Essais: avec les notes de tous les commentateurs, Tom 4

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Lefèvre, 1826

Z wnętrza książki

Kluczowe wyrazy i wyrażenia

Popularne fragmenty

Strona 187 - Regardez un peu comment s'en porte nostre expérience : il n'est personne, s'il s'escoute, qui ne descouvre en soy une forme sienne, une forme maistresse , qui luicte contre l'institution, et contre la tempeste des passions qui luy sont contraires.
Strona 149 - De se tenir chancelant et mestis, de tenir son affection immobile et sans inclination aus troubles de son pays et en une division publique, je ne le trouve ny beau ny honneste.
Strona 487 - ... souvent à corriger et y mettre un nouveau sens, pour avoir perdu le premier, qui valloit mieux.
Strona 528 - ... en estre informé. Tant ya qu'en ces mémoires, si on y regarde, on trouvera que j'ay tout dict, ou tout designé. Ce que je ne puis exprimer, je le montre au doigt : Verum animo satis hœc vestigia parva sagaci Sunt, per quœ possts cognoscere cetera tute".
Strona 174 - Je peints le passage : non un passage d'aage en autre, ou, comme dict le peuple, de sept en sept ans, mais de jour en jour, de minute en minute. Il faut accommoder mon histoire à l'heure.
Strona 174 - Je propose une vie basse et sans lustre, c'est tout un. On attache aussi bien toute la philosophie morale à une vie populaire et privée que à une vie de plus riche estoffe ; chaque homme porte la forme entière de l'humaine condition.
Strona 452 - Mais il y devroit avoir quelque coërction des loix contre les escrivains ineptes et inutiles, comme il ya contre les vagabons et fainéants ; on banniroit des mains de nostre peuple et moy et cent autres.
Strona 146 - Desquelles qualitez qui osteroit les semences en l'homme destruiroit les fondamentalles conditions de nostre vie. De mesme, en toute police, il ya des offices necessaires non seulement abjects, mais encore vitieux : les vices y trouvent leur rang et s'employent à la cousture de nostre liaison, comme les venins à la conservation de nostre santé.
Strona 252 - Je hay un esprit hargneux et triste qui glisse par dessus les plaisirs de sa vie et s'empoigne et paiSt aux malheurs; comme les mouches, qui ne peuvent tenir contre un corps bien poly et bien lissé, et s'attachent et reposent aux lieux scabreux et raboteux; et comme les vantouses qui ne hument et appetent que le mauvais sang9.
Strona 496 - Les princes /// me donnent prou s'ils ne m'ostent rien, et // me font assez de bien quand ils ne me font point de mal; c'est tout ce que j'en demande.

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