Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire, Tom 1;Tom 8Cramer, 1757 |
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Strona 6
... Dieux , Il défend que le Satyre Trouble les fons de leur lyre Par fes fons audacieux . Adieu , mon cher & reverend Père ; je fuis pour ja- mais à vous & aux vôtres , avec la tendre reconnais fance que je vous dois , & que ceux qui ont ...
... Dieux , Il défend que le Satyre Trouble les fons de leur lyre Par fes fons audacieux . Adieu , mon cher & reverend Père ; je fuis pour ja- mais à vous & aux vôtres , avec la tendre reconnais fance que je vous dois , & que ceux qui ont ...
Strona 14
... Dieux , des Démons , des Magiciens , des prestiges , des monftres , des palais formés & détruits en un clin d'œil . On tolère ces extravagances , on les aime même , parce qu'on eft là dans le pays des Fées ; & pourvû qu'il y ait du ...
... Dieux , des Démons , des Magiciens , des prestiges , des monftres , des palais formés & détruits en un clin d'œil . On tolère ces extravagances , on les aime même , parce qu'on eft là dans le pays des Fées ; & pourvû qu'il y ait du ...
Strona 27
... Dieux me feraient - ils plus doux ? Quoi ! Philoctète enfin pourrait - il être à vous ? Il ne vit plus ! .. quel fort a terminé fa vie ? DIMA S. Quatre ans font écoulés depuis qu'en Béotie , Pour la dernière fois le fort guida vos pas ...
... Dieux me feraient - ils plus doux ? Quoi ! Philoctète enfin pourrait - il être à vous ? Il ne vit plus ! .. quel fort a terminé fa vie ? DIMA S. Quatre ans font écoulés depuis qu'en Béotie , Pour la dernière fois le fort guida vos pas ...
Strona 28
... Dieux , Qui nous dévoilerait ce fens mystérieux . Nos fages , nos vieillards , féduits par l'efpérance , Ofèrent , fur la foi d'une vaine fcience , Du monftre impénétrable affronter le courroux ; Nul d'eux ne l'entendit , ils expirèrent ...
... Dieux , Qui nous dévoilerait ce fens mystérieux . Nos fages , nos vieillards , féduits par l'efpérance , Ofèrent , fur la foi d'une vaine fcience , Du monftre impénétrable affronter le courroux ; Nul d'eux ne l'entendit , ils expirèrent ...
Strona 29
... Dieux nous réduifent ; Mais vous , heureux guerrier , que ces Dieux favorisent , Qui du fein de la gloire a pû vous arracher ? Dans ce féjour affreux que venez - vous chercher ? PHILOC TETE . Jy viens porter mes pleurs , & ma douleur ...
... Dieux nous réduifent ; Mais vous , heureux guerrier , que ces Dieux favorisent , Qui du fein de la gloire a pû vous arracher ? Dans ce féjour affreux que venez - vous chercher ? PHILOC TETE . Jy viens porter mes pleurs , & ma douleur ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
affez affreux ainfi ALBIN amour ANTOIN ARONS auffi Brutus c'eft C'eſt CASSIUS CASTE Cefar CESAR charmes cher CHOEUR Ciel CIMBER courroux craint crime cruel DALIL deffeins deftin déja Dieu Dieux efclave efprit EGINE ennemis époux eſt facrés faibleffe falut fang fans fauver fecret femble fens fenti fentimens fervir feul févère fils foins foit fon cœur font foupçons fous fuis fujets funefte fupplice fureur gloire GRAND-PRETRE Hélas HEROD Hérode ICARE j'ai JO CASTE JOCASTE jufte l'amour l'Univers laiffe Licteurs lieux loix longtems mains malheureux MARIA M N Mariamne MAZA Meffala MESSA MESSAL monftre mort n'eft NABAL OEDIP paffer Pandore penfe père peuple PHILOC TETE PHORBA pleurs Porte Quirinale préfent preffe PROCULUS PROMETHEE puiffant refpecte refte Rois Romains Rome SALOM SAMSON SCENE Seigneur Sénat Tarquin tems tendreffe Théâtre Throne TITUS Tragédie trépas trifte Tullie Tyrans Varus vengeance venger vertu veux yeux
Popularne fragmenty
Strona 105 - Présente, je vous fuis : -absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Strona 105 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Strona 20 - II reçoit cette force heureuse Qui l'élève au plus haut degré. Telle , dans des canaux pressée , Avec plus de force élancée, L'onde s'élève dans les airs; Et la règle , qui semble austère , N'est qu'un art plus certain de plaire, Inséparable des beaux vers.
Strona 105 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.