Histoire de sainte Élisabeth de Hongrie: duchesse de Thuringe

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Strona 353 - Deus, miserere nobis. Fili Redemptor mundi Deus, miserere nobis. Spiritus Sancte Deus , miserere nobis. Sancta Trinitas unus Deus, miserere nobis.
Strona 241 - ... personne tout entière ne laissait rien à désirer; son teint était brun et pur 2, ses cheveux noirs, sa taille d'une élégance et d'une grâce sans rivale, sa démarche grave et pleine de noblesse et de majesté 3. Ses yeux surtout semblaient un foyer de tendresse, de charité et de miséricorde 4. Il est facile de voir que dans cette beauté terrestre il se peignait un reflet éclatant de l'immortelle beauté de son âme. Mais ce n'était pas sur les sentiments éphémères d'une admiration...
Strona 96 - ... il a voulu donner tout son sang pour Dieu dans les croisades, ce cher peuple veut maintenant donner toutes ses fatigues, toute son imagination, toute -sa 'poésie, pour qu'on fasse à ce même Dieu des palais dignes de lui. D'innombrables beautés fleurissent de toutes parts dans cette germination de la terre fécondée par 'le catholicisme, et qui semble reproduite dans chaque église par la merveilleuse végétation des chapiteaux , des clochetons et des fenestrages. Nous serions...
Strona 215 - ... avec amertume ses habitudes humbles et retirées. Elle lui disait sans détour qu'elle n'était faite que pour devenir une femme de chambre ou une servante. Les autres jeunes filles de grande maison, qui étaient les compagnes des deux princesses, voyant qu'Elisabeth prenait chaque jour moins de part à leurs jeux, à leurs danses et à leur vie gaie et frivole, répétaient ce qu'elles entendaient dire à Agnès, et se moquaient ouvertement d'elle. Enfin les officiers les plus influents de la...
Strona 95 - ... à toutes les nouvelles richesses de l'esprit catholique; ils la trouvent en suivant ces colonnes qui s'élèvent vis-à-vis l'une de l'autre dans la basilique chrétienne, comme des prières qui, en se rencontrant devant Dieu, s'inclinent et s'embrassent comme des sœurs : dans cet embrassement ils trouvent l'ogive. Par son apparition qui ne devient un fait général qu'au treizième siècle, tout est modifié, non pas dans le sens intime et mystérieux des édifices religieux, mais dans leur...
Strona 12 - Saint-Pierre un homme dans la force de l'âge, qui devait, sous le nom d'Innocent III, lutter avec un invincible courage contre tous les adversaires de la justice et de l'Église, et donner au monde peutêtre le modèle le plus accompli d'un souverain pontife, le type par excellence du vicaire de Dieu. Comme cette grande figure domine tout le siècle qu'il avait inauguré, on nous pardonnera d'en retracer quelques détails.
Strona 136 - Seigneur cii prenant l'habit religieux, s'il ne m'avait pas trop coûté de sacrifier la beauté de mes cheveux'. » A ces mots, Elisabeth, pleine de joie, s'écria : « Alors, je suis plus heureuse de ce...
Strona 159 - ... désespéré ; car il lui restait le ciel , et l'on n'avait encore intercepté aucune des voies qui conduisaient de la prison de son corps à la patrie de son âme. Il y avait une immense santé morale qui neutralisait toutes les maladies du corps social , qui leur opposait un antidote tout-puissant, une consolation positive, universelle, perpétuelle dans la foi. Cette foi, qui avait pénétré le monde , qui réclamait tous les hommes sans exception, qui s'était infiltrée dans tous les pores...
Strona 122 - Ah ! mes frères bien-aimés , leur répondit le Bienheureux , ne vous étonnez pas si ni moi , ni lui nous n'avons pu parler , car dès que nous nous sommes embrassés, la lumière de la divine sagesse m'a révélé tout son cœur et lui a révélé tout le mien; et ainsi, en nous regardant dans nos deux cœurs , nous nous connaissions bien autrement que si nous nous étions parlé , et avec une bien autre consolation que si nous avions voulu rendre par des paroles ce que nous sentions, tant la...
Strona 265 - Elisabeth aimait à porter elle-même aux pauvres, à la dérobée, non-seulement l'argent, mais encore les vivres et les autres objets qu'elle leur destinait. Elle cheminait ainsi chargée par les sentiers escarpés et détournés qui conduisaient de son château à la ville et aux chaumières des vallées voisines. Un jour qu'elle descendait, accompagnée d'une de ses suivantes favorites, par un petit...

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