Oeuvres de M. de Voltaire..Chez Jaques Desbordes., 1732 |
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Strona 21
... affreux du fort , Dans ces lieux empeftés vous fait chercher la mort ? Venez - vous de nos Dieux affronter la colere ? Nul mortel n'ofe ici mettre un pied temeraire ; Ces climats font remplis du celefte couroux , Et la mort dévorante ...
... affreux du fort , Dans ces lieux empeftés vous fait chercher la mort ? Venez - vous de nos Dieux affronter la colere ? Nul mortel n'ofe ici mettre un pied temeraire ; Ces climats font remplis du celefte couroux , Et la mort dévorante ...
Strona 22
... affreux , Et dis - moi fi des Dieux la colere inhumaine A respecté du moins les jours de votre Reine . DIMAS . Oui , Seigneur , elle vit : mais la contagion Jufqu'au pied de fon trône aporte son poison . Chaque inftant lui dérobe un ...
... affreux , Et dis - moi fi des Dieux la colere inhumaine A respecté du moins les jours de votre Reine . DIMAS . Oui , Seigneur , elle vit : mais la contagion Jufqu'au pied de fon trône aporte son poison . Chaque inftant lui dérobe un ...
Strona 25
... affreux , l'entendit , & fut Roi , Il vit , il regne encor . Mais sa triste puissance Ne voit que des mourans fous fon obeïffance . Helas ! nous nous flations que fes heureuses mains Pour jamais à fon trône enchainoient les Deftins ...
... affreux , l'entendit , & fut Roi , Il vit , il regne encor . Mais sa triste puissance Ne voit que des mourans fous fon obeïffance . Helas ! nous nous flations que fes heureuses mains Pour jamais à fon trône enchainoient les Deftins ...
Strona 35
... affreux nous nous uniflons tous : OE DIP E. Dieux , que le crime feul éprouve enfin vos coups 3 Ou fi de vos décrets l'éternelle justice Abandonne à mon bras le foin de fon fuplice , Et fi vous êtes las enfin de nous haïr , Donnez en ...
... affreux nous nous uniflons tous : OE DIP E. Dieux , que le crime feul éprouve enfin vos coups 3 Ou fi de vos décrets l'éternelle justice Abandonne à mon bras le foin de fon fuplice , Et fi vous êtes las enfin de nous haïr , Donnez en ...
Strona 38
... affreux . Depuis ce jour fatal avec quelque apparence De nos peuples fur lui tomba la défiance . Que dis - je ? allés longtems les foupçons des Thebains Entre Phorbas & lui floterent incertains : Cependant ce grand nom qu'il s'acquit ...
... affreux . Depuis ce jour fatal avec quelque apparence De nos peuples fur lui tomba la défiance . Que dis - je ? allés longtems les foupçons des Thebains Entre Phorbas & lui floterent incertains : Cependant ce grand nom qu'il s'acquit ...
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Oeuvres de M. de Voltaire (Nouvelle Edition Revue, Corrigee Et ... Voltaire Podgląd niedostępny - 2013 |
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
affez affreux ainfi ALBIN ALGINE amour ARON auffi avoit Brutus c'eft C'eſt Ciel CLIT CLITAN DRE CLITANDRE couroux crime cruel d'Herode DAMIS deffeins deftin déja Dieux douleur efprit EGINE Epoux eſt étoit falut fang fans fauver fecret fens fentimens feroit fervir feul fils foibleffe foins foit fon cœur font foupçons fous fuis fujet funefte fureur gloire haine Hélas HEROD HORTENSE ICARE IDAMA j'ai JOCAST jour jufte juſtice l'amour laiffe Laïus Licteurs lieux Loix Madame mains malheureux MARIA MNE Mariamne MAZA MAZAEL Meffala MESSAL monftre mort Motte n'eft NERINE OE DIP paffer paffion paroître PASQUIN Pere Peuple PHILOCTETE PHORBA pleurs Porte Quirinale PRETRE PROCULUS raifon refte Reine Rois Romains Rome SALOM SCENE SCENE Seigneur Sénat ſes ſon Tarquin tems tendreffe Théatre Thebains Thebe TITUS toûjours Tragedie TRASIMON trépas trifte Trône Tullie Tyrans VALERIUS vanger Varus vertu veux vûë yeux
Popularne fragmenty
Strona 10 - Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 16 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Strona 10 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Strona 36 - Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.