Fables et oeuvres diverses, Tom 1Moutard, 1774 |
Z wnêtrza ksi±¿ki
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Strona iv
... doit à la Race humaine ; Et , sûr d'être approuvé de tout bon Citoyen , Sans craindre les méchans j'enfeignerai le bien . Je fais que de leurs traits la maligne piquûre Peut faire quelquefois une vive blessure , Que le plus patient ...
... doit à la Race humaine ; Et , sûr d'être approuvé de tout bon Citoyen , Sans craindre les méchans j'enfeignerai le bien . Je fais que de leurs traits la maligne piquûre Peut faire quelquefois une vive blessure , Que le plus patient ...
Strona vi
... doit - on pas convenir que celles du Chêne & du Rofeau , du Vieillard & des trois jeunes Hommes , des Animaux malades de la pefte , & beau- coup d'autres femblables , leurs font bien fupérieures par le grand fens , par la beauté des ...
... doit - on pas convenir que celles du Chêne & du Rofeau , du Vieillard & des trois jeunes Hommes , des Animaux malades de la pefte , & beau- coup d'autres femblables , leurs font bien fupérieures par le grand fens , par la beauté des ...
Strona xvi
... doit donc pas plus être un motif de découragement pour nous , que ne l'a été pour eux - mêmes la réputation dont jouiffoient quelques - uns de leurs prédéceffeurs , que l'on croyoit ne pouvoir jamais être égalés . J'ajouterai ici une ...
... doit donc pas plus être un motif de découragement pour nous , que ne l'a été pour eux - mêmes la réputation dont jouiffoient quelques - uns de leurs prédéceffeurs , que l'on croyoit ne pouvoir jamais être égalés . J'ajouterai ici une ...
Strona xviii
... doit - on conclure que la poftérité ne confir- mera aucun des jugemens favorables que nous portons fur quelques Écrivains de nos jours ? Non , affuré- ment une pareille conféquence feroit injure au vrai mérite . Mais un avantage réel ...
... doit - on conclure que la poftérité ne confir- mera aucun des jugemens favorables que nous portons fur quelques Écrivains de nos jours ? Non , affuré- ment une pareille conféquence feroit injure au vrai mérite . Mais un avantage réel ...
Strona xxv
... doit au refte s'attendre à aucune juftification ma part fur ces traits lancés de tems en tems contre la fauffe Philofophie . Les vrais Philofophes enten- droient mal leurs intérêts & agiroient contre leur propre conscience , s'ils s ...
... doit au refte s'attendre à aucune juftification ma part fur ces traits lancés de tems en tems contre la fauffe Philofophie . Les vrais Philofophes enten- droient mal leurs intérêts & agiroient contre leur propre conscience , s'ils s ...
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
Abel ADAM affez ainfi amans amour appas auffi auffi-tôt avoit beau beauté Belle c'eft c'eſt C'étoit Caïn Cérès CHANT charmes cher chofe Ciel cieux cruel Cythère Déeffe defirs deftin déja Dieu Dieux difcours dit-elle doux efprit Enfans eſt étoient étoit FABLE facrifice fage faifoit falloit fang fans ceffe fecond fecret fein féjour femble fens fentiment feroit fervir fes fœurs fes yeux feul fimple foible foibleffe foins foit fon cœur fon époux font Fontaine foudain fous fouvent fuis fuite fuivant fujet fuprême fur-tout goût grace hélas hymen inftant j'ai jaloux Jephté jeune jour jufqu'à Junon Jupiter l'Amour l'époux laiffe lieux Lorfque main maint maux MÉHALA mille Monftre mortels n'eft nâge Nymphes oifeau paffe Paphos parens Père Pfiché Philofophe plaifir plaifirs pleurs Pluton Poëme préfent puiffe raifon refpect refte Rofe ſes ſon Styx Télamon tems tendre tendreffe THIRZA tréfors trifte Vénus vœux Zéphire دو
Popularne fragmenty
Strona viii - Retirez-les: on ne veut plus Cultiver pour eux les campagnes; Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes. Nous laissons nos chères compagnes; Nous ne conversons plus qu'avec des ours affreux, Découragés de mettre au jour des malheureux. Et de peupler pour Rome un pays qu'elle opprime. Quant à nos enfants déjà nés, Nous souhaitons de voir leurs jours bientôt bornés: Vos préteurs au malheur nous font joindre le crime.
Strona 306 - De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
Strona 133 - L'image de ces biens rend mes maux cent fois pires. Ma mémoire me dit: «Quoi! Psyché, tu respires. Après ce que tu perds?
Strona 106 - Ouvrages merveilleux de son pouvoir suprême, De Jupiter l'homme reçut, dit-on, Un livre écrit par Minerve elle-même, Ayant pour titre la Raison. Ce livre, ouvert aux yeux de tous les âges, Les devait tous conduire à la vertu ; Mais d'aucun d'eux il ne fut entendu, Quoiqu'il contînt les leçons les plus sages. L'enfance y vit des mots, et rien de plus ; La jeunesse, beaucoup d'abus ; L'âge suivant, des regrets superflus ; Et la vieillesse en déchira les pages.
Strona 324 - D'abord il s'y prit mal, puis un peu mieux, puis bien; Puis enfin il n'y manqua rien.
Strona 331 - Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve En tout cet univers, et l'aller parcourant, Dans les citrouilles je la treuve. Un villageois, considérant Combien ce fruit est gros, et sa tige menue: «A quoi songeait, dit-il, l'auteur de tout cela?
Strona 328 - Qui, comme on dit, fçait pêcher en eau trouble; Et plus le bien de fon Maître va mal, Plus le fien croît, plus fon profit redouble, Tant qu'aifément lui-même acheteroit Ce qui de net au Seigneur...
Strona 9 - Autour de vous se va jouant. Vous êtes nains ; mais tel arbre géant, Qui déclare au soleil la guerre, Ne vous vaut pas, Bien qu'il couvre un arpent de terre Avec ses bras.
Strona 111 - L'époux que les Destins gardent à votre fille Est un monStre cruel qui déchire les cœurs, Qui trouble maint État, détruit mainte famille, Se nourrit de soupirs, se baigne dans les pleurs. A l'Univers entier il déclare la guerre, Courant de bout en bout un flambeau dans la main : On le craint dans les cieux, on le craint sur la terre; Le Styx n'a pu borner son pouvoir souverain; C'eSt un empoisonneur, c'eSt un incendiaire, Un tyran qui de fers charge...
Strona 316 - N mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en fa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La pefte (puifqu'il faut l'appeler par fon nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faifoit aux Animaux la guerre.