Theáre complet de RacineLibrairie de Firmin Didot Freres, 1847 - 663 |
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ACHILLE aime amant âme amour arrêter assez ATALIDE Bajazet BÉRÉNICE bientôt bras BRITANNICUS cacher charmes cher chercher CHICANEAU ciel cœur coup courroux cours crainte CRÉON crime cruel DANDIN demande dessein destin devant Dieu dieux dire discours doit donne douleur doute enfant enfin ennemis fais fers fille fils frère funeste fureur garde gloire Grecs haine Hélas heureux j'ai JOAD JOAS jour juge juste l'amour l'autre L'INTIMÉ l'un laisse larmes LÉANDRE lieux loin longtemps lui-même m'en madame main malheureux mère MITHRIDATE MONIME monsieur mort n'ai n'en Néron parler passé pensée père peuple peut-être PHÈDRE pleurs porte Porus pourra pouvez premier prêt prince puisse Pyrrhus qu'à qu'un regards régner reine rend rendre reste rien rois Rome ROXANE s'il sais sang SCÈNE secret seigneur semble sera seul soins songe sort temple Titus triste trône trouble trouver venir verra veut veux vient vœux vois voix voulez vous-même voyez yeux
Popularne fragmenty
Strona 605 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte , Je crains Dieu , cher Abner, et n'ai point d'autre crainte.
Strona 510 - Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Strona 619 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels: Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels ! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée ; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux....
Strona 551 - J'ai pris, j'ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes. Déjà jusqu'à mon cœur le venin parvenu Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu...
Strona 626 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin , Éliacin , vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point sans doute un enfant ordinaire. Vous voyez , je suis reine et n'ai point d'héritier : Laissez là cet habit, quittez ce vil métier; Je veux vous faire part de toutes mes richesses; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Strona 528 - Vont prendre la parole, et prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser. Mourons. De tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. Est-ce un malheur si grand que de cesser de vivre? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi. Je ne crains que le nom1 que je laisse après moi.
Strona 625 - ATHALIE. Les plaisirs près de moi vous chercheront en foule. JOAS. Le bonheur des méchants comme un torrent s'écoule.
Strona 541 - Humains. Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible...
Strona 522 - Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison. Objet infortuné des vengeances célestes, Je m'abhorre encor plus que tu ne me détestes. Les dieux m'en sont témoins, ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mon sang ; (Ces dieux qui se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d'une faible mortelle. Toi-même en ton esprit rappelle le passé...
Strona 518 - Présente, je vous fuis ; absente, je vous trouve ' ; Dans le fond des forêts votre image me suit ; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'en vi le rebelle Hippolyte. Moi-même , pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche , et ne me trouve plus ; Mon arc, mes javelots , mon char, tout m'importune...