Divers avis de la Sainte sur la conduite que doivent tenir ceux qui sont arrivés CHAP. II. Différence qui se rencontre entre les contentements que l'on re- CHAP. III. D'une oraison que l'on appelle de recueillement surnaturel, qui précède l'oraison de quiétude. Avis important pour les personnes qui, dans l'oraison, prennent pour des ravissements ce qui n'est qu'un effet de leur fai blesse. CINQUIÈME DEMEURE. CHAPITRE PREMIER. De l'oraison d'union, de ses marques et de ses effets. CHAP. III. De l'oraison d'union. Que l'amour du prochain est une marque de CHAP. IV. La Sainte compare l'oraison d'union à un mariage spirituel de l'âme 611 616 Ibid. 622 625 631 Ibid. 636 642 646 650 CHAPITRE PREMIER. Des peines dont Dieu permet que soient accompagnées les faveurs qu'il fait aux âmes dans cette sixième demeure, et par quelle manière admirable il les fait cesser. Ibid. 655 CHAP. II. Des peines intérieures que l'âme souffre dans cette sixième demeure ; 659 665 CHAP. V. D'une espèce de ravissement que la Sainte nomme vol de l'esprit. CHAP. VI. Effets que les ravissements que la Sainte nomme vol d'esprit produisent dans l'âme. Des larmes. 671 675 CHAP. VII. Des peines que souffrent les âmes à qui Dieu a fait de grandes grâces. CHAP. IX. Des visions imaginaires ou représentatives. 680 686 690 CHAP. X. Des visions intellectuelles. Qu'elles font connaître que nous n'offen- 695 font souffrir de telles peines, par l'ardeur qu'elles ont d'être délivrées de la prison du corps, afin de jouir éternellement de la présence de Dieu, qu'elles paraissent être près de mourir et en courent même le hasard. SEPTIEME DEMEURE: 698 702 CHAPITRE PREMIER. Que lorsque Dieu fait entrer une âme dans cette septième demeure, comme dans un ciel où il vent contracter avec elle un mariage tout divin, il l'unit à lui d'une manière encore beaucoup plus admirable que dans l'oraison d'union. Que la Sainte Trinité se fait connaître clairement à elle. De quelle sorte il arrive que l'âme, quoique indivisible, est comme divisée, une partie d'elle-même jouissant d'un parfait repos, ainsi que la Madeleine, et l'autre étant comme Marthe, occupée des soins de cette vie. Ibid. CHAP. II. De l'accomplissement du mariage spirituel de l'âme avec Dieu, et de quelle sorte il parla à la personne dont la Sainte rapporte des choses extraordinaires. Différence qu'il y a entre ce que la Sainte a nommé les fiançailles de l'âme avec Dieu, et ce mariage spirituel. Que l'âme ne peut, dans cette septième demeure, être troublée par ce qui se passe dans les autres, ni par ses puissances et par son imagination. CHAP. III. Effets de la nouvelle vie de l'âme dans cette dernière demeure où Jésus-Christ vit en elle et où le démon n'ose entrer. Qu'elle n'y a plus ni sécheresses, ni travaux intérieurs, mais jouit d'une véritable paix dans une oraison si sublime. CHAP. IV. Pourquoi Dieu permet qu'une oraison si sublime ne continue pas toujours également. Quelque grand que soit le bonheur dont on jouit dans cette septième demeure, on ne peut s'assurer de ne point commettre de péchés. Raisons pourquoi Dieu le permet, et d'où vient aussi qu'il fait de si grandes grâces à quelques âmes. Que l'humilité et la pratique des vertus sont le fondement de cet édifice spirituel. Qu'il faut, à l'imitation de sainte Marthe et de sainte Madeleine, joindre la vie active à la contemplative. Qu'il ne se faut point engager dans des désirs qui vont audelà de nos forces. Conclusion de ce traité. FIN DU PREMIER VOLUME. 707 711 716 |