Friedrich Heinrich Jacobi's Werke [ed. by C.J.F. von Roth and F. Köppen.].G. Fleischer d. Jüng., 1819 |
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Strona xvi
... Gott . Führte die Selbstver- standigung mich dahin , daß alle Ueberzeugung von einem Gott , zu welchem man beten kann , - einen andern kennt dié Andacht nicht — Thor- heit sey ; so war ich flug geworden zu meinem Schaden , mein ...
... Gott . Führte die Selbstver- standigung mich dahin , daß alle Ueberzeugung von einem Gott , zu welchem man beten kann , - einen andern kennt dié Andacht nicht — Thor- heit sey ; so war ich flug geworden zu meinem Schaden , mein ...
Strona xx
... Gott , Freys heit , Unsterblichkeit , Einst — als die Briefe über Spinoza zum erstenmal erschienen war diese Meynung in Deutschland herrschend und hatte entschiedenes Gewicht ; man war über- zeugt , Leibniß habe den rechten Weg zur Er ...
... Gott , Freys heit , Unsterblichkeit , Einst — als die Briefe über Spinoza zum erstenmal erschienen war diese Meynung in Deutschland herrschend und hatte entschiedenes Gewicht ; man war über- zeugt , Leibniß habe den rechten Weg zur Er ...
Strona xxi
... Gott verhelfen . Ewig in der Natur bleiben und in ihr Gott entbehren und vergessen lernen , wollte ich nicht . So fprechen nun auch wohl Manche , deren Philosophie von der meinigen abweicht . Warum ? Ich berufe mich auf ein unabweiss ...
... Gott verhelfen . Ewig in der Natur bleiben und in ihr Gott entbehren und vergessen lernen , wollte ich nicht . So fprechen nun auch wohl Manche , deren Philosophie von der meinigen abweicht . Warum ? Ich berufe mich auf ein unabweiss ...
Strona xxiii
... Gott am ent- schiedensten zur Sprache gebracht . Sokrates , Christus , Fenelon , beweisen mir mit ihrer Per- sönlichkeit den Gott welchen ich anbete , er ist mir als Schöpfer dieser Persönlichkeiten erhab- ner , denn als XXIII.
... Gott am ent- schiedensten zur Sprache gebracht . Sokrates , Christus , Fenelon , beweisen mir mit ihrer Per- sönlichkeit den Gott welchen ich anbete , er ist mir als Schöpfer dieser Persönlichkeiten erhab- ner , denn als XXIII.
Strona xxiv
... Gott der Bibel ist erhabner , als der Gott , welcher nur ein Absolutes ist , wie sehr man dieses auch schmücke , und mit Flitterwerk der Phantasie umgebe . Darum fragt meine Philosophie : wer ist Gott ; nicht : was ist er ? Alles Was ...
... Gott der Bibel ist erhabner , als der Gott , welcher nur ein Absolutes ist , wie sehr man dieses auch schmücke , und mit Flitterwerk der Phantasie umgebe . Darum fragt meine Philosophie : wer ist Gott ; nicht : was ist er ? Alles Was ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Absicht Atheismus Ausdehnung Begierde Begriff bestimmt Bewußtseyn beyde Beylage bloß Briefe caufa chofe dabey Daseyn Denken dieſes dieß effe einzelnen Dinge Emilie endlich Entelechie Erkenntniß erste Ursache ersten eſt être ewigen Fatalismus finden Freund frey Freyheit Gedanken Gegenstand Geist Gespräche gewiß giebt Glauben Gott Grunde Handlung håtte heißt heit Hemsterhuis Herrn Mendelssohn irgend iſt Jacobi konnte Körper Kraft laſſen läßt Leffing Lehre Leibnit Lessing lich Liebe machen macht mais Mann Mannichfaltigkeit Materie Mecha Menschen Meynung möglich Monaden Moses Mendelssohn muß müſſen n'eft nåmlich Natur nifi nothwendig Pantheismus penſée Person Philosophie Pofth Princip Punct qu'il quae quatenus quod Sache schlechterdings Schrift Seele sehen seyn ſich ſie ſind ſondern Spinoza Spinozismus Spinozist Stelle Substanz System Theile Ueberzeugung unendliche unsere Ursache urtheilen Vermögen Vernunft verschiedenen Verstand viel vollkommen Vorstellung wahre Wahrheit wåre Weise weiß Welt Wesen Willen wirklich wiſſen wohl wollen Wort zwey
Popularne fragmenty
Strona 213 - Chaque monade, avec un corps particulier, fait une substance vivante. Ainsi il n'ya pas seulement de la vie partout, jointe aux membres ou organes; mais même il ya une infinité de degrés dans les monades, les unes dominant plus ou moins sur les autres.
