embarras. Page 259 III. Vains efforts du synode pour trouver la substance du corps et du sang dans la doctrine des Eglises prétendues réformées. 260 IV. Erreur du synode, qui cherche le mystère de l'Eucharistie, sans en produire l'institution. 263 V. Raison du synode pour établir la substance. On conclut que l'autre opinion est contraire à la parole de Dieu. VI. Le synode dit plus qu'il ne veut. VII. Il s'agissoit d'un point de doctrine. Ibid. 264 265 VIII. Les Suisses se croient condamnés dans cette décision. Ibid. IX. Le synode leur fait répondre par Bèze, que cette doctrine n'est que pour la France. Les Luthériens aussi bien que les Catholiques détestés comme défenseurs d'une opinion mon strueuse. Ibid. X. Les Suisses ne se contentent pas de la réponse de Bèze, et se 266 tiennent toujours pour condamnés. XI, Il fallut enfin changer le décret, et réduire à rien la sub stance. 267 XII. Réflexion sur cet affoiblissement de la première doctrine. 268 XIII. Les diverses Confessions de foi marquent la désunion du parti. 268 XIV. L'assemblée de Francfort où on tâche de faire convenir les défenseurs du sens figuré d'une commune Confession de 269 foi. XV. On veut comprendre les Luthériens dans cette commune Confession de foi. 270 XVI. Qualités de cette nouvelle Confession de foi. Députés nomla dresser. pour més XVII. Lettre écrite aux Luthériens par l'assemblée de Francfort. 271 272 XVIII. L'assemblée diminue la difficulté de la présence réelle. Ibid. XIX. Consentement du synode de Sainte-Foi à la nouvelle Confession de foi. 273 XX. La foi entre les mains de quatre ministres et de M. de Tu renne. 275 XXI. Pourquoi M. de Turenne dans cette députation pour la doctrine. Ibid. |