Œuvres complètes, avec des examens sur chaque pièce, précédées de sa vie et de son éloge, par Laharpe, Tom 21829 |
Z wnętrza książki
Wyniki 1 - 5 z 46
Strona 20
... triste Antiochus Se compta le premier au nombre des vaincus . Bientôt de mon malheur interprète sévère Votre bouche à la mienne ordonna de se taire . Je disputai long - temps ; je fis parler mes yeux : Mes pleurs et mes soupirs vous ...
... triste Antiochus Se compta le premier au nombre des vaincus . Bientôt de mon malheur interprète sévère Votre bouche à la mienne ordonna de se taire . Je disputai long - temps ; je fis parler mes yeux : Mes pleurs et mes soupirs vous ...
Strona 31
... triste main eut fermé sa paupière , De mon aimable erreur je fus désabusé : Je sentis le fardeau qui m'étoit imposé ; Je connus que bientôt , loin d'être à ce que j'aime , Il falloit , cher Paulin , renoncer à moi - même ; Et que le ...
... triste main eut fermé sa paupière , De mon aimable erreur je fus désabusé : Je sentis le fardeau qui m'étoit imposé ; Je connus que bientôt , loin d'être à ce que j'aime , Il falloit , cher Paulin , renoncer à moi - même ; Et que le ...
Strona 32
... triste Bérénice : Mais par où commencer ? Vingt fois , depuis huit jours , J'ai voulu devant elle en ouvrir le discours ; Et , dès le premier mot , ma langue embarrassée Dans ma bouche vingt fois a demeuré glacée . J'espérois que du ...
... triste Bérénice : Mais par où commencer ? Vingt fois , depuis huit jours , J'ai voulu devant elle en ouvrir le discours ; Et , dès le premier mot , ma langue embarrassée Dans ma bouche vingt fois a demeuré glacée . J'espérois que du ...
Strona 39
... triste jour , Plus je vois qu'on me peut reprocher trop d'amour . Mais tu nous entendois . Il ne faut rien me taire ; Parle . N'ai - je rien dit qui lui puisse déplaire ? Que sais - je ? j'ai peut - être avec trop de chaleur Rabaissé ...
... triste jour , Plus je vois qu'on me peut reprocher trop d'amour . Mais tu nous entendois . Il ne faut rien me taire ; Parle . N'ai - je rien dit qui lui puisse déplaire ? Que sais - je ? j'ai peut - être avec trop de chaleur Rabaissé ...
Strona 47
... triste emploi De recueillir des pleurs qui ne sont pas pour moi . ARSACE . Quoi ! ne vous plairez - vous qu'à vous gêner sans cesse ? Jamais dans un grand cœur vit - on plus de foiblesse ? · Ouvrez les yeux , seigneur , et songeons ...
... triste emploi De recueillir des pleurs qui ne sont pas pour moi . ARSACE . Quoi ! ne vous plairez - vous qu'à vous gêner sans cesse ? Jamais dans un grand cœur vit - on plus de foiblesse ? · Ouvrez les yeux , seigneur , et songeons ...
Inne wydania - Wyświetl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
ACHILLE ACOMAT ÆGINE AGAMEMNON aime Allez amant amour Amurat ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARICIE ARSACE assez ATALIDE avoit Bajazet BÉRÉNICE cacher Calchas cher chercher CLYTEMNESTRE cœur connois courroux crime cruel dessein dieux dis-je discours douleur enfin ennemi époux ÉRIPHILE étoit Euripide expirer fatal fille fils flamme foible foiblesse funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas héros heureux HIPPOLYTE hymen IPHIGÉNIE ISMÈNE j'ai jamais jour juste l'aime l'amour l'autel l'ingrat laisse larmes Lesbos lieux loin long-temps m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort mortels mourir Mycène OENONE Oh ciel OSMIN parler PAULIN pensée père perfide péril peut-être Pharnace Phèdre PHÉNICE PHOEDIME pleurs poëte prince prompt puis-je qu'un Racine reine rien rival Romains Rome ROXANE sais sang SCÈNE PREMIÈRE secret seigneur seul soins sort soupirs sultan tendresse THÉRAMÈNE Thésée Titus tragédie tremble trépas Trézène triste trouble ULYSSE vais venger veut veux vœux vois vous-même XIPHARÈS yeux ZAÏRE ZATIME
Popularne fragmenty
Strona 418 - Fuyons dans la Nuit infernale. Mais que dis-je ? Mon Père y tient l'Urne fatale. Le Sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains Minos juge aux Enfers tous les pâles Humains. Ah ! combien frémira son Ombre épouvantée, Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible...
Strona 8 - Je les conjure d'avoir assez bonne opinion d'eux-mêmes pour ne pas croire qu'une pièce qui les touche et qui leur donne / du plaisir puisse être absolument contre les règles. La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.
Strona 214 - Je sais tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me vient traverser, Sans reculer plus loin l'effet de ma parole, Je vous rends dans trois mois au pied du Capitole. Doutez-vous que l'Euxin ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y vient finir son cours?
Strona 88 - L'éloignement des pays répare en quelque sorte la trop grande proximité des temps : car le peuple ne met guère de différence entre ce qui est, si j'ose ainsi parler, à mille ans de lui, et ce qui en est à mille lieues.
Strona 373 - Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Strona 215 - S'ils suivent au combat des brigands qui les vengent, De quelle noble ardeur pensez-vous qu'ils se rangent Sous les drapeaux d'un roi longtemps victorieux., Qui voit jusqu'à Cyrus remonter ses aïeux? Que dis-je? En quel état croyez-vous la surprendre? Vide de légions qui la puissent défendre, Tandis que tout s'occupe à me persécuter, Leurs femmes, leurs enfants pourront-ils m'arrêter?
Strona 399 - OEnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Strona 430 - Le ciel, dit-il , m'arrache une innocente vie. « Prends soin après ma mort de la triste Aricie. « Cher ami , si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d'un fils faussement accusé, « Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, « Dis-lui qu'avec douceur il traite sa Captive;
Strona 372 - Ariane, ma sœur ! de quel amour blessée \ Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! \ ŒNONE Que faites-vous, madame?
Strona 61 - M'ordonnât elle-même une absence éternelle. Moi-même j'ai voulu vous entendre en ce lieu. Jen'écoute plus rien:et, pour jamais, adieu... Pour jamais ! Ah, seigneur! songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime? Dans un mois, dans un an , comment souffrirons-nous, Seigneur , que tant de mers me séparent de .vous ; Que le jour recommence et que le jour finisse -Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que de tout le jour je puisse voir Titus...