Iphigénie: tragédie en cinq actes et en versH. Gautier., 1890 - 213 |
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Strona 14
... XVIIe siècle une idée fort juste des qualités et des devoirs de l'historien quelques bénédictins savaient seuls ce qu'il fallait de science , de critique et de détache- ment pour en bien faire le métier . Pour raconter la vie du roi ...
... XVIIe siècle une idée fort juste des qualités et des devoirs de l'historien quelques bénédictins savaient seuls ce qu'il fallait de science , de critique et de détache- ment pour en bien faire le métier . Pour raconter la vie du roi ...
Strona 16
... xviie siècle . Hors ces poésies pieuses où la foi de Racine autorisait son génie , il ne manqua guère à la promesse qu'il s'était faite de renoncer à la poésie . Un prologue d'opéra , une Idylle à la paix , quelques épigrammes mordantes ...
... xviie siècle . Hors ces poésies pieuses où la foi de Racine autorisait son génie , il ne manqua guère à la promesse qu'il s'était faite de renoncer à la poésie . Un prologue d'opéra , une Idylle à la paix , quelques épigrammes mordantes ...
Strona 25
... XVIIIe siècle , au moment où Vol- taire , sous l'influence du théâtre anglais , essayait de mettre plus de mouvement dans notre tragédie , la pièce de Racine parut un peu froide , et l'on regretta de n'y pas trouver plu d'animation ...
... XVIIIe siècle , au moment où Vol- taire , sous l'influence du théâtre anglais , essayait de mettre plus de mouvement dans notre tragédie , la pièce de Racine parut un peu froide , et l'on regretta de n'y pas trouver plu d'animation ...
Strona 31
... XVIIe siècle . L'effet , c'est l'acte , l'accomplissement , la réalité , par opposition à la parole ou l'apparence . Corneille ( Pulchérie , 173 ) : Il m'aime en apparence , en effet il m'amuse .. Cf. Marty Laveaux , Lexique de ...
... XVIIe siècle . L'effet , c'est l'acte , l'accomplissement , la réalité , par opposition à la parole ou l'apparence . Corneille ( Pulchérie , 173 ) : Il m'aime en apparence , en effet il m'amuse .. Cf. Marty Laveaux , Lexique de ...
Strona 32
... XVIIe siècle pour désigner l'inver tion poétique c'est le verbe qui correspond au substantif fiction . 4. Racine , comme tous ses contemporains , ne fait point de différen entre les dieux grecs et les dieux romains : il attribue ici à ...
... XVIIe siècle pour désigner l'inver tion poétique c'est le verbe qui correspond au substantif fiction . 4. Racine , comme tous ses contemporains , ne fait point de différen entre les dieux grecs et les dieux romains : il attribue ici à ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Achille ÆGINE Agamemnon Alceste amant amour Andromaque Arcas Argos Athalie Aulide Aulis avoit Bajazet Bérénice Boileau Bouhours Britannicus Bruyère Calchas camp ciel CLYTEMNESTRE cœur Corneille cruel d'Achille d'Agamemnon d'Euripide d'Hélène d'Iphigénie Dieux dire DORIS douleur employé Énéide époux ÉRIPHILE Euripide EURYBATE fille fréquent funeste fureur gloire Grecs heureux Horace hymen Iliade immoler Iphigénie j'ai Jean Racine l'adjectif l'armée l'autel l'infinitif laisser latin Lesbos locutions Louis Racine M. P. Mesnard Madame Malherbe malheur Ménélas mère Mme de Sévigné Molière mort Mycène oracle parle participe père Phèdre pièce pleurs poète Port-Royal princesse pronom proposition prose Racine rois Rotrou sacrifice sang SCÈNE Seigneur sens sentiments seul sort souvent substantif sujet Thébaïde tragédie triste Troie Troyens Ulysse Vaugelas Vaugelas Rem verbe Virgile XVIIe siècle yeux Αγ γὰρ δὲ ἐγὼ εἰς ἐν καὶ μὴ μοι οὐ πρὸς σὴν τε τὴν τί τὸ ὡς
Popularne fragmenty
Strona 130 - Le ciel, le juste ciel, par le meurtre honoré, Du sang de l'innocence est-il donc altéré? Si du crime d'Hélène on punit sa famille, Faites chercher à Sparte Hermione, sa fille : Laissez à Ménélas racheter d'un tel prix Sa coupable moitié, dont il est trop épris.
Strona 149 - D'un œil aussi content, d'un cœur aussi soumis Que j'acceptais l'époux que vous m'aviez promis, Je saurai, s'il le faut, victime obéissante, Tendre au fer de Calchas une tête innocente, Et, respectant le coup par vous-même ordonné, Vous rendre tout le sang que vous m'avez donné.
Strona 154 - Vous ne démentez point une race funeste ; Oui , vous êtes le sang d'Atrée et de Thyeste : Bourreau de votre fille, il ne vous reste enfin Que d'en faire à sa mère un horrible festin. Barbare!
Strona 77 - Je puis choisir, dit-on, ou beaucoup d'ans sans gloire, Ou peu de jours suivis d'une longue mémoire. Mais, puisqu'il faut enfin que j'arrive au tombeau, Voudrais-je, de la terre inutile fardeau, Trop avare d'un sang reçu d'une déesse, Attendre chez mon père une obscure vieillesse ; Et, toujours de la gloire évitant le sentier, Ne laisser aucun nom, et mourir tout entier?
Strona 94 - Ariane, ma sœur ! de quel amour blessée \ Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! \ ŒNONE Que faites-vous, madame?
Strona 151 - Fille d'Agamemnon, c'est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de père. C'est moi qui, si long-temps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux ; Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Strona 149 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Strona 176 - Je meurs dans cet espoir, satisfaite et tranquille. Si je n'ai pas vécu la compagne d'Achille, J'espère que du moins un heureux avenir A vos faits immortels joindra mon souvenir; Et qu'un jour mon trépas, source de votre gloire, Ouvrira le récit d'une si belle histoire.
Strona 151 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux; Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses. Hélas! avec plaisir je me faisais conter Tous les noms des pays que vous allez dompter. Et déjà, d'Ilion présageant la conquête, D'un triomphe si beau je préparais la fête.
Strona 166 - D'Iphigénie encor je respecte le père. Peut-être, sans ce nom, le chef de tant de rois M'aurait osé braver pour la dernière fois. Je ne dis plus qu'un mot; c'est à vous de m'entendre. J'ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jusqu'au cœur que vous voulez percer, Voilà par quels chemins vos coups doivent passer.