Eléments de littérature, Tom 1Verdière, 1825 - 587 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 43
Strona 10
... arts naissants , comme des sociétés naissantes , c'est leur grande simplicité . Homère , en comparaison de Virgile et de Ra- cine , était presque un sauvage . Encore tout près de la nature , les convenances qu'elle avait éta- blies 10 ...
... arts naissants , comme des sociétés naissantes , c'est leur grande simplicité . Homère , en comparaison de Virgile et de Ra- cine , était presque un sauvage . Encore tout près de la nature , les convenances qu'elle avait éta- blies 10 ...
Strona 11
... ; et comme les mœurs étaient simples , et que le naturel des hommes n'était pas encore altéré , le goût se réduisait au choix d'une nature intéressante . La politesse n'avait point appris aux héros d'Homère à se SUR LE GOUT 11.
... ; et comme les mœurs étaient simples , et que le naturel des hommes n'était pas encore altéré , le goût se réduisait au choix d'une nature intéressante . La politesse n'avait point appris aux héros d'Homère à se SUR LE GOUT 11.
Strona 12
... Homère à se quereller noblement , et la crudité des injures qu'Achille dit à Agamemnon n'était encore que de la franchise . Il n'était pas encore indigne d'une princesse de laver dans les eaux d'un fleuve les tuniques du roi son père ...
... Homère à se quereller noblement , et la crudité des injures qu'Achille dit à Agamemnon n'était encore que de la franchise . Il n'était pas encore indigne d'une princesse de laver dans les eaux d'un fleuve les tuniques du roi son père ...
Strona 13
... Homère a consultée dans cette révélation naïve des faiblesses du cœur humain . Telle est la diffé- rence des convenances inaltérables et des conve- nances passagères qui dépendent de l'opinion . L'analogie et la simplicité étaient le ...
... Homère a consultée dans cette révélation naïve des faiblesses du cœur humain . Telle est la diffé- rence des convenances inaltérables et des conve- nances passagères qui dépendent de l'opinion . L'analogie et la simplicité étaient le ...
Strona 15
... Homère ; enfin , dans aucun temps , le goût n'a été plus sain que , lorsque , en s'abreuvant aux sources de cette antiquité voisine encore de la nature , elle y a puisé le sentiment des convenances inaltérables et de ces vérités de ...
... Homère ; enfin , dans aucun temps , le goût n'a été plus sain que , lorsque , en s'abreuvant aux sources de cette antiquité voisine encore de la nature , elle y a puisé le sentiment des convenances inaltérables et de ces vérités de ...
Spis treści
1 | |
89 | |
106 | |
113 | |
116 | |
121 | |
146 | |
154 | |
320 | |
322 | |
347 | |
349 | |
353 | |
359 | |
365 | |
367 | |
171 | |
174 | |
183 | |
185 | |
191 | |
197 | |
198 | |
220 | |
227 | |
233 | |
243 | |
244 | |
257 | |
262 | |
268 | |
275 | |
278 | |
279 | |
289 | |
293 | |
295 | |
299 | |
369 | |
370 | |
380 | |
382 | |
383 | |
391 | |
394 | |
397 | |
431 | |
438 | |
445 | |
461 | |
469 | |
473 | |
477 | |
498 | |
506 | |
518 | |
521 | |
529 | |
535 | |
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Aristophane Aristote arts arts libéraux assez barreau beau beauté bienséances Boileau Bossuet Britannicus carac caractère cause chaleur chant charme choeur choses Cicéron Cinna cœur comédie comique Corneille couleurs critique Démosthène dessein Dieu dire doit donne Élém éloquence Eschine espèce esprits Euripide eût exemple fable force génie genre goût Grecs Henriade Homère homme idées imitation jamais juge juste l'action l'ame l'amplification l'Arioste l'art l'autre l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'expression l'homme l'Iliade l'imagination l'orateur l'oreille l'un laisse langage langue Littér Longin lui-même Ménandre ment Mérope mieux modèle mœurs Molière morale mouvements moyens musique nature naturel noble objet Orat orateurs parler parole passions pathétique peindre peint peinture pensée personnage peuple Phèdre plaisir Plaute Plutarque poème poésie poète qu'un quelquefois Quintilien raison ressemble ridicule rien s'il scène sens sensible sentiment serait seul siècle simple Sophocle souvent style sublime talent Térence théâtre tion tragédie vérité veut vice Virgile Voilà Voltaire vrai yeux
Popularne fragmenty
Strona 432 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Strona 221 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel . tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Strona 200 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Strona 214 - Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Strona 224 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Strona 221 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Strona 436 - Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible; Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta famille; Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta fille.
Strona 112 - Rome entière noyée au sang de ses enfants : Les uns assassinés dans les places publiques, Les autres dans le sein de leurs dieux domestiques; Le méchant par le prix au crime encouragé; Le mari par sa femme en son lit égorgé; Le fils tout dégouttant du meurtre de son père. Et sa tête à la main demandant son salaire, Sans pouvoir exprimer par tant d'horribles traits Qu'un crayon imparfait de leur sanglante paix.
Strona 224 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Strona 571 - Toutes ces critiques sont le partage de quatre ou cinq petits auteurs infortunés qui n'ont jamais pu par eux-mêmes exciter la curiosité du public. Ils attendent toujours l'occasion de quelque ouvrage qui réussisse, pour l'attaquer : non point par jalousie , car sur quel fondement seraient-ils jaloux?