Œuvres de Jean Racine..: IphigénieDe l'Imprimerie de A. Belin., 1810 |
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Strona 30
... dieu plus doux qui veille sur ses jours . Vos conseils sur mon coeur n'ont eu que trop d'empire , Et je rougis ... SCÈNE IV . AGAMEMNON , ULYSSE , EURYBATE . EURYBATE . SEIGNEUR ... AGAMEMNON . Ah ! que vient - on me dire . EURYBATE ...
... dieu plus doux qui veille sur ses jours . Vos conseils sur mon coeur n'ont eu que trop d'empire , Et je rougis ... SCÈNE IV . AGAMEMNON , ULYSSE , EURYBATE . EURYBATE . SEIGNEUR ... AGAMEMNON . Ah ! que vient - on me dire . EURYBATE ...
Strona 92
... dieu vengeur , un dieu fait retentir ces coups . SCÈNE V. CLYTEMNESTRE , ÆGINE , ARCAS , GARDES . 92 IPHIGENIE .
... dieu vengeur , un dieu fait retentir ces coups . SCÈNE V. CLYTEMNESTRE , ÆGINE , ARCAS , GARDES . 92 IPHIGENIE .
Strona 94
... dieu me l'a rendue ? ULYSSE . Vous m'en voyez moi - même , en cet heureux moment , Saisi d'horreur , de joie et de ravissement . Jamais jour n'a paru si mortel à la Grèce . Déjà de tout le camp la discorde maîtresse A voit sur tous les ...
... dieu me l'a rendue ? ULYSSE . Vous m'en voyez moi - même , en cet heureux moment , Saisi d'horreur , de joie et de ravissement . Jamais jour n'a paru si mortel à la Grèce . Déjà de tout le camp la discorde maîtresse A voit sur tous les ...
Strona 95
... dieu qui l'agitoit sans doute : « Vous , Achille , a - t - il dit , et vous , Grecs , qu'on m'écoute . « Le dieu quí maintenant vous parle par ma voix « M'explique son oracle , et m'instruit de son choix . << Un autre sang d'Hélène ...
... dieu qui l'agitoit sans doute : « Vous , Achille , a - t - il dit , et vous , Grecs , qu'on m'écoute . « Le dieu quí maintenant vous parle par ma voix « M'explique son oracle , et m'instruit de son choix . << Un autre sang d'Hélène ...
Strona 118
... dieu que je n'osois nommer . Je l'évitois par - tout . O comble de misère ! Mes yeux le retrouvoient dans les traits de son père . Contre moi - même enfin j'osai me révolter : J'excitai mon courage à le persécuter . Pour bannir l'ennemi ...
... dieu que je n'osois nommer . Je l'évitois par - tout . O comble de misère ! Mes yeux le retrouvoient dans les traits de son père . Contre moi - même enfin j'osai me révolter : J'excitai mon courage à le persécuter . Pour bannir l'ennemi ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ABNER ACHILLE ÆGINE affreux AGAMEMNON AMAN amour ARCAS ARICIE ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit bras cacher Calchas CENONE chante charmes cher chercher CHOEUR ciel cieux CLYTEMNESTRE cœur courroux craint crime cruel Daignez David dessein Dieu dieux discours DORIS douleur ÉLISE enfant ennemis époux ÉRIPHILE Esprit saint ESTHER éternel étoit EURYBATE fatal fille fils foible foiblesse funeste fureur gloire grace Grecs Hélas heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen innocent IPHIGÉNIE ISMÈNE ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD JOAS JOSABET jour Juifs l'amour l'autel l'innocence l'univers laisse larmes Lesbos lévites lieux long-temps madame mains malheureux Mardochée MATHAN mère moi-même mort mortels Mycène Ochozias OEnone paix par-tout père perfide peuple PHÈDRE pleurs prêtres prince princesse profane reine rois sacrés saint sais SALOMITH sang SCÈNE VII secours secret seigneur seule sœur soin songe superbe temple THÉRAMÈNE THÉSÉE tragédie tremble Trézène triste trône trouble ULYSSE veux vœux vois voix vous-même yeux ZACHARIE zèle
Popularne fragmenty
Strona 133 - Oui , prince , je languis , je brûle pour Thésée : Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers, Volage adorateur de mille objets divers , Qui va du dieu des morts déshonorer la couche; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche, Charmant , jeune , traînant tous les cœurs après soi , Tel qu'on dépeint nos dieux , ou tel que je vous voi.
Strona 161 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Strona 162 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit.
Strona 195 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion , Jeunes et tendres fleurs par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse des vains honneurs et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Strona 75 - Non, je ne l'aurai point amenée au supplice, Ou vous ferez aux Grecs un double sacrifice. Ni crainte, ni respect ne m'en peut détacher . De mes bras tout sanglants il faudra l'arracher. Aussi barbare époux qu'impitoyable père, Venez, si vous l'osez, la ravir à sa mère ! Et vous, rentrez, ma fille, et du moins à mes lois Obéissez encor pour la dernière fois.
Strona 283 - Sa vue a ranimé mes esprits abattus ; Mais lorsque, revenant de mon trouble funeste, J'admirais sa douceur, son air noble et modeste, J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier.
Strona 143 - Vont prendre la parole, et prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser. Mourons. De tant d'horreurs qu'un trépas me délivre. Est-ce un malheur si grand que de cesser de vivre? La mort aux malheureux ne cause point d'effroi.
Strona 173 - Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé. Excusez ma douleur ; cette image cruelle Sera pour moi de pleurs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils, Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
Strona 113 - Ah ! s'il vous faut rougir, rougissez d'un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence...
Strona 274 - De ce jour à jamais auguste et renommé , Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs , Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre : Venait-il renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?