Principes de littérature, Tom 3E. Luzac, fils, 1755 |
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Strona 2
... ses pseaumes étoit pénétré aussi réellement que David ? Enfin , fi nos acteurs , qui montrent sur le théatre des passions fi vives , les éprouvent fans le secours de l'art , & par la réalité de leur situation ? Si tout cela est feint ...
... ses pseaumes étoit pénétré aussi réellement que David ? Enfin , fi nos acteurs , qui montrent sur le théatre des passions fi vives , les éprouvent fans le secours de l'art , & par la réalité de leur situation ? Si tout cela est feint ...
Strona 28
... SES poéfies nous paroiffent difficiles pour plufieurs raifons : la prémière eft la gran- deur même des idées qu'elles renferment : la feconde , la hardieffe des tours : la troi- fième , la nouveauté des mots , qu'il fabri- que fouvent ...
... SES poéfies nous paroiffent difficiles pour plufieurs raifons : la prémière eft la gran- deur même des idées qu'elles renferment : la feconde , la hardieffe des tours : la troi- fième , la nouveauté des mots , qu'il fabri- que fouvent ...
Strona 68
... faciem , turbabun- tur : auferes fpiritum eorum & deficient , & in pulverem fuum revertentur . 30. Emittes fpiritum tuum & creabuntur , & renovabis faciem terræ . c'est à toute la nature . Ses expreffions an- noncent 68 COURS DE.
... faciem , turbabun- tur : auferes fpiritum eorum & deficient , & in pulverem fuum revertentur . 30. Emittes fpiritum tuum & creabuntur , & renovabis faciem terræ . c'est à toute la nature . Ses expreffions an- noncent 68 COURS DE.
Strona 69
Charles Batteux. c'est à toute la nature . Ses expreffions an- noncent par - tout une imagination étonnée , une ame ravie , emportée au- deffus d'elle- même . Dans ce qui refte le fentiment eft plus vif encore & moins confondu avec les ...
Charles Batteux. c'est à toute la nature . Ses expreffions an- noncent par - tout une imagination étonnée , une ame ravie , emportée au- deffus d'elle- même . Dans ce qui refte le fentiment eft plus vif encore & moins confondu avec les ...
Strona 102
... Ses peuples las de fes cruautés , fe foulevé- rent contre lui & lui rendirent une partie des maux qu'il leur avoit faits . ( * ) C'est celui de Phalaris Roi d'Agri- gente ville de Sicile , le plus cruel des ti- tans . Un nommé Pe- rille ...
... Ses peuples las de fes cruautés , fe foulevé- rent contre lui & lui rendirent une partie des maux qu'il leur avoit faits . ( * ) C'est celui de Phalaris Roi d'Agri- gente ville de Sicile , le plus cruel des ti- tans . Un nommé Pe- rille ...
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affez aïant aifé Ainfi Arts atque auffi auroit avoit beau befoin bon fens c'eft c'eſt c'étoit caufe chant chofes conféquent confifte COURS DE BELLES d'Horace Defpréaux Dieu Dieux difcours doit efpèces efprit enfuite épigramme eſpèce eſt étoient étoit facrés fans fatire fcène fe trouve feconde felon femble fens fentimens fentiment fera feroit fervir feul fignifie fimple foient foin foit fon caractère font fouvent fpectateurs ftyle fublime fuit fujet fur-tout genre gens goût grace Grecs hæc hiftorique Homère homme Horace ipfa jufqu'à jufte Juvenal l'art l'efprit l'Epigramme l'expreffion l'hiftoire l'imitation l'Ode laiffe malè mefures ment mife Mufes Mufique n'eft néceffaire odes ouvrages paffer paffions paroit penfée penſée perfonne philofophe Pindare plaifir poè Poéfie lyrique Poème didactique poète poétique préfente prefque prémier puiffe qu'un quæ quelquefois quid Quintilius quod raifon refte règles Sappho Satire Satyres Séjan tems théatre tibi verfification Virgile vuë XUAND دو وو
Popularne fragmenty
Strona 14 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.
Strona 115 - C'est où je serai des suivants De ce bon monarque de France, Qui fut le père des savants , Dans un siècle plein d'ignorance. Dès que j'approcherai de lui , II voudra que je lui raconte Tout ce que tu fais aujourd'hui Pour combler l'Espagne de honte.
Strona 115 - Pavie. Mais s'il demande à quel emploi Tu m'as occupé dans le monde, Et quel bien j'ai reçu de toi, Que veux-tu que je lui réponde ! "Rien," repondit sèchement11 le cardinal, qui voulait donner de lui-même, et n'aimait pas qu'on lui demandât.
Strona 132 - MA foi, c'est fait de moi ; car Isabeau M'a conjuré de lui faire un rondeau, Cela me met en une peine extrême. Quoi ! treize vers, huit en eau, cinq en ème ! Je lui ferais aussitôt un bateau.
Strona 130 - Vous n'écrivez que pour écrire, C'est pour vous un amusement ; Moi qui vous aime tendrement, Je n'écris que pour vous le dire.
Strona 18 - Là rendront tes guerriers tant de sortes de preuves, Et d'une telle ardeur pousseront leurs efforts, Que le sang étranger fera monter nos fleuves Au-dessus de leurs bords. Par cet exploit fatal en tous lieux va renaître La bonne opinion des courages françois; Et le monde croira, s'il doit avoir un maître, Qu'il faut que tu le sois. O que pour avoir part en si belle aventure Je me souhaiterais la fortune d'Éson, Qui, vieil comme je suis, revint contre nature En sa jeune saison...
Strona 99 - Distillé sur sa vie un venin dangereux? Ma muse, en l'attaquant, charitable et discrète, Sait de l'homme d'honneur distinguer le poète. Qu'on vante en lui la foi, l'honneur, la probité...
Strona 96 - Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
Strona 129 - L'épigramme peut être douce, polie, mordante, maligne, &c. pourvu qu'elle foit vive , c'eft a (Tez. Le madrigal an contraire a une pointe toujours douce, gracieufe , qui n'a de piquant que ce qu'il lui en faut pour n'être pas fade.
Strona 100 - En vain contre le Cid un ministre se ligue : Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue. L'Académie en corps a beau le censurer : Le public révolté s'obstine à l'admirer.