Dictionnaire de mythologieJ. Hetzel, 1899 - 318 |
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Strona 26
... malheureux se tor- daient les ongles , se meurtrissaient les doigts , à vouloir le dénouer . Leurs traits contractés exprimaient l'effort et la dou- leur la sueur coulait de leur front . Deux héros que je pris l'un pour César , l'autre ...
... malheureux se tor- daient les ongles , se meurtrissaient les doigts , à vouloir le dénouer . Leurs traits contractés exprimaient l'effort et la dou- leur la sueur coulait de leur front . Deux héros que je pris l'un pour César , l'autre ...
Strona 41
... malheureux , étaient autant d'occasions de sacrifier aux divinités protec- trices du foyer domestique . Or , chacun de ces actes religieux était précédé d'une ablu- tion . On se lavait trois fois les mains dans l'eau pure , on lavait le ...
... malheureux , étaient autant d'occasions de sacrifier aux divinités protec- trices du foyer domestique . Or , chacun de ces actes religieux était précédé d'une ablu- tion . On se lavait trois fois les mains dans l'eau pure , on lavait le ...
Strona 72
... corps , creuse leurs joues , fait trembler avant l'âge leurs mains et leurs genoux . Il en fait des cadavres . C'est un de ces malheureux schismati- ques que La Fontaine a dépeint dans ces vers : 72 Dictionnaire mythologique .
... corps , creuse leurs joues , fait trembler avant l'âge leurs mains et leurs genoux . Il en fait des cadavres . C'est un de ces malheureux schismati- ques que La Fontaine a dépeint dans ces vers : 72 Dictionnaire mythologique .
Strona 109
... malheureux de la décadence de Rome ne furent qu'un long sacrifice à cette idole . Il a eu chez nous ses adorateurs et même ses poëtes . Brillat - Savarin et Berchoux , l'un en prose , l'autre en vers , ont tracé aux initiés les règles ...
... malheureux de la décadence de Rome ne furent qu'un long sacrifice à cette idole . Il a eu chez nous ses adorateurs et même ses poëtes . Brillat - Savarin et Berchoux , l'un en prose , l'autre en vers , ont tracé aux initiés les règles ...
Strona 145
... malheureux , et de rendre grâce à notre étoile , qui nous a tirés d'un mauvais pas ; mais ce sont des façons de parler , que nous répétons par habitude , sans y attacher aucun sens particulier , et qui ne tirent pas à conséquence . " ୨ ...
... malheureux , et de rendre grâce à notre étoile , qui nous a tirés d'un mauvais pas ; mais ce sont des façons de parler , que nous répétons par habitude , sans y attacher aucun sens particulier , et qui ne tirent pas à conséquence . " ୨ ...
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Strona 248 - Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible aux yeux des matelots, C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots. Écho n'est plus un son qui dans l'air retentisse, C'est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse.
Strona 63 - Demain , quand l'Aurore avec ses doigts de roses entr'ouvrira les portes dorées de l'Orient , et que les chevaux du soleil , sortant de l'onde amère , répandront les flammes du jour pour chasser devant eux toutes les étoiles du ciel , nous reprendrons , mon cher Télémaque , l'histoire de vos malheurs.
Strona 189 - Mais aujourd'hui qu'enfin la vieillesse venue, Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue, A jeté sur ma tête, avec ses doigts pesants, Onze lustres complets surchargés de deux ans.
Strona 191 - Jupin les renvoya s'étant censurés tous, Du reste, contents d'eux. Mais parmi les plus fous Notre espèce excella ; car tout ce que nous sommes , Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous, Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes.
Strona 64 - Du palais d'un jeune lapin * Dame belette, un beau matin, S'empara : c'est une rusée. Le maître étant absent, ce lui fut chose aisée. Elle porta chez lui ses pénates, un jour Qu'il était allé faire à l'aurore sa cour Parmi le thym et la rosée.
Strona 169 - Que ne dansent aux bois la nymphe et la bergère : L'herbe l'aurait portée ; une fleur n'aurait pas Reçu l'empreinte de ses pas : Elle semblait raser les airs à la manière Que les dieux marchent dans Homère.
Strona 108 - C'estoit une effigie monstrueuse, ridicule, hideuse, et terrible aux petits enfans, ayant les œilz plus grands que le ventre, et la teste plus grosse que tout le reste du corps, avec amples, larges et horrifiques...
Strona 140 - Le rossignol était sans voix. Triste et mourant, à son aurore Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans. " Bois, que j'aime ! adieu ... je succombe; Votre deuil me prédit mon sort; Et dans chaque feuille qui tombe Je vois un présage de mort.
Strona 110 - Pendant qu'avec un air assuré il s'avance pour recevoir la parole de ces braves gens, ceux-ci toujours en garde craignent la surprise de quelque nouvelle attaque ; leur effroyable décharge met les nôtres en furie : on ne voit plus que carnage ; le sang enivre le soldat ; jusqu'à ce que le grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner.
Strona 140 - D'abord elle se plaint. qu'elle est lasse et recrue de fatigue; et le dieu* prononce que cela lui arrive par la longueur du chemin qu'elle vient de faire. Elle dit qu'elle est le soir sans appétit ; l'oracle lui ordonne de dîner peu...