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Le duc de Bourgogne.

Les héritiers d'Amaury, de Besançon.
Les héritiers de Navarret, de Besançon.

Les héritiers de Simon Baudry, de Bracon.

Le Temple (les deux cents livres restent à madame la comtesse de Bourgogne).

Les Cordeliers de Granson.

Le prieur de Granson.

L'abbaye de Citeaux.

Les chanoines de St-Michel.

Odon de la Lielle, chapelain de la comtesse. Les héritiers de Guillemin Graillet, de Besançon. Gérard de Scey.

Les héritiers de Girard de l'Hôpital.

Les officiers inférieurs de la saline étaient payés avec le produit de la vente des charges de sel assignées pour leurs gages. Ces officiers étaient, en 1308, Jehannin de Chariey, Guillaume-le-Petit, clercs au rôles; trois maîtres des engins, c'est-àdire trois charpentiers-ingénieurs; Thomas, voiturier de la saline.

Le montant des rentes et des gages s'élevait à 3,880 livres 8 sous. Il restait à la comtesse en toute propriété 3,600 livres 2 deniers et 76 charges de sel des chauderettes.

Gollut donne la liste des rentiers de la saline de Salins à la fin du seizième siècle. Ces deux documents sont précieux pour l'histoire des salines de la Franche-Comté.

TABLE DES MATIÈRES

AVANT-PROPOS.

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CHAPITRE PREMIER. Usages, commerce et fabrication du sel
dans l'antiquité et au moyen-âge. Homère, Hésiode,
Athénée, indiquent déjà l'usage du sel pour assaisonner et con-
server les viandes. Pline, Varron, Vitruve, nous fournissent
des renseignements à la fois plus étendus et plus certains.
Pline distingue déjà le sel en sel gemme et en sel marin.
D'après Varron, le sel marin venait des marais salants de la
mer Tyrrhénienne et du golfe de Tarente; le sel gemme, de
la Cappadoce. Pline semble indiquer l'exploitation des
sources salifères de la Gaule. Ce dernier mode d'exploitation
se développe à partir des invasions des barbares.

Source salée (puteus salis).— Définition des mots berna,
sedes salinaria, caldaria.- Différents droits qui pouvaient
être concédés sur une berne. Poids et mesures qui s'ap-
pliquent au sel.-Prix du sel dans l'antiquité et au moyen-

--

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âge..
CHAPITRE II. Origines de l'impôt sur le sel. — Etymologie du
mot gabelle. L'impôt sur le sel apparaît déjà en Orient
dans les royaumes formés par le démembrement de l'empire
d'Alexandre. Organisation de l'impôt sur le sel à Rome,

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d'après les historiens, les textes du Code Théodosien, du

Pages.
3

Pages.

Digeste et du Code de Justinien.

Mancipes salinarum

(fermiers des salines).
-Le principe de la patrimonialité des droits régaliens s'ap-
plique à l'impôt sur le sel qui devient un droit seigneurial.
Dès saint Louis, la royauté met, dans les circonstances
calamiteuses, une taxe extraordinaire sur le sel. Philippe de
Valois donne une première organisation à cet impôt, tout
en déclarant qu'il ne serait que temporaire. Enfin l'impôt
sur le sel est définitivement établi et rendu permanent par
Charles V (ordonnance de 1377).

- Condition des ouvriers des salines.

CHAPITRE III. Antiquité des salines de la Franche-Comté.

Les passages des auteurs anciens, de Pline, de Strabon, d'Ammien Marcellin, invoqués pour prouver la haute antiquité des salines de la Franche-Comté, sont conçus dans un sens trop vague pour qu'on puisse les appliquer d'une manière certaine à ces salines. Discussion au sujet d'un passage des Bollandistes. La première mention expresse de Salins nous est fournie par un diplôme de Sigismond, roi de Bourgogne, daté de l'an 523, et donnant Salins à l'abbaye d'Agaune.- Un diplôme de l'empereur Lothaire, daté de l'an 855, mentionne le premier les salines de Lons-leSaunier.

CHAPITRE IV. Salines de Lons-le-Saunier.

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Testament de Bernon, abbé de Cluny et de Gigny, accordant à l'abbaye de Cluny des droits sur les salines de Lons-le-Saunier (926). Le moine Jotsaldus, qui écrivait vers l'an 1030, fait mention des salines du bourg de Leodonium. Donations faites aux abbayes de Cluny, de Citeaux, de Balerne, du Tart, du Miroir, etc., prouvant l'existence des salines de Lons-le-Saunier pendant les onzième, douzième et treizième siècles. Elles cessent d'exister au quatorzième siècle. Différentes espèces de donations qui pouvaient être faites sur les salines. Propriété du puits à muire (Custos putei) CHAPITRE V. Salines de Salins. - L'abbaye d'Agaune (SaintMaurice en Valais) possède Salins jusqu'en 943. A ce moment, Aubry, comte de Macon, en devient possesseur; il doit l'hommage, pour le domaine de Salins, à l'abbaye d'A gaune, et, pour les salines, à l'empereur d'Allemagne. Ses successeurs forment deux branches: la branche aînée ou celle des comtes de Salins, possède la petite saline; la branche cadette, ou celle des sires de Salins, a le puits d'Amont. Donations aux abbayes de Cluny, de Citeaux, du

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Pages.

Miroir, de Rosières, etc., prouvant l'exploitation des salines de Salins pendant les onzième, douzième et treizième siècles. Officiers qui se trouvaient à la tête de l'administration des salines Pardessus (Per desuper).

Portier.

CHAPITRE VI. Autres sources salées dans le comté de Bour

gogne: Grozon, Scey-sur-Saône, Arc PIECES JUSTIFICATIVES

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