Oeuvres complettes de M. Marmontel, historiographe de France ...

Przednia ok³adka
Née de la Rochelle, 1787

Z wnêtrza ksi±¿ki

Wybrane strony

Inne wydania - Wy¶wietl wszystko

Kluczowe wyrazy i wyra¿enia

Popularne fragmenty

Strona 185 - J'ai pour aïeul le père et le maître des Dieux; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux. Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Strona 375 - Un vieux renard, mais des plus fins, Grand croqueur de poulets, grand preneur de lapins, Sentant son renard d'une lieue, Fut enfin au piège attrapé.
Strona 339 - Enfin , pour captiver le cœur qu'on a touché et le sauver de l'inconstance, il faut le sauver de l'ennui, donner sans cesse à l'habitude les attraits de la nouveauté , et tous les jours la même aux yeux de son amant, lui sembler tous les jours nouvelle.
Strona 186 - Ah! combien frémira son ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Strona 167 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône , il pâlit , il s'écrie : II a peur que ce dieu dans cet affreux séjour...
Strona 324 - ... la justice, cette vertueuse indépendance dont vous êtes si jaloux , ces grands , ces généreux...
Strona 190 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Strona 186 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée Lorsqu'il verra sa fille, à...
Strona 321 - Mais dans cette supposition même que de faux moyens sont nécessaires pour persuader des esprits faux, et qu'il en est de tels parmi les juges, il y aura toujours de la mauvaise foi à donner de la valeur à ce qui n'en a point , et le sophisme n'en est pas moins la fausse monnaie de l'éloquence. C'est au juge de savoir discerner le vrai, c'est à l'avocat de le dire ; il est un faussaire s'il le déguise, un fourbe s'il donne au mensonge les couleurs de la vérité. De la doctrine de Plutarque...
Strona 250 - Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ; Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ; Et ton jaloux orgueil, par cet affront insigne, Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument, Mais d'un corps tout de glace inutile ornement, Fer jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense...

Informacje bibliograficzne