Dictionnaire de mythologieJ. Hetzel, 1899 - 318 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 12
Strona 41
... famille des sacrifices particu- liers qui se renouvelaient tous les jours . Un repas , une fête , une naissance , une mort , un voyage , un retour , l'arrivée d'un hôte , d'un ami , une moisson , une ven- dange , une tonte de brebis ...
... famille des sacrifices particu- liers qui se renouvelaient tous les jours . Un repas , une fête , une naissance , une mort , un voyage , un retour , l'arrivée d'un hôte , d'un ami , une moisson , une ven- dange , une tonte de brebis ...
Strona 48
... qu'ils aiment plus que la vie , de leurs maisons , de leurs champs , de leurs troupeaux , des tombeaux de leur famille , de tout ce qui est pour eux la patrie . Il faut les déraciner du sol 48 Dictionnaire mythologique . ANTÉE. ...
... qu'ils aiment plus que la vie , de leurs maisons , de leurs champs , de leurs troupeaux , des tombeaux de leur famille , de tout ce qui est pour eux la patrie . Il faut les déraciner du sol 48 Dictionnaire mythologique . ANTÉE. ...
Strona 133
... famille des animaux fabuleux dont le peuple , est le Linnée . Généralement on se le représente sous la forme d'un serpent qui a des pieds et une aigrette ; mais il y a bien des variétés . Les serpents ailés que Cérès et Médée la ...
... famille des animaux fabuleux dont le peuple , est le Linnée . Généralement on se le représente sous la forme d'un serpent qui a des pieds et une aigrette ; mais il y a bien des variétés . Les serpents ailés que Cérès et Médée la ...
Strona 152
... famille , dont il est le centre et la vie . Les anciens , à qui nous avons emprunté cette expression , ne l'entendaient pas tout à fait comme nous . La pierre du foyer , chez eux , était chose sacrée , autant par elle - même que par l ...
... famille , dont il est le centre et la vie . Les anciens , à qui nous avons emprunté cette expression , ne l'entendaient pas tout à fait comme nous . La pierre du foyer , chez eux , était chose sacrée , autant par elle - même que par l ...
Strona 153
... famille , le type de la cité . Autour de la flamme sacrée , que la piété entretenait le jour et la nuit , étaient ran- gées les statues du Génie , du Lare , des Pé- nates , ces dieux dont la présence au foyer consacrait tous les actes ...
... famille , le type de la cité . Autour de la flamme sacrée , que la piété entretenait le jour et la nuit , étaient ran- gées les statues du Génie , du Lare , des Pé- nates , ces dieux dont la présence au foyer consacrait tous les actes ...
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ablutions anciens Ariane aujourd'hui avaient avez Bacchus barque beau belle bres C'était Centaures Cerbère Cérès chant char Charybde chien Comus corps culte Cyclopes cygne d'Apollon Damoclès Danaïdes Dédale déesse Dictionnaire dieu dieux dis-je divin dragon Éaque Égérie enfants Esculape éternue étoile fable femmes Fénelon fille Fourches Caudines Géants gens Grecs HÉLICON Hercule Homère hommes HYDRE DE LERNE hydres images jour Jupiter l'éternuement L'hydre latin légende libations lit de Procuste Lynx main malheureux Mânes ment Midas Minerve Minos Momerie Momus mort Muses Myrmidons mystère mythologie Narcisses nectar Nestor nymphe ombre oracles orgies Ovide Pactole païens passé Pénélope père petits peuple philosophes Pline Pluton poëtes pomme de discorde Procuste Prométhée Pygmées qu'un raison religion reste Romains Rome sacré sacrifier Saturne Satyres Scylla sens serpent seule Sicile siècle Sisyphe sœurs sort sphinx table Tantale temple terre tête teur tion tradition Vénus vieille Virgile Voilà Voltaire Vulcain yeux
Popularne fragmenty
Strona 248 - Tout prend un corps, une âme, un esprit, un visage. Chaque vertu devient une divinité : Minerve est la prudence, et Vénus la beauté ; Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre ; Un orage terrible aux yeux des matelots, C'est Neptune en courroux qui gourmande les flots. Écho n'est plus un son qui dans l'air retentisse, C'est une nymphe en pleurs qui se plaint de Narcisse.
Strona 63 - Demain , quand l'Aurore avec ses doigts de roses entr'ouvrira les portes dorées de l'Orient , et que les chevaux du soleil , sortant de l'onde amère , répandront les flammes du jour pour chasser devant eux toutes les étoiles du ciel , nous reprendrons , mon cher Télémaque , l'histoire de vos malheurs.
Strona 189 - Mais aujourd'hui qu'enfin la vieillesse venue, Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue, A jeté sur ma tête, avec ses doigts pesants, Onze lustres complets surchargés de deux ans.
Strona 191 - Jupin les renvoya s'étant censurés tous, Du reste, contents d'eux. Mais parmi les plus fous Notre espèce excella ; car tout ce que nous sommes , Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous, Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes.
Strona 64 - Du palais d'un jeune lapin * Dame belette, un beau matin, S'empara : c'est une rusée. Le maître étant absent, ce lui fut chose aisée. Elle porta chez lui ses pénates, un jour Qu'il était allé faire à l'aurore sa cour Parmi le thym et la rosée.
Strona 169 - Que ne dansent aux bois la nymphe et la bergère : L'herbe l'aurait portée ; une fleur n'aurait pas Reçu l'empreinte de ses pas : Elle semblait raser les airs à la manière Que les dieux marchent dans Homère.
Strona 108 - C'estoit une effigie monstrueuse, ridicule, hideuse, et terrible aux petits enfans, ayant les œilz plus grands que le ventre, et la teste plus grosse que tout le reste du corps, avec amples, larges et horrifiques...
Strona 140 - Le rossignol était sans voix. Triste et mourant, à son aurore Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans. " Bois, que j'aime ! adieu ... je succombe; Votre deuil me prédit mon sort; Et dans chaque feuille qui tombe Je vois un présage de mort.
Strona 110 - Pendant qu'avec un air assuré il s'avance pour recevoir la parole de ces braves gens, ceux-ci toujours en garde craignent la surprise de quelque nouvelle attaque ; leur effroyable décharge met les nôtres en furie : on ne voit plus que carnage ; le sang enivre le soldat ; jusqu'à ce que le grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et joignit au plaisir de vaincre celui de pardonner.
Strona 140 - D'abord elle se plaint. qu'elle est lasse et recrue de fatigue; et le dieu* prononce que cela lui arrive par la longueur du chemin qu'elle vient de faire. Elle dit qu'elle est le soir sans appétit ; l'oracle lui ordonne de dîner peu...