Strona 236 - Nous avons une impuissance de prouver, invincible à tout le dogmatisme ; nous avons une idée de la vérité, invincible à tout le pyrrhonisme.
Strona 144 - L'une complettement inerte et paffive, nous offre le fimbole le plus parfait de l'inaction et du repos; l'autre vive et vivifiante fe l'aiiii des parties mortes de la nature pour les lier et les forcer de vivre , et d'agir par le principe même de leur propre inactivité**). Cette activité, cette énergie, ce principe de force dans un être, c'eft la faculté de pouvoir agir fur des ehofes qui fe trouvent à fa portée.
Strona 143 - Dans l'univers , en tant que physique, il n'ya pas plus de mouvement que de repos. Une partie en mouvement communique son mouvement à une autre partie en repos, et en reçoit le repos en retour. L'action et la réaction, quels qu'en soient les principes, sont égales.
Strona 143 - L'action et la réaction , quels qu'en soient les principes , sont égales. Ainsi , la somme de toute action , dans l'univers , est égale à celle de toute réaction. L'un détruit l'autre : ce qui nous mène au plus parfait repos, et à la vraie inertie. J'en conclus...
Strona 214 - ... les autres : mais quand la Monade a des organes si ajustés, que par leur moyen il ya du relief et du distingué dans les impressions qu'ils reçoivent et par conséquent dans les perceptions qui les représentent (comme par exemple, lorsque, par le moyen de la figure des humeurs des yeux, les rayons de la lumière sont concentrés...
Strona 138 - Les idées (c'est-à-dire, la pensée déterminée d'une certaine manière ) sont caractérisées par leur contenu; mais ce contenu, ou ce qui lui répond, ne produit pas la pensée. Le contenu de l'idée , ou ce qui lui répond , est ce que nous appelons l'objet de l'idée. Il ya donc dans chaque idée: 1°.
Strona 163 - En un mot, nous savons à mesure qtie nous faisons; voilà tout. Venons maintenant à votre argument. Vous soutenez qu'on ne peut aller de raison en raison à l'infini, mais qu'il faut un moment fixe, un commencement d'action de la part d'une cause première et pure. Je soutiens, au contraire, que de raison en raison, on ne peut aller qu'à l'infini, c'est-à-dire, qu'on ne peut supposer un commencement d'action absolu, sans supposer le rien produisant quelque chose. Cette vérité, qui, pour être...
Strona 141 - ... faire sauter ses mines sur lui-même. Décharge générale. « Vous rêvez creux ^ pauvre Spinoza! — Abrégeons; prenons une autre route, en commençant par des faits. Convenez-vous que toute action quelconque doit avoir une direction? » Je n'en conviens pas. Au contraire, il me paroît évident que toute action primitive ne peut avoir qu'elle-même pour objet, et ne sauroit par conséquent avoir de direction; ce qu'on appelle direction n'étant jamais que le résultat des effets de certains...
Strona 213 - Et, par conséquent, une monade en elle-même et dans le moment, ne saurait être discernée d'une autre que par les qualités et actions internes , lesquelles ne peuvent être autre chose que ses perceptions , c'est-àdire , les représentations du composé ou de ce qui est dehors dans le simple, et ses appétitions, c'est-à-dire ses tendances d'une perception à l'autre, qui sont les principes du changement.