LaFontaine: sein Fabeln und ihre GegnerW. Friedrich, 1880 - 178 |
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Strona 155 - Wenn wir einen allgemeinen moralischen Satz auf einen besondern Fall "zurückführen, diesem besondern Falle die Wirklichkeit erteilen, und eine Geschichte daraus dichten, in welcher man den allgemeinen Satz anschauend erkennt: so heißt diese Erdichtung eine Fabel.
Strona 79 - Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Strona 59 - Solitude, où je trouve une douceur secrète, Lieux que j'aimai toujours, ne pourrai-je jamais Loin du monde et du bruit goûter l'ombre et le frais?
Strona 82 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Strona 93 - Parlez un peu au cardinal de vos machines , des machines qui aiment , des machines qui ont une élection pour quelqu'un , des machines qui sont jalouses, des machines qui craignent : allez, allez, vous vous moquez de nous; jamais Descartes n'a prétendu nous le faire croire.
Strona 147 - Jupin pour chaque état mit deux tables au monde : L'adroit, le vigilant, et le fort, sont assis A la première ; et les petits Mangent leur reste à la seconde.
Strona 78 - Que me faudra-t-il faire ?' - 'Presque rien, dit le chien, donner la chasse aux gens Portant bâtons et mendiants; Flatter ceux du logis, à son maître complaire ; Moyennant quoi votre salaire Sera force reliefs de toutes les façons : Os de poulets, os de pigeons, Sans parler de mainte caresse.
Strona 79 - Le loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le cou du chien pelé : Qu'est-ce là? lui dit-il. Rien. Quoi! rien! Peu de chose. Mais encor ? Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause.
Strona 175 - Ein Mann hatte einen trefflichen Bogen von Ebenholz, mit dem er sehr weit und sehr sicher schoß und den er ungemein wert hielt. Einst aber, als er ihn aufmerksam betrachtete, sprach er: „Ein wenig zu plump bist du doch! Alle deine Zierde ist die Glätte. Schade!" — ,Doch dem ist abzuhelfen!' 72 fiel ihm ein. ,Ich will hingehen und den besten Künstler Bilder in den Bogen schnitzen lassen.
Strona 171 - Blatt. Voll Unwill sprang ich auf; aber sieh ! — auf einmal stand sie selbst, die fabelnde Muse, vor mir. Und sie sprach lächelnd: Schüler, wozu diese undankbare Mühe? Die Wahrheit braucht die Anmuth der Fabel; aber wozu braucht die Fabel die Anmuth der Harmonie?