Französische Literaturbilder aus dem Bereich der Aesthetik: seit der Renaissance bis auf unsere ZeitJ. C. Hermann, 1858 |
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Strona 40
... Vers- bildung und im Reim ungezwungen , plan und elegant in der Diftion , weit erhaben über den verworrenen , schleppenden Allegorienstyl vor ihm . Allein er ist damit noch nichts weniger als klassisch im späteren Sinn . Namentlich ...
... Vers- bildung und im Reim ungezwungen , plan und elegant in der Diftion , weit erhaben über den verworrenen , schleppenden Allegorienstyl vor ihm . Allein er ist damit noch nichts weniger als klassisch im späteren Sinn . Namentlich ...
Strona 43
... Vers , Roman statt Lyrik , Spott statt Galan- terie , Wein statt Weib , formloser Inhalt das ist die Natur dieses gewaltigen Geistes , der , wie Jener von Pfaffen und Zöpfen gehaßt , allein noch mehr gefürchtet wird und , bei der ...
... Vers , Roman statt Lyrik , Spott statt Galan- terie , Wein statt Weib , formloser Inhalt das ist die Natur dieses gewaltigen Geistes , der , wie Jener von Pfaffen und Zöpfen gehaßt , allein noch mehr gefürchtet wird und , bei der ...
Strona 60
... ist vortrefflich . Von dem gesundesten Menschenverstand diftirt und durch den , von dem Verfasser anderswo ausgesprochenen Gedanken : Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques , geleitet , muthet es der französischen Sprache . 60.
... ist vortrefflich . Von dem gesundesten Menschenverstand diftirt und durch den , von dem Verfasser anderswo ausgesprochenen Gedanken : Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques , geleitet , muthet es der französischen Sprache . 60.
Strona 64
... vers ont été l'abus de ma jeunesse , Les vers seront aussi l'appui de ma vieillesse , S'ils furent ma folie , ils seront ma raison . Denn er hat ein heiteres und freies Dichterge- müth , welches sich an den Spiegelungen seiner Phan ...
... vers ont été l'abus de ma jeunesse , Les vers seront aussi l'appui de ma vieillesse , S'ils furent ma folie , ils seront ma raison . Denn er hat ein heiteres und freies Dichterge- müth , welches sich an den Spiegelungen seiner Phan ...
Strona 70
... vers , qui rampent sur la terre , Ni ces vers ampoulés , dont le rude tonnerre S'envole entre les airs , les uns font mal au coeur Des liseurs dégoûtés , les autres leurs font peur : Ni trop haut , ni trop bas , c'est le souverain Tel ...
... vers , qui rampent sur la terre , Ni ces vers ampoulés , dont le rude tonnerre S'envole entre les airs , les uns font mal au coeur Des liseurs dégoûtés , les autres leurs font peur : Ni trop haut , ni trop bas , c'est le souverain Tel ...
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Popularne fragmenty
Strona 345 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Strona 14 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Strona 235 - Je m'avoue, il est vrai, s'il faut parler ainsi, Papillon du Parnasse, et semblable aux abeilles A qui le bon Platon compare nos merveilles : Je suis chose légère, et vole à tout sujet; Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet; A beaucoup de plaisirs je mêle un peu de gloire.
Strona 23 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui. Je ne veux point mourir encore.
Strona 14 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Strona 239 - Lorsque sur cette mer on vogue à pleines voiles, Qu'on croit avoir pour soi les vents et les étoiles, II est bien malaisé de régler ses désirs...
Strona 180 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur ? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée...
Strona 238 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.