Eléments de littérature, Tom 1Verdière, 1825 - 587 |
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Strona 211
... Eschine pour quelles vertus je prétends qu'on me décerne des couronnes . Moi , sans hésiter , je réponds : Parce qu'au milieu de nos magistrats et de nos orateurs , que Philippe et Alexandre ont univer- sellement corrompus , à commencer ...
... Eschine pour quelles vertus je prétends qu'on me décerne des couronnes . Moi , sans hésiter , je réponds : Parce qu'au milieu de nos magistrats et de nos orateurs , que Philippe et Alexandre ont univer- sellement corrompus , à commencer ...
Strona 226
... Eschine ; et vous , source du juste discernement , lumières naturelles , lumières acquises , par où nous démê- lons le bien d'avec le mal , je vous en atteste : j'ai de mon mieux secouru l'Etat , et de mon mieux plaidé sa cause . » Ce n ...
... Eschine ; et vous , source du juste discernement , lumières naturelles , lumières acquises , par où nous démê- lons le bien d'avec le mal , je vous en atteste : j'ai de mon mieux secouru l'Etat , et de mon mieux plaidé sa cause . » Ce n ...
Strona 263
... Eschine , qu'on vous répute ? pour l'ennemi de la république , ou pour le mien ? » soit qu'il inter- roge ses juges et qu'il leur demande à eux - mêmes : « Qui empêcha que l'Hellespont ne tombât sous une domination étrangère ? Vous ...
... Eschine , qu'on vous répute ? pour l'ennemi de la république , ou pour le mien ? » soit qu'il inter- roge ses juges et qu'il leur demande à eux - mêmes : « Qui empêcha que l'Hellespont ne tombât sous une domination étrangère ? Vous ...
Strona 433
... Eschine , quand le héraut criait : Qui veut conseiller le peuple ? et non pas , Qui veut blá- mer le passé ? qui veut répondre de l'avenir ? .... Attaquez - moi , si vous voulez , sur les avis que je donnai ; mais abstenez - vous de me ...
... Eschine , quand le héraut criait : Qui veut conseiller le peuple ? et non pas , Qui veut blá- mer le passé ? qui veut répondre de l'avenir ? .... Attaquez - moi , si vous voulez , sur les avis que je donnai ; mais abstenez - vous de me ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Aristophane Aristote arts arts libéraux assez barreau beau beauté bienséances Boileau Bossuet Britannicus carac caractère cause chaleur chant charme choeur choses Cicéron Cinna cœur comédie comique Corneille couleurs critique Démosthène dessein Dieu dire doit donne Élém éloquence Eschine espèce esprits Euripide eût exemple fable force génie genre goût Grecs Henriade Homère homme idées imitation jamais juge juste l'action l'ame l'amplification l'Arioste l'art l'autre l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'expression l'homme l'Iliade l'imagination l'orateur l'oreille l'un laisse langage langue Littér Longin lui-même Ménandre ment Mérope mieux modèle mœurs Molière morale mouvements moyens musique nature naturel noble objet Orat orateurs parler parole passions pathétique peindre peint peinture pensée personnage peuple Phèdre plaisir Plaute Plutarque poème poésie poète qu'un quelquefois Quintilien raison ressemble ridicule rien s'il scène sens sensible sentiment serait seul siècle simple Sophocle souvent style sublime talent Térence théâtre tion tragédie vérité veut vice Virgile Voilà Voltaire vrai yeux
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Strona 432 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Strona 221 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux; Le ciel . tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Strona 200 - J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Strona 214 - Hélas ! ils se voyaient avec pleine licence ; Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Strona 224 - Quant aux volontés souveraines De celui qui fait tout, et rien qu'avec dessein, Qui les sait, que lui seul ? Comment lire en son sein? Aurait-il imprimé sur le front des étoiles Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles?
Strona 221 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Strona 436 - Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible; Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta famille; Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta fille.
Strona 112 - Rome entière noyée au sang de ses enfants : Les uns assassinés dans les places publiques, Les autres dans le sein de leurs dieux domestiques; Le méchant par le prix au crime encouragé; Le mari par sa femme en son lit égorgé; Le fils tout dégouttant du meurtre de son père. Et sa tête à la main demandant son salaire, Sans pouvoir exprimer par tant d'horribles traits Qu'un crayon imparfait de leur sanglante paix.
Strona 224 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Strona 571 - Toutes ces critiques sont le partage de quatre ou cinq petits auteurs infortunés qui n'ont jamais pu par eux-mêmes exciter la curiosité du public. Ils attendent toujours l'occasion de quelque ouvrage qui réussisse, pour l'attaquer : non point par jalousie , car sur quel fondement seraient-ils jaloux?