Revue des deux mondes, Tom 74Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1868 |
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Strona 7
... qu'à présent vous devez me juger capable de tout , et que vous pouvez m'attri- buer tous les égaremens : n'est - ce pas dans l'ordre ? Voyons , ne parlons plus de moi , ma cause est perdue , et je ne compte pas en appeler . Vous veniez ...
... qu'à présent vous devez me juger capable de tout , et que vous pouvez m'attri- buer tous les égaremens : n'est - ce pas dans l'ordre ? Voyons , ne parlons plus de moi , ma cause est perdue , et je ne compte pas en appeler . Vous veniez ...
Strona 13
... qu'à un instinct d'autant plus puissant qu'il était moins éclairé . Plus tard , je compris le mystère de ma répulsion , et je la sentis invincible . On m'avait tant aimée , tant gâtée , que je ne pou- vais pas devenir humble , m'effacer ...
... qu'à un instinct d'autant plus puissant qu'il était moins éclairé . Plus tard , je compris le mystère de ma répulsion , et je la sentis invincible . On m'avait tant aimée , tant gâtée , que je ne pou- vais pas devenir humble , m'effacer ...
Strona 14
... qu'à marier richement sa fille , admettrait - elle que la joie d'échapper à un brillant mariage me faisait apprécier d'autant plus la solitude et l'oubli du monde ? Comment Montroger , qui , tout en préconisant à grand bruit les progrès ...
... qu'à marier richement sa fille , admettrait - elle que la joie d'échapper à un brillant mariage me faisait apprécier d'autant plus la solitude et l'oubli du monde ? Comment Montroger , qui , tout en préconisant à grand bruit les progrès ...
Strona 28
... qu'à te voir , et ta figure a été comme la signature de ton portrait . Tiens ! je vais te confier un tré- sor , ce sont des lettres qu'elle m'a écrites depuis qu'elle te connaît . Jure - moi de ne les lire qu'à Yport . Elles te ...
... qu'à te voir , et ta figure a été comme la signature de ton portrait . Tiens ! je vais te confier un tré- sor , ce sont des lettres qu'elle m'a écrites depuis qu'elle te connaît . Jure - moi de ne les lire qu'à Yport . Elles te ...
Strona 41
... qu'à force d'être attaquée isolément elle ne résonnait plus . Ce travail de dévouement me donna le courage d'attendre encore dix mortels jours , qui s'écoulè- rent sans rien changer à ma situation . ( La dernière partie au prochain n ...
... qu'à force d'être attaquée isolément elle ne résonnait plus . Ce travail de dévouement me donna le courage d'attendre encore dix mortels jours , qui s'écoulè- rent sans rien changer à ma situation . ( La dernière partie au prochain n ...
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
abyssin affaires anglais assez assyrien avaient Bellac Bigot de Préameneu Buckle c'était Camille Jordan caractère catharisme cause chemins de fer chose classes Clerc cœur Colibri comte coup Crète Crétois cunéiformes d'Hamlet démocratie devant Dieu dire donner Émilie espèces esprit états eût force forme Fronton gouvernement Grèce guerre Hamlet hommes Hongrie idées j'ai jamais jeune jour l'Angleterre l'église l'empereur l'empire l'esprit l'état l'Europe l'histoire l'homme Laërte laisser lettres liberté lieutenant lois LXXIV main Marc-Aurèle Masny ment Merquem ministre Mme de Staël monde Montroger morale moyen âge n'avait n'était nation nature négus Nicaragua parler parole passé passion pays pensée personne peuple peut-être philosophie Pie VII politique population porte pouvait pouvoir premier presque prince principe progrès publique qu'un raison reste rien Russie s'est s'était sais semble sentimens sentiment serait seul Sfakia Shakspeare siècle société sorte Stéphen suffrage universel système tion trouve vaudois végétaux voie vrai yeux Yport
Popularne fragmenty
Strona 243 - Que l'on a bien fait de distinguer les hommes par l'extérieur, plutôt que par les qualités intérieures ! Qui passera de nous deux? qui cédera la place à l'autre? Le moins habile? mais je suis aussi habile que lui; il faudra se battre sur cela. Il a quatre laquais, et je n'en ai qu'un : cela est visible; il n'ya qu'à compter; c'est à moi à céder, et je suis un sot si je conteste. Nous voilà en paix par ce moyen-, ce qui est le plus grand des biens.
Strona 240 - Ainsi s'écoule toute la vie. On cherche le repos en combattant quelques obstacles; et si on les a surmontés, le repos devient insupportable; car, ou l'on pense aux misères qu'on a, ou à celles qui nous menacent. Et quand on se verrait même assez à l'abri de toutes parts, l'ennui, de son autorité privée, ne...
Strona 242 - Le plus grand des maux* est les guerres civiles. Elles sont sûres, si on veut récompenser les mérites, car tous diront qu'ils méritent. Le mal à craindre d'un sot, qui succède par droit de naissance, n'est ni si grand, ni si sûr*.
Strona 243 - Cela est admirable : on ne veut pas que j'honore un homme vêtu de brocatelle, et suivi de sept ou huit laquais! Eh quoi! il me fera donner les étrivières, si je ne le salue. Cet habit, c'est une force.
Strona 349 - La fureur d'imprimer est une maladie épidémique qui ne diminue point. Les infatigables et pesants bénédictins vont donner en dix volumes in-folio, que je ne lirai point, l'Histoire littéraire de la France.
Strona 243 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants ; c'est là ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Strona 240 - Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté, qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers...
Strona 245 - Qu'une vie est heureuse quand elle commence par l'amour et qu'elle finit par l'ambition! Si j'avais à en choisir une, je prendrais celle-là. Tant que l'on a du feu, l'on est aimable ; mais ce feu s'éteint, il se perd : alors que la place est belle et...
Strona 240 - Malgré la vue de toutes nos misères, qui nous touchent, qui nous tiennent à la gorge, nous avons un instinct que nous ne pouvons réprimer, qui nous élève.
Strona 237 - ... pas : car il a toujours eu une netteté d'esprit admirable pour discerner le faux, et on peut dire que toujours et en toutes choses la vérité a été le seul objet de son esprit, puisque jamais rien ne l'a pu satisfaire que sa connaissance.