Collection complette des œuvres de Mr. de Voltaire, Tom 1;Tom 7Cramer, 1770 |
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Strona 38
... JOCAST E. Seigneur , quand le deftin me réfervant à vous , Par un coup imprévû m'enleva mon époux ; Lorfque de fes états parcourant les frontières , Ce héros fuccomba fous des mains meurtrières ; Phorbas en ce voyage était feul avec lui ...
... JOCAST E. Seigneur , quand le deftin me réfervant à vous , Par un coup imprévû m'enleva mon époux ; Lorfque de fes états parcourant les frontières , Ce héros fuccomba fous des mains meurtrières ; Phorbas en ce voyage était feul avec lui ...
Strona 39
... JOCAST E. Seigneur , on paya mal fon service & fon zèle : Tout l'état en fecret était fon ennemi : Il était trop puiffant pour n'être point haï ; Et du peuple & des grands la colère infenfée Brûlait de le punir de fa faveur paffée . On ...
... JOCAST E. Seigneur , on paya mal fon service & fon zèle : Tout l'état en fecret était fon ennemi : Il était trop puiffant pour n'être point haï ; Et du peuple & des grands la colère infenfée Brûlait de le punir de fa faveur paffée . On ...
Strona 41
... JOCAST E. Qu'ai - je entendu , grands dieux ! EGINE . Ma furprise eft extrême .... JOCAST E. Qui , lui ! qui , Philoctete ? ARASP E. Oui , madame , lui - même . A quel autre en effet pourraient - ils imputer Un meurtre qu'à nos yeux il ...
... JOCAST E. Qu'ai - je entendu , grands dieux ! EGINE . Ma furprise eft extrême .... JOCAST E. Qui , lui ! qui , Philoctete ? ARASP E. Oui , madame , lui - même . A quel autre en effet pourraient - ils imputer Un meurtre qu'à nos yeux il ...
Strona 43
... JOCAST E. Hélas ! je porte envie A ceux qui dans ces murs ont terminé leur vie . Quel état , quel tourment pour un cœur vertueux ! EGINE . Il n'en faut point douter , votre fort eft affreux . Ces peuples qu'un faux zèle aveuglément ...
... JOCAST E. Hélas ! je porte envie A ceux qui dans ces murs ont terminé leur vie . Quel état , quel tourment pour un cœur vertueux ! EGINE . Il n'en faut point douter , votre fort eft affreux . Ces peuples qu'un faux zèle aveuglément ...
Strona 44
... JOCAST E. Que je fuis malheureuse ! Tu connais , chère Egine , & mon cœur & mes maux ; J'ai deux fois de l'hymen allumé les flambeaux ; Deux fois de mon deftin fubiffant l'injustice , J'ai changé d'efclavage , ou plutôt de fupplice : Et ...
... JOCAST E. Que je fuis malheureuse ! Tu connais , chère Egine , & mon cœur & mes maux ; J'ai deux fois de l'hymen allumé les flambeaux ; Deux fois de mon deftin fubiffant l'injustice , J'ai changé d'efclavage , ou plutôt de fupplice : Et ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
acte affez affreux ainfi ALBIN amour ANTOINE ARONS auffi Brutus c'eft C'eſt CASSIUS Céfar CESAR ciel CIMBER Corinthe Corneille courroux craint crime d'Edipe deffeins deftin déja diadême dieux DIPE Edipe efprit EGINE époux eſt facrés faibleffe falut fang fans fauver fcène fecond fecret feigneur femble fénat fens fentimens fentiment fervir feul févère fils foins foit fon cœur font foupçons fous fraper fuis fujet funefte fureur furtout gloire Hélas HEROD Hérode j'ai JOCAST jufte l'amour laiffe Laïus Licteurs loix longtems lorfque madame mains malheureux Mariamne MAZA MAZAEL Meffala MESSAL mort n'eft NARBA Oedipe paffer paffions parler penfe père peuple PHILO Philoctete Phocide Phorbas piéce plaifir pleurs porte Quirinale préfent preffe PROCULUS puiffe raifon refpect refte rime rois Romains Rome SALOM SCENE PREMIERE Sohême Sophocle Tarquin tems théâtre Thébains Thèbe TITUS tragédie trifte trône Tullie tyrans Varus venger vertu veux yeux
Popularne fragmenty
Strona 274 - Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.
Strona 92 - Voilà tous mes forfaits; je n'en connais point d'autres, Impitoyables dieux, mes crimes sont les vôtres, Et vous m'en punissez!..
Strona 130 - II offre, en m'aveuglant sur ce qu'il a prédit, Mon père à mon épée, et ma mère à mon lit. Hélas! qu'il est bien vrai qu'en vain on s'imagine Dérober notre vie à ce qu'il nous destine ! Les soins de l'éviter font courir au-devant, Et l'adresse à le fuir y plonge plus avant.