Les fables...Bernardin-Béchet, 1877 - 380 |
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Strona 21
... voyant un paysan qui regardait toutes choses avec la frondeur et l'indifférence d'une statue , il amena ce paysan au logis . Voilà , dit - il à Xantus , l'homme sans souci que vous demandez . Xantus commanda à sa femme de faire chauffer ...
... voyant un paysan qui regardait toutes choses avec la frondeur et l'indifférence d'une statue , il amena ce paysan au logis . Voilà , dit - il à Xantus , l'homme sans souci que vous demandez . Xantus commanda à sa femme de faire chauffer ...
Strona 70
... voyant ce manége , Remplit le ciel de cris ; et , pour comble de rage , Ne sait sur qui venger le tort qu'elle a souffert . Elle gémit en vain ; sa plainte au vent se perd . Il fallut pour cet an vivre en mère affligée . L'an suivant ...
... voyant ce manége , Remplit le ciel de cris ; et , pour comble de rage , Ne sait sur qui venger le tort qu'elle a souffert . Elle gémit en vain ; sa plainte au vent se perd . Il fallut pour cet an vivre en mère affligée . L'an suivant ...
Strona 99
... voyant les palais pleins De ces gens nommés médecins , Ne crut pas y pouvoir demeurer à son aise . Elle prend l'autre lot , y plante le piquet , S'étend à son plaisir sur l'orteil d'un pauvre homme , Disant Je ne crois pas qu'en ce ...
... voyant les palais pleins De ces gens nommés médecins , Ne crut pas y pouvoir demeurer à son aise . Elle prend l'autre lot , y plante le piquet , S'étend à son plaisir sur l'orteil d'un pauvre homme , Disant Je ne crois pas qu'en ce ...
Strona 104
... corne . Le malheureux lion , languissant , triste et morne , Peut à peine rugir , par l'âge estropié . Il attend son destin , sans faire aucunes plaintes , Quand voyant l'âne même à son antre accourir : Ah 10-1 LIVRE III . FABLE XIV .
... corne . Le malheureux lion , languissant , triste et morne , Peut à peine rugir , par l'âge estropié . Il attend son destin , sans faire aucunes plaintes , Quand voyant l'âne même à son antre accourir : Ah 10-1 LIVRE III . FABLE XIV .
Strona 105
Louis Lacombe, Jean de La Fontaine. Quand voyant l'âne même à son antre accourir : Ah ! c'est trop , lui dit - il , je voulais bien mourir ; Mais c'est mourir deux fois que souffrir tes atteintes . XV PHILOMELE ET PROGNÉ Autrefois Progné ...
Louis Lacombe, Jean de La Fontaine. Quand voyant l'âne même à son antre accourir : Ah ! c'est trop , lui dit - il , je voulais bien mourir ; Mais c'est mourir deux fois que souffrir tes atteintes . XV PHILOMELE ET PROGNÉ Autrefois Progné ...
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Adieu animaux Apollon apologue assez baudet beau belette belle berger bête bout BUCHERON C'était cent Cérès cerf chasseur chat chauve-souris cheval chien chose conte corbeau Cormoran coup Crésus crier crut d'Ésope Dieu dieux dire dit-il donner doux Égypte encens enfants enfin Eschyle Ésope esprit fable faisait femme Fontaine Fortune fourmi gens grenouille homme J'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un là-dessus laisse lièvre lion logis loup Lycérus maint maitre malheureux manger messieurs mieux monarque monde mort mouche mouton n'en Necténabo neuf sœurs parler passer pauvre peine père peuple Phèdre Phrygien pieds Pilpay plaisir porte prendre prince prit qu'à qu'un raison renard repartit rien s'en s'il sage Samiens Scythe seigneur serait seul singe sire Socrate soin songe sort souris Styx tête Téthys Tircis tortue trésor trouva Ulysse veux vient VIII voilà voleurs voulut Xantus zéphyrs
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Strona 188 - Plus d'amour; partant, plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : ' Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux : Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents On fait de pareils dévouements.
Strona 325 - Nos esclaves à votre tour. Et pourquoi sommes-nous les vôtres? qu'on me die En quoi vous valez mieux que cent peuples divers? Quel droit vous a rendus maîtres de l'univers? Pourquoi venir troubler une innocente vie? Nous cultivions en paix d'heureux champs, et nos mains Étaient propres aux arts ainsi qu'au labourage : Qu'avez-vous appris aux Germains?
Strona 321 - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie. Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Strona 262 - Ne pleurez point; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai: J'étois là; telle chose m'avint: Vous y croirez être vous-même.
Strona 256 - L'homme, sourd à ma voix, comme à celle du sage, Ne dira-t-il jamais : C'est assez, jouissons? Hâte-toi, mon ami : tu n'as pas tant à vivre. Je te rebats ce mot; car il vaut tout un livre : Jouis.
Strona 232 - Il vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même : Un songe , un rien , tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Strona 219 - Tantôt plus, tantôt moins, le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer; on nous ruine en fêtes: L'une fait tort à l'autre, et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Strona 286 - L'animal chargé d'ans, vieux cerf, et de dix cors, En suppose un plus jeune, et l'oblige par force A présenter aux chiens une nouvelle amorce. Que de raisonnements pour conserver ses jours!
Strona 219 - L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant: il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis : II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines. Tout le jour il avait l'œil au guet ; et la nuit, Si quelque chat faisait du bruit, Le chat prenait l'argent. A la fin le pauvre homme S'en courut chez celui qu'il ne réveillait plus ('). « Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme, Et reprenez vos cent écus.
Strona 88 - L'INVENTION des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner.