Obrazy na stronie
PDF
ePub

ensued with Freiburg, which withdrew from its alliance with Geneva, 14 May (Herminjard, iii, No. 449, n. 3), and turned to the Bishop. Allying himself, 23 June (ibid. No. 473, n. 8), with the Duke of Savoy, on 30 July [No. 256] the Bishop attacked the city (ibid. No. 474); and thus, though [No. 257] the Reformed were still in a minority (ibid. No. 479) and the Bishop was not yet repudiated, on 1 Oct. it was declared that, 'le Siège de la Justice épiscopale de ceste cité, et en ycelle, a vacqué et vacque à present' (ibid. No. 481, n. 5); for he had removed it to Gex, and all was in train for the breach next year.

By the opening of 1535 the parishes of the city, through the demolition, 23 Aug. 1534, of two suburbs with their churches of St. Victor and St. Leger in defence against Duke and Bishop, had been reduced to five-St. Pierre (the Cathedral), Notre-Dame la Neuve (l'Auditoire), la Madeleine, St. Germain, and St. Gervais: though the five convents remained as yet-the Franciscans, the Nuns of St. Clare, the Benedictines, the Dominicans, and the Augustinians (ibid. No. 522, nn. 6, 7). A frontal attack soon followed on the Romanist majority; for at, 23 April, [No. 258] the request of the Warden of the Franciscan convent (Mémoires et Documents de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Genève, xxii. 209; Jeanne de Jussie, 118) where, since 2 April, Farel and Viret had been lodged, and by, 26 May, [No. 259] decree of the Two Hundred (Herminjard, iii, No. 509, n. 9: Mémoires, &c., 210) there took place, 30 May-24 June, [No. 260] the Second Disputation of Geneva (Chronique de Roset, iii. 35, ap. Mémoires, &c., 208 sq.). By default of the party in office, Farel and Viret, for the minority, carried the day and [No. 261] Farel proceeded to complete his victory. On 23 July he seized the church of St. Mary Magdalen (Mémoires, &c., 213); on 8 Aug. he preached at the Cathedral, and imagebreaking became general (Jeanne de Jussie, 150, 263 sq.); on 10 Aug. he went to the Council and in a 'great speech' (Mémoires, &c., 213), the drift of which appears to be preserved in his account of the Disputation (ibid. 239), demanded and obtained, 10 and 13 Aug., [No. 262] the provisional abolition of the Mass (ibid. 213 sqq.). On the roth inventories of Convent goods were ordered (ibid. 215), preparatory to the dispersal of the Religious; and, 12 Aug., [No. 263] Religious and Seculars were summoned to accept the situation (ibid. 215). But they preferred to leave the city (cf. Fromment, Actes et Gestes, c. xxxvii) most of them before, 29 Aug., [No. 264] the departure of the Nuns of St. Clare (Jeanne de Jussie, 207).

Events would have moved quicker but for the danger from Bishop and Duke. At last, 10 Aug., [No. 265] Geneva reported its de. solate condition to Bern (Herminjard, iii, No. 522). For a time Bern could do little. But she was suddenly set free to act by, I Nov., the death of Francesco Sforza, Duke of Milan, and the consequent revival by Francis I of his somewhat fanciful claims on the Duchy. These brought Francis into collision (winter of 1535-6)

with the now Imperialist1 Duke of Savoy, and led, 24 March 1536, to the French occupation of Turin: and when, to defend his capital, the Duke drew off from Geneva, Jan. 1536, the way was open for Bern, in pursuance of its manifesto of 29 Dec. 1535 (ibid. No. 535, n. 4) to occupy Geneva, 2 Feb.; to overrun the Pays de Vaud, Feb.; to release the prisoner of Chillon, 29 March; and to set up the Reformation in the Vaud, 19 Oct., and at Lausanne, 24 Dec. (Ruchat, iv. 389). Of course, Bern asked its price, 5 Feb., the reversion of the Savoyard suzerainty: but it was refused. 'We have endured war against both the Duke of Savoy and the Bishops for seventeen to twenty years... not because we had the intention of making the city subject to any power, but because we wished the poor city which had warred and suffered so much to have its liberty' (Registres du Conseil, xxix, fol. 12: quoted in Am. Hist. Review, viii. 228 sq.). Liberty secured, on 21 May [No. 266] the citizens swore to the Reformation (Calvini Opera, xxi [=C. R. xlix] 201), and by treaty of 7 Aug. [No. 267] Bern acknowledged the inde. pendence of Geneva (Spon, Histoire de Genève [Preuves, lxi] iii. 359 and for comments, Am. Hist. Rev. viii. 229, n. 2).

No. 247. The Placards, 9 June 1532.

(a) From the Chronique de Roset, ii, c. 67.-Des placards impriméz du grand pardon général de Jésus-Christ, sur l'arrachement desquels y eut dispute entre les prestres et les Luthériens. Un des chanoines [Pierre Werly de Fribourg] y

fut blessé au bras.

(b) From Le Levain du Calvinisme, 46 sq.-Au mois de Juin un Dimanche [le 9] matin certain nombre de mauvais garçons planterent grands placards en impression par toutes les portes des Eglises de Geneve, esquels estoient contenus tous les principaux poincts de la Secte perverse Lutherienne, mais des bons Chrestiens furent tantost arrachez. Apres matines des Chanoines, un d'iceux Messieurs Chanoines, comme hardy et bon Catholique, devant ces Heretiques vint arracher le placard qu'ils avoient planté à l'Eglise de sainct Pierre, dont ces meschans furent indignés, et un d'eux tira son espee et le frappa au bras, tellement que peu se faillit qu'il ne perdit tout son sang, et en tint longuement la couche et n'y esperoit on point de vie, dont toutes gens de bien le plaignoient neantmoins par l'aide de Dieu pour l'honneur duquel il avoit exposé sa vie, il en guerit par le bon gouvernement

' He had married, 1531, Beatrice of Portugal, sister to Isabella, the wife of the Emperor Charles V.

des Chirurgiens. Le Mardy apres qui estoit Feste sainct Bernabé fut faict une voix de trompette que plus nul ne mist tels placards, sur peine de trois tours de corde, et d'estre banny de la ville pour un an.

No. 248. The Council disclaims sympathy with Lutheranism', June and July 1532.

1

(a) From its decrees: (a) 29 June: Defendatur magistro scolarum quod non praedicet ulterius. . . nisi habita licentia a Rev. D. Vicario aut Dominis. (B) 30 June: De praedicatione Evangelii. Resolutum quod pro praesenti differat magister scolarum legere Evangelium. Et requiratur Dominus Vicarius quod iubeat per singulas parochiales [ecclesias] et singulos conventus evangelium et epistolam diei ad veritatem nullis mixtis fabellis nec aliis inventionibus humanis, praedicari. Et vivamus ut fratres unanimes, nullis inventionibus adiunctis. (b) From the report [6 July] of its deputation to Freiburg.– Le Jeudi [4 July], fûmes apelés au Consel, là oùd nous esposâmes nostre charge, en leur remontrant les peines, travaulx que une povre ville de Genève avoit anduré dempuis xii ans an sà et plus, et de la détencion des vyvres dernièremant, et comant ung povre peuple de Genève estoit fo[u]lé; et que Leurs Excélances usient [eussent] pitié de nous: et que ilz estoit nous pères, nous protecteurs, que nous avoënt protégés, défandus et gardé jusques au présant. . . et . . . que, to[u]chant la lutérerie, voliés vivre et morir comant nous prédécéseurs. . . .

3

(c) From a minute of their reply to the Papal Nuncio, 12 July.-Litterae Legati ad Sabaudos fuerunt lectae, et respondetur nuncio verbo tenus, nos velle Christiane et secundum Deum et legem Christi vivere.

No. 249. Antony Fromment arrives and preaches in Geneva, 1532-3.

(a) From his Actes et gestes, 3 Nov.-Il est venu ung homme en ceste ville qui veult enseigner à lire et à escripre en Françoys dans ung mois à tous ceulx et celles qui vouldront venir,

Claude Bigotier, who had embraced the Reformation. He retired, and was with Farel at Morat, 13 Dec. 1532 (Herminjard, ii, No. 399). 2 sc. of Freiburg.

In Jan. 1532 the Duke of Savoy had forbidden his subjects to bring their goods to market in Geneva.

* Cf. Herminjard, ii, No. 383, from Chambéry.

petits et grands hommes et femmes, mêsme à ceulx qui jamais ne furent en escolle. Et si, dans le dit mois, ne scavent pas lire et escripre, [il] ne demande rien de sa peine. Lequel trouveront en la grande salle de Boytet près du Mollard à l'enseigne de la Croix-d'Or. Et s'y guérit beaucoup de malladies pour neant.

(b) From Le Levain du Calvinisme, 52 sq.-Le lendemain premier jour de l'an mil cinq cens trente deux, apres les sermons ordinaires de Sainct Pierre, les Lutheriens menerent leur Idole pour le faire prescher à la grande place du Molard. M. le Vicaire fut adverty, et incontinent manda MM. les Syndics pour les empescher: et envoyerent M. le Lieutenant leur commander sur grosse peine, de se retirer, et leur idole : à quoy n'ozerent contredire, car ils ne se sentoient encore assez forts. A celle heure MM. les Gouverneurs tindrent conseil pour y remedier, et arresterent que le lendemain ils tiendroient conseil general.

Le lendemain apres avoir proposé devant les Conseillers la pertinacité de ces Heretiques, fut determiné que nullement ne vouloient ceste Secte regner en leur Cité, et qu'absolument vouloient qu'elle fust abolie, et extirpee, et qu'il n'en fust plus prins de question entre le peuple. Et sur ce fut faict un Edict de par MM. les Gouverneurs et Conseillers, que plus prescheur quelconque n'eust à prescher en la cité publiquement ny secretement, sans la licence de Monseigneur de Geneve, ou de son Vicaire, excepté l'ordinaire des Jacobins ', et Cordeliers 2, et quiconque celeroit en sa maison et voudroit favoriser, à ceste Heresie, seroit mis à grosse amande: et fut ordonné grosse punition à toutes personnes qui mangeroient chair le Vendredy, et autre temps deffendu de l'Eglise et par ce moyen fut un peu appaisée la commotion du peuple.

No. 250. The Council seeks to temporize,
30 March 1533.

From Reg. du Conseil du 30 Mars 1533-Que [nos] citoyens, bourgeois et habitans . . . doibvent dès ici vivre.. ainsin que avons vescu par le passé, sans faire novellité quelconque, ny de parolle, ny de faict, jusques à ce que généralement soit ordonné de vivre autrement.-Item, que nul ne soyt ousé, ni

1 i. e. Dominicans. Cf. Ducange, s. v. 'Iacobini'.

2 i. e. Franciscans. Cf. ibid. s. v. Cordelita'. Jeanne de Jussie and her sisters were Cordelières.

si hardy, parler contre les saincts Sacrements de l'Esglise; mais en ceste chose soyt chascung laissé en sa liberté, selon sa conscience, sans soy reproucher l'ung à l'aultre, soit ecclésiastique ou laïc, chose que soyt.—Item, que nul ne soyt . . . si hardy de prescher sans licence du supérieur et de MM. les Sindicques et Conseil, et que le Prescheur ne doibge dire chose que ne soit prouvée par la Ste. Escripture. . . .

No. 251. Bern demands the arrest of Furbiti, 17-24 Dec. 1533.

(a) From the letter of Bern to Geneva, 17 Dec. 1533.-De quoy ne vous estes contentés, ains, comme maistre Alexandre 1 et Froment, nous serviteurs, nous ont donné entendre et faict le plaintiff ces jours passés, avés donné lieuz à ung Jacobin 2 de prescher en vostre ville, lequelz ne prêche que menteries, erreurs, blasphèmes contre Dieuz, la foy et nous, blessant nostre honneur, nous apellant Juiffs, Turcs et chiens. Ce non obstant, avés les dicts Alexandre et Froment, pource que l'ont reprins publicquement, l'ung mis en prison, et puis après banny, soub peine de mort, de jamaix soy trouver en vostre ville, et l'aultre, cherché de mayson en mayson: laquelle chouse nous touche cy près, que ne le pouvons ne voulons souffrir.

Et à ceste cause, en vigeur de la bourgeoysie qu'avés avecq nous, vous instantement admonestons, que le dict caffard, lequelz présentement est en vostre cité, vuilliés sans nulle faulte arrester, détenir et maintenir, et nous establir journée juridicque, sur laquelle envoyerons nous ambassadeurs, pour secourir premièrement l'honneur de Dieuz, et après le nostre, puis que [il] s'est vanté et ouffert publicquement de maintenir cella qu'ilz az presché. . . . Aultrement, sy laissés aller le dict Jacobin, nous nous en recourrons sur vous, et vous prendront en cause, et aurons action contre vous, au lieuz du dict caffard. Pour autant advisé à vostre affayre. Et sur cestuy article desmandons aussy vostre responce par présent pourteur, [pour] icelle avoir receue, nous sçavoir puis après conduisre et entretenir.

1 Alexander du Moulin, an ex-Dominican, of Rouen, and now Reformed. 2 Furbiti.

18 sc. on 2 December, Tuesday after Advent Sunday.

See Murray, New English Dictionary, s. v. ‘Cafard', a word of doubtful origin, meaning a hypocrite. Commonly used to mean a friar; but not necessarily with the further implication.

« PoprzedniaDalej »