CLX. L'un étoit pauvre, mais habile; Celui-ci sur son concurrent Vouloit emporter l'avantage: Etoit tenu de l'honorer. Des biens dépourveas de meritc? Au savant, La Republique a bien affaire Je nc fais d'homme necoflaire A A Messieurs les gens de Finance Eurent le fort qu'ils méritoient. guerre le vengca, bien mieux qu'une sacyre. Mars détruisit le lieu que nos gens habitoient. L'un & l'autre quita la Ville, Il receut par tout des mépris ; Cela décida leur querelle. ఆరు Darco J CLXI. Dit un jour du haut des airs.: O vous Rois qu'il voulut faire De De former d'autres orages : Nous vient du seul Jupiter, ைைணைைன ÇLXII. Le Faucon le Chapon. U Ne traitresse voix bien souvent vous appelle; Ne vous pressez donc nullement: Que le Chien de Jean de Nivelle. . Etoit Coinmé de comparaitre Par devant les lares du maître, Au pied d'un tribunal que nous nommons foyer. Tous les gens luy crioient pour déguiser la chose, Pe. Petit, petit, petit: mais loin de s'y fier, On ne m'y tient pas ; &pour cause. Nôtre Manceau qui s'enfuyoitto Les Chapons ont en nous fort peu de confiance, Soit instinct , soit experience and... Celui-ci qui ne fût qu'avec peine attrapé, Devoit le lendemain, étre d'un graid foupé; Fort à l'aiso, en un plat, honneur dont la volailla Se seroit passée aisément.' L'Oiseau chasseur luy dit: Ton peo d'entendement Me rend tout étonné: Vous n'éres que racaille, Gensgrossiers, sans esprit, à qui l'on n'apprend rien. Pour moy, je sçais challer & revenir au maître. Le vois-tu pas?à la feneftres) juny Il t'attend, es-tụ lourd? Je n'entends que trop bien, Repartir le Chapon: Mais que me veut-il direz Et ce beau Cuitinier armé d'un grand couteau? Reviendrois-tu pour cet appeau; Laisse-moy fuir, cesse de rire De l'indocilité qui me fait cnvoler Lors que d'un ton si doux on s'en vicnt m'appeller. c. Si tu voyois mettre à la broche ! :57 Tous les jours autant de Fauconso Que j'y vois mettre de Chapons, Lois Tu de me ferois pas un sembiable reprochcout) زد ) CLXIII. ZE |