Oeuvres choisies de Marmontel ...E. Ledoux, 1825 |
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... souvent le travail qui fait le prix de la matière ; et ce prix est souvent aussi une va- leur de convention . Alors ce n'est pas la beauté , mais la singularité du travail qui obtient la faveur de la mode . Au contraire , quand la ...
... souvent le travail qui fait le prix de la matière ; et ce prix est souvent aussi une va- leur de convention . Alors ce n'est pas la beauté , mais la singularité du travail qui obtient la faveur de la mode . Au contraire , quand la ...
Strona 51
... souvent les plus injustes . Ici , Pradon avait des Mécènes , et Racine des détracteurs ; là , Chape- lain était admiré en récitant les vers de la Pu- celle ; ailleurs , c'étaient les Scudéri qu'on exaltait , en déprimant Corneille ...
... souvent les plus injustes . Ici , Pradon avait des Mécènes , et Racine des détracteurs ; là , Chape- lain était admiré en récitant les vers de la Pu- celle ; ailleurs , c'étaient les Scudéri qu'on exaltait , en déprimant Corneille ...
Strona 57
... souvent même et plus rapi- dement ; non pas en poète folâtre , et qui se joue de son art , mais sans y entendre finesse , et de l'air de la bonne foi ; cependant , telle est sa ma- gie , , que ce mélange est d'un goût exquis , parce que ...
... souvent même et plus rapi- dement ; non pas en poète folâtre , et qui se joue de son art , mais sans y entendre finesse , et de l'air de la bonne foi ; cependant , telle est sa ma- gie , , que ce mélange est d'un goût exquis , parce que ...
Strona 76
... car l'ignorance toute simple , se laisse guider par la nature , et le sentiment lui tient lieu souvent des lumières qu'elle n'a pas ; mais avec de fausses lueurs la vanité , qui se croit éclairée , s'égare , et 76 ESSAI.
... car l'ignorance toute simple , se laisse guider par la nature , et le sentiment lui tient lieu souvent des lumières qu'elle n'a pas ; mais avec de fausses lueurs la vanité , qui se croit éclairée , s'égare , et 76 ESSAI.
Strona 79
... souvent inattendue , mais toujours naturelle ; enfin , c'est l'invention du style , mais d'un style analogue au sujet que l'on traite , et dont le ton et la couleur répondent à l'objet que l'on peint . C'est ainsi que sans rien outrer ...
... souvent inattendue , mais toujours naturelle ; enfin , c'est l'invention du style , mais d'un style analogue au sujet que l'on traite , et dont le ton et la couleur répondent à l'objet que l'on peint . C'est ainