Les fables...Bernardin-Béchet, 1877 - 380 |
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Strona 8
... propos de les habiller des livrées des Muses . Ce que Platon en rap- porte est si agréable que je ne puis m'empêcher d'en faire un des ornements de cette préface . Il dit que , Socrate étant condamné au dernier supplice , l'on remit l ...
... propos de les habiller des livrées des Muses . Ce que Platon en rap- porte est si agréable que je ne puis m'empêcher d'en faire un des ornements de cette préface . Il dit que , Socrate étant condamné au dernier supplice , l'on remit l ...
Strona 18
... propos d'en faire un sujet de plaisanteric , et alla dire au logis qu'il venait d'acheter un jeune esclave le plus beau du monde et le mieux fait . Sur cette nouvelle , les filles qui servaient sa femme se pensèrent battre à qui l ...
... propos d'en faire un sujet de plaisanteric , et alla dire au logis qu'il venait d'acheter un jeune esclave le plus beau du monde et le mieux fait . Sur cette nouvelle , les filles qui servaient sa femme se pensèrent battre à qui l ...
Strona 37
... propos , et lui fait compliment Sur son embonpoint , qu'il admire . Il ne tiendra qu'à vous , beau sire , D'ètre aussi gras que moi , lui repartit le chien . Quittez les bois , vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables , Cancres ...
... propos , et lui fait compliment Sur son embonpoint , qu'il admire . Il ne tiendra qu'à vous , beau sire , D'ètre aussi gras que moi , lui repartit le chien . Quittez les bois , vous ferez bien : Vos pareils y sont misérables , Cancres ...
Strona 49
... propos De Castor et Pollux ; ne manque pas d'écrire Que leur exemple était aux lutteurs glorieux ; Elève leurs combats , spécifiant les lieux Où ces frères s'étaient signalés davantage : Enfin l'éloge de ces dieux Faisait les deux tiers ...
... propos De Castor et Pollux ; ne manque pas d'écrire Que leur exemple était aux lutteurs glorieux ; Elève leurs combats , spécifiant les lieux Où ces frères s'étaient signalés davantage : Enfin l'éloge de ces dieux Faisait les deux tiers ...
Strona 51
... propos que je n'ai pas cru le devoir omettre . XVI LA MORT ET LE BUCHERON Un bûcheron , tout couvert de ramée , Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé , marchait à pas pesants , Et tâchait de gagner sa chaumine ...
... propos que je n'ai pas cru le devoir omettre . XVI LA MORT ET LE BUCHERON Un bûcheron , tout couvert de ramée , Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé , marchait à pas pesants , Et tâchait de gagner sa chaumine ...
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Adieu animaux Apollon apologue assez baudet beau belette belle berger bête bout BUCHERON C'était cent Cérès cerf chasseur chat chauve-souris cheval chien chose conte corbeau Cormoran coup Crésus crier crut d'Ésope Dieu dieux dire dit-il donner doux Égypte encens enfants enfin Eschyle Ésope esprit fable faisait femme Fontaine Fortune fourmi gens grenouille homme J'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un là-dessus laisse lièvre lion logis loup Lycérus maint maitre malheureux manger messieurs mieux monarque monde mort mouche mouton n'en Necténabo neuf sœurs parler passer pauvre peine père peuple Phèdre Phrygien pieds Pilpay plaisir porte prendre prince prit qu'à qu'un raison renard repartit rien s'en s'il sage Samiens Scythe seigneur serait seul singe sire Socrate soin songe sort souris Styx tête Téthys Tircis tortue trésor trouva Ulysse veux vient VIII voilà voleurs voulut Xantus zéphyrs
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Strona 188 - Plus d'amour; partant, plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : ' Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux : Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents On fait de pareils dévouements.
Strona 325 - Nos esclaves à votre tour. Et pourquoi sommes-nous les vôtres? qu'on me die En quoi vous valez mieux que cent peuples divers? Quel droit vous a rendus maîtres de l'univers? Pourquoi venir troubler une innocente vie? Nous cultivions en paix d'heureux champs, et nos mains Étaient propres aux arts ainsi qu'au labourage : Qu'avez-vous appris aux Germains?
Strona 321 - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie. Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Strona 262 - Ne pleurez point; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai: J'étois là; telle chose m'avint: Vous y croirez être vous-même.
Strona 256 - L'homme, sourd à ma voix, comme à celle du sage, Ne dira-t-il jamais : C'est assez, jouissons? Hâte-toi, mon ami : tu n'as pas tant à vivre. Je te rebats ce mot; car il vaut tout un livre : Jouis.
Strona 232 - Il vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même : Un songe , un rien , tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Strona 219 - Tantôt plus, tantôt moins, le mal est que toujours (Et sans cela nos gains seraient assez honnêtes), Le mal est que dans l'an s'entremêlent des jours Qu'il faut chômer; on nous ruine en fêtes: L'une fait tort à l'autre, et monsieur le curé De quelque nouveau saint charge toujours son prône.
Strona 286 - L'animal chargé d'ans, vieux cerf, et de dix cors, En suppose un plus jeune, et l'oblige par force A présenter aux chiens une nouvelle amorce. Que de raisonnements pour conserver ses jours!
Strona 219 - L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant: il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis : II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines. Tout le jour il avait l'œil au guet ; et la nuit, Si quelque chat faisait du bruit, Le chat prenait l'argent. A la fin le pauvre homme S'en courut chez celui qu'il ne réveillait plus ('). « Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme, Et reprenez vos cent écus.
Strona 88 - L'INVENTION des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner.