Répertoire du Théâtre français ...: Oeuvres complètes de J. Racine. t.I-V. 1821-22J. Didot ainé, 1824 |
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Strona 167
... chanté cet ouvrage avec tant de grace , tant de modestie , et tant de piété , qu'il n'a pas été pos- sible qu'il demeuràt renfermé dans le secret de leur maison : de sorte qu'un divertissement d'en- fants est devenu le sujet de l ...
... chanté cet ouvrage avec tant de grace , tant de modestie , et tant de piété , qu'il n'a pas été pos- sible qu'il demeuràt renfermé dans le secret de leur maison : de sorte qu'un divertissement d'en- fants est devenu le sujet de l ...
Strona 180
... chante seule . Déplorable Sion , qu'as - tu fait de ta gloire ? Tout l'univers admiroit ta splendeur : Tu n'es plus que poussière ; et de cette grandeur Il ne nous reste plus que la triste mémoire . Sion , jusques au ciel élevée ...
... chante seule . Déplorable Sion , qu'as - tu fait de ta gloire ? Tout l'univers admiroit ta splendeur : Tu n'es plus que poussière ; et de cette grandeur Il ne nous reste plus que la triste mémoire . Sion , jusques au ciel élevée ...
Strona 207
... chante . Un moment a changé ce courage inflexible : Le lion rugissant est un agneau paisible . Dieu , notre Dieu sans doute a versé dans son cœur Cet esprit de douceur . LE CHOEUR chante . Dieu , notre Dieu sans doute a versé dans son ...
... chante . Un moment a changé ce courage inflexible : Le lion rugissant est un agneau paisible . Dieu , notre Dieu sans doute a versé dans son cœur Cet esprit de douceur . LE CHOEUR chante . Dieu , notre Dieu sans doute a versé dans son ...
Strona 208
... chante . Malheureux , vous quittez le maître des humains , Pour adorer l'ouvrage de vos mains ! UNE ISRAELITE chante . Dieu d'Israël , dissipe enfin cette ombre : Des larmes de tes saints quand seras - tu touché ? Quand sera le voile ...
... chante . Malheureux , vous quittez le maître des humains , Pour adorer l'ouvrage de vos mains ! UNE ISRAELITE chante . Dieu d'Israël , dissipe enfin cette ombre : Des larmes de tes saints quand seras - tu touché ? Quand sera le voile ...
Strona 209
... chante . Dieux impuissants , dieux sourds , tous ceux qui vous implorent Ne seront jamais entendus : Que les démons , et ceux qui les adorent , Soient à jamais détruits et confondus ! UNE ISRAELITE chante . Que ma bouche et mon cœur ...
... chante . Dieux impuissants , dieux sourds , tous ceux qui vous implorent Ne seront jamais entendus : Que les démons , et ceux qui les adorent , Soient à jamais détruits et confondus ! UNE ISRAELITE chante . Que ma bouche et mon cœur ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ABNER ACHILLE ÆGINE AGAMEMNON AMAN amour ARCAS ARICIE ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit bras cacher Calchas chante charmes cher chercher CHOEUR ciel cieux CLYTEMNESTRE cœur courroux craint crime cruel d'Athalie Daignez David déja dessein Dieu dieux discours DORIS douleur Éliacin ÉLISE enfant ennemis époux ÉRIPHILE Esprit saint ESTHER éternel étoit fatal fille fils foible foiblesse funeste fureur gloire grace Grecs Hélas heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen innocent IPHIGÉNIE ISMAEL ISMÈNE ISRAELITE j'ai jamais Jézabel JOAD JOAS JOSABET jour Juifs l'amour l'autel l'univers laisse larmes Lesbos lévites lieux long-temps madame mains malheureux Mardochée MATHAN mère moi-même mort mortels Mycène Ochozias OEnone paix par-tout père perfide peuple PHÈDRE pleurs prêtres prince princesse profane reine rois sacrés saint SALOMITH sang SCÈNE VII secours secret seigneur seule sœur soin songe sort superbe temple THÉRAMÈNE THÉSÉE tremble Trézéne triste trône trouble ULYSSE venger veux vœux vois voix vous-même yeux ZACHARIE zèle
Popularne fragmenty
Strona 252 - ATHALIE. Prêtez-moi l'un et l'autre une oreille attentive. Je ne veux point iri rappeler le passé, Ni vous rendre raison du sang que j'ai versé : Ce que j'ai fait, Abner, j'ai cru le devoir faire. Je ne prends point pour juge un peuple téméraire : Quoi que son insolence ait osé publier, Le ciel même a pris soin de me justifier. Sur d'éclatants succès ma puissance établie A fait jusqu'aux deux mers respecter Athalie : Par moi Jérusalem goûte...
Strona 284 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé?... Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide ; De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé ; Ton encens à ses yeux est un encens souillé... . . . . Où menez-vous ces enfants et ces femmes?
Strona 149 - Déjà je ne vois plus qu'à travers un nuage Et le ciel et l'époux que ma présence outrage ; Et la mort, à mes yeux dérobant la clarté, Rend au jour qu'ils souillaient toute sa pureté.
Strona 134 - Fuyons dans la Nuit infernale. Mais que dis-je ? Mon Père y tient l'Urne fatale. Le Sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains Minos juge aux Enfers tous les pâles Humains. Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible...
Strona 254 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels: Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels!
Strona 86 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Strona 91 - Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Strona 117 - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Strona 235 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat? Quoi! toujours les plus grandes merveilles Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles? Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours?
Strona 48 - Non, je ne l'aurai point amenée au supplice, Ou vous ferez aux Grecs un double sacrifice. Ni crainte ni respect ne m'en peut détacher. De mes bras tout sanglants il faudra l'arracher. Aussi barbare époux qu'impitoyable père, Venez, si vous l'osez, la ravir à sa mère.