Fables, avec de nouvelles notes par m. de Lévizac. Gros |
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Wyniki 1 - 5 z 54
Strona xvii
... peuple même avoit de la Fontaine . Quelque temps avant sa mort , il avoit réprimé les saillies de son imagination , et pour réparer autant qu'il étoit en lui le mal qu'il avoit fait , il avoit en- trepris de traduire en vers les hymnes ...
... peuple même avoit de la Fontaine . Quelque temps avant sa mort , il avoit réprimé les saillies de son imagination , et pour réparer autant qu'il étoit en lui le mal qu'il avoit fait , il avoit en- trepris de traduire en vers les hymnes ...
Strona xix
... peuples . Il semble que de tout temps la vérité ait eu peur des hommes , et que les hommes aient eu peur de la vérité . Quel que soit l'inventeur de l'apologue , soit que la raison timide dans la bouche d'un esclave ait emprunté ce ...
... peuples . Il semble que de tout temps la vérité ait eu peur des hommes , et que les hommes aient eu peur de la vérité . Quel que soit l'inventeur de l'apologue , soit que la raison timide dans la bouche d'un esclave ait emprunté ce ...
Strona xx
... peuples qui ont une littérature perfectionnée , sont les seuls chez qui l'on sache faire un livre . Si jamais on est obligé d'avoir rigoureusement raison , c'est surtout lorsqu'on se pro- pose d'instruire . Vous voulez que je cherche ...
... peuples qui ont une littérature perfectionnée , sont les seuls chez qui l'on sache faire un livre . Si jamais on est obligé d'avoir rigoureusement raison , c'est surtout lorsqu'on se pro- pose d'instruire . Vous voulez que je cherche ...
Strona xxix
... peuple est en même temps le poète des philosophes . Cet avantage qui n'appartient qu'à ' lui seul , peut être dû en partie au genre de ses ouvrages ; mais il l'est surtout à son génie . Nul auteur n'a dans ses écrits plus de bon sens ...
... peuple est en même temps le poète des philosophes . Cet avantage qui n'appartient qu'à ' lui seul , peut être dû en partie au genre de ses ouvrages ; mais il l'est surtout à son génie . Nul auteur n'a dans ses écrits plus de bon sens ...
Strona xxxii
... peuple léger et vain , n'en firent aucun cas et l'accueilli- rent mal . Tout Philosophe qu'il étoit , il en fut , dit on vivement affecté , et , pour les humilier , leur dit la fable des Bâtons flottants , qui de loin paroissent quelque ...
... peuple léger et vain , n'en firent aucun cas et l'accueilli- rent mal . Tout Philosophe qu'il étoit , il en fut , dit on vivement affecté , et , pour les humilier , leur dit la fable des Bâtons flottants , qui de loin paroissent quelque ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Adieu alloit amant âme Amour animaux Apollon assez auroit aussi-bien avoient avoit beau belette belle Belphegor berger bête bois C'étoit cent Cérès cerf charmes chasseur chat chère chien chose ciel Clymène cœur coguée conte corbeau cormoran coup crut déesse devoit Dieu dieux dire disoit disoit-il dit-il donne doux encens enfants enfin époux Esope esprit étoient étoit eût fable faisoit femme fille Fontaine Fortune gens Grecs Grenouilles homme hymen J'ai J'en jamais Japet jour Jupiter l'aigle l'amour l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse lion logis loup maint maître malheureux manger mieux mort mouche mouton n'avoit n'en neuf sœurs oiseaux passer pauvre peine père peuple Phèdre Phocide Pilpay plaisir pleurs pouvoit prince qu'un raison renard rien s'en sage seigneur seroit seul signifie singe sire sœurs soin sort souris Styx Télamon tête Tircis trésor trouve Ulysse veux vient vieux voilà voleurs vouloit yeux zéphyrs
Popularne fragmenty
Strona 288 - Il ne convient pas à vous-mêmes. Repartit le vieillard. Tout établissement * Vient tard, et dure peu. La main des Parques blêmes De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée, Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
Strona 244 - L'animal chargé d'ans, vieux cerf, et de dix cors, En suppose un plus jeune, et l'oblige par force A présenter aux chiens une nouvelle amorce. Que de raisonnements pour conserver ses jours!
Strona 280 - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux .m'offrent de doux objets ! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie ! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix:' En est-il moins profond, et moins plein de délices?
Strona 218 - L'emportèrent enfin. Il dit : « Ne pleurez point ; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite : Je reviendrai' dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère ; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai : J'étais là : telle chose m'avint : Vous y croirez être vous-même.
Strona 159 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son. Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau Que je verrai sauter au milieu du troupeau?
Strona 169 - C'était un beau sujet de guerre Qu'un logis où lui-même il n'entrait qu'en rampant. « Et quand ce serait un royaume Je voudrais bien savoir, dit-elle, quelle loi En a pour toujours fait l'octroi A Jean fils ou neveu de Pierre ou de Guillaume, Plutôt qu'à Paul, plutôt qu'à moi.
Strona 280 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes!
Strona 119 - Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
Strona 159 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous. Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous , Tous les honneurs , toutes les femmes.
Strona 3 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.