Fables choisies, mises en vers. Reveuës, corrigées & augmentées |
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Strona 5
Jean de La Fontaine. A MONSEIGNEUR LE DAUPHIN . M ONSEIGNEUR S'il y a quelque chofe_d'ingenieux dans la Republique des Lettres , on A 3 peut peut dire que c'est la maniere dont Efope a debité.
Jean de La Fontaine. A MONSEIGNEUR LE DAUPHIN . M ONSEIGNEUR S'il y a quelque chofe_d'ingenieux dans la Republique des Lettres , on A 3 peut peut dire que c'est la maniere dont Efope a debité.
Strona 6
... Efope . L'ap- parence en eft puerile , je le confelles mais ces puerilitez fervent d'envelope à des verités importantes . Je ne dou- te point , MONSEIGNEUR , que vous ne regardiez favorablement des In- ventions fi utiles , & tout ...
... Efope . L'ap- parence en eft puerile , je le confelles mais ces puerilitez fervent d'envelope à des verités importantes . Je ne dou- te point , MONSEIGNEUR , que vous ne regardiez favorablement des In- ventions fi utiles , & tout ...
Strona 7
... Efope a trouvé un art fingulier de les joindre l'un avec Pautre . La lecture de fon Ouvrage répand infenfiblement dans une ame : les femences de la Vertu , & lui apprend à fe connoître , fans qu'elle s'apperçoive de cette étude , tandis ...
... Efope a trouvé un art fingulier de les joindre l'un avec Pautre . La lecture de fon Ouvrage répand infenfiblement dans une ame : les femences de la Vertu , & lui apprend à fe connoître , fans qu'elle s'apperçoive de cette étude , tandis ...
Strona 11
... qui font profeffion de Poëfie , que le Parnaffe a jugé ceci de fon appanage . A peine les Fables qu'on attribue à Efope virent le jour , que Socrate trouva à pro- propos de les habiller des livrées des Mufes . Ce Pag . LL .
... qui font profeffion de Poëfie , que le Parnaffe a jugé ceci de fon appanage . A peine les Fables qu'on attribue à Efope virent le jour , que Socrate trouva à pro- propos de les habiller des livrées des Mufes . Ce Pag . LL .
Strona 12
... Efope . Il employa donc à les mettre en Vers les derniers momens de sa vie , Socrate n'eft pas le feul qui ait confideré comme foeurs , la Poefie & nos Fables . Phedre a témoigné qu'il étoit de ce fentiment ; & par l'excellence de fon ...
... Efope . Il employa donc à les mettre en Vers les derniers momens de sa vie , Socrate n'eft pas le feul qui ait confideré comme foeurs , la Poefie & nos Fables . Phedre a témoigné qu'il étoit de ce fentiment ; & par l'excellence de fon ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Adieu affez ainfi alloit animaux Apollon aprés auffi auffi-tôt auray auroit avanture avoit beau befoin Belette belle béte Bufte c'eft c'eſt C'étoit caufe ceffe Cerf chaffe Chaffeur Chat Chien chofe confeil conte d'étre deffein deffus deftin déja Dieu Dieux difoit difoit-il dire dit-il Efope efprit enfans eſt étoient étoit étre Fable fage faifoit falut fans fçait fecours femblable femble fens fent feroit fert fervir feul feur foin foit fomme fonge font fous fouvent fuis fujet fur fon gens grace hazard homme J'ay J'en jour Jupiter l'Aigle l'Ane l'autre l'efprit l'homme l'oifeau l'Ours L'un laiffe Lion logis Loup maint maître maniere Meffieurs méme merite Monfieur mort Mouton n'avoit n'eft n'en paffer pauvre peine penfe perfonne plaifir prefente prés Prince proye puiffant qu'un raifon refte Renard repartit rien s'en Singe Souris téte Tircis toûjours trefor voifin Xantus
Popularne fragmenty
Strona 222 - Il retourne chez lui ; dans sa cave il enserre L'argent, et sa joie à la fois. Plus de chant ; il perdit la voix Du moment qu'il gagna ce qui cause nos peines. Le sommeil quitta son logis, II eut pour hôtes les soucis, Les soupçons, les alarmes vaines.
Strona 191 - Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non non.
Strona 340 - II ne vous fasse en sa colère Nos esclaves à votre tour. Et pourquoi sommes-nous les vôtres? qu'on me die En quoi vous valez mieux que cent peuples divers?
Strona 81 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Strona 191 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Strona 195 - Mes amis, dit le solitaire. Les choses d'ici-bas ne me regardent plus : En quoi peut un pauvre reclus Vous assister? que peut-il faire Que de prier le ciel qu'il vous aide en ceci? J'espère qu'il aura de vous quelque souci.
Strona 271 - LE GLAND ET LA CITROUILLE Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve En tout cet univers, et l'aller parcourant, Dans les citrouilles je la treuve.
Strona 341 - N'entre qu'à peine en la pensée. La majesté de vos autels Elle-même en est offensée ; Car sachez que les immortels Ont les regards sur nous. Grâces à vos exemples, Ils n'ont devant les yeux que des objets d'horreur, De mépris d'eux et de leurs temples, D'avarice qui va jusques à la fureur. Rien ne...
Strona 400 - D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien; Puis enfin il n'y manqua rien.
Strona 66 - Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.