Si l'on croit la renommée, Mais la perte la plus grande 9. STO Sa déroute fut entiere:xs Les efforts des combattans. Trouvant fa retraité prété, noita A Mais les Seigneurs fur leur téte tov 9/1 Soit comme marques d'honneur Soit afin que les Bélettes: En conceuffent plus de peur : Trou, ni fente, ni crevafse 9 190 Ne fut large affez pour eux: Au lieu que la populace Entroit dans les moindres creux. La principale jonchée M Fut LXVII. pol so jov Le Singe & le Dauphin. Etoit chez les Grecs un ufage, Que fur la Mer tous Menoient avec eux en voyage... De nôtre espece; En fon Hiftoire Il fauva donc tout ce qu'il pût. raunioil Lui penfa devoir fon falut. Un Daufin le prit pour un homme. Ce chanteur que tant on renomme. A l'honneur de vôtre prefence? Qui prendroient Vaugirard pour Rome; Du fond des eaux rien qu'une béte. LXVIII. L'Hom CE LXVIII. L'Homme l'Idole de bois. Ertain Payen chez lui gardoit un Dieu de bois; oreilles. Le Payen cependant s'en promettoit merveilles.) Il lui coûtoit autant que trois. Ce n'étoient que yœux & qu'offrandes, Sacrifices de boeufs couronnez de guirlandes. Jamais Idole, quel qu'il fûr, N'avoit eu cuifine fi graffe; Sans que pour tout ce culte à fon hote il écheût L'Homme en avoit fa part, & fa bourfe en fouffroit. Il vous prend un levier, met en pieces l'Idole, Malheureux, groffiers, & ftupides: On n'en peut rien tirer qu'avecque le bâton. LXIX. L LXIX. Le Geay paré des plumes du Pan. N Pan muoit; un Geay prit fon plumage; Puis parmi d'autres Pans tout fier fe panada, Quelqu'un le reconnût; il fe vit bafoüé, Et par Meffieurs les Pans plumé d'étrange forte: Il fut par eux mis à la porte. Il eft affez de Geais à deux piés comme lui, Je m'en tais; & ne veux leur caufer nul ennui LXX. Le Chameau, & les Bâtons flotans, E premier qui vit un Chameau Le fecond approcha; le troifiéme ofa faire L'accoûtumance ainfi nous rend tout familier. Ce |