Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire, Tom 1;Tom 8Cramer, 1757 |
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Strona 40
... fatal , avec quelque apparence , De nos peuples fur lui tomba la défiance . Que dis - je ? affez longtems les foupçons des Thébains Entre Phorbas & lui flottèrent incertains : Cependant ce grand nom qu'il s'acquit dans la guerre , Ce ...
... fatal , avec quelque apparence , De nos peuples fur lui tomba la défiance . Que dis - je ? affez longtems les foupçons des Thébains Entre Phorbas & lui flottèrent incertains : Cependant ce grand nom qu'il s'acquit dans la guerre , Ce ...
Strona 45
... fatal a féduit ma raison . Je fentais pour Oedipe une amitié févère . Oedipe eft vertueux , fa vertu m'était chère ; Mon cœur avec plaifir le voyait élevé Au Throne des Thébains qu'il avait confervé . Mais enfin fur fes pas aux Autels ...
... fatal a féduit ma raison . Je fentais pour Oedipe une amitié févère . Oedipe eft vertueux , fa vertu m'était chère ; Mon cœur avec plaifir le voyait élevé Au Throne des Thébains qu'il avait confervé . Mais enfin fur fes pas aux Autels ...
Strona 63
... Fatal préfent du Ciel ! fcience malheureuse ! Qu'aux mortels curieux vous êtes dangereuse ! Plût aux cruels deftins , qui pour moi font ouverts , Que d'un voile éternel mes yeux fuffent couverts ! PHILOC TETE . Eh bien que venez - vous ...
... Fatal préfent du Ciel ! fcience malheureuse ! Qu'aux mortels curieux vous êtes dangereuse ! Plût aux cruels deftins , qui pour moi font ouverts , Que d'un voile éternel mes yeux fuffent couverts ! PHILOC TETE . Eh bien que venez - vous ...
Strona 76
... fils mon amour maternelle . En vain de cet amour l'impérieufe voix S'oppofait à nos Dieux , & condamnait leurs loix : Il fallut dérober cette tendre victime Au Au fatal afcendant qui l'entraînait au crime ; Et penfant 76 OEDIPE ,
... fils mon amour maternelle . En vain de cet amour l'impérieufe voix S'oppofait à nos Dieux , & condamnait leurs loix : Il fallut dérober cette tendre victime Au Au fatal afcendant qui l'entraînait au crime ; Et penfant 76 OEDIPE ,
Strona 77
Voltaire. Au fatal afcendant qui l'entraînait au crime ; Et penfant triompher des horreurs de fon fort , J'ordonnai par pitié qu'on lui donnât la mort . O pitié criminelle autant que malheureuse ! O d'un oracle faux obfcurité trompeuse ...
Voltaire. Au fatal afcendant qui l'entraînait au crime ; Et penfant triompher des horreurs de fon fort , J'ordonnai par pitié qu'on lui donnât la mort . O pitié criminelle autant que malheureuse ! O d'un oracle faux obfcurité trompeuse ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
affez affreux ainfi ALBIN amour ANTOIN ARONS auffi Brutus c'eft C'eſt CASSIUS CASTE Cefar CESAR charmes cher CHOEUR Ciel CIMBER courroux craint crime cruel DALIL deffeins deftin déja Dieu Dieux efclave efprit EGINE ennemis époux eſt facrés faibleffe falut fang fans fauver fecret femble fens fenti fentimens fervir feul févère fils foins foit fon cœur font foupçons fous fuis fujets funefte fupplice fureur gloire GRAND-PRETRE Hélas HEROD Hérode ICARE j'ai JO CASTE JOCASTE jufte l'amour l'Univers laiffe Licteurs lieux loix longtems mains malheureux MARIA M N Mariamne MAZA Meffala MESSA MESSAL monftre mort n'eft NABAL OEDIP paffer Pandore penfe père peuple PHILOC TETE PHORBA pleurs Porte Quirinale préfent preffe PROCULUS PROMETHEE puiffant refpecte refte Rois Romains Rome SALOM SAMSON SCENE Seigneur Sénat Tarquin tems tendreffe Théâtre Throne TITUS Tragédie trépas trifte Tullie Tyrans Varus vengeance venger vertu veux yeux
Popularne fragmenty
Strona 105 - Présente, je vous fuis : -absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 105 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 20 - II reçoit cette force heureuse Qui l'élève au plus haut degré. Telle , dans des canaux pressée , Avec plus de force élancée, L'onde s'élève dans les airs; Et la règle , qui semble austère , N'est qu'un art plus certain de plaire, Inséparable des beaux vers.
Strona 105 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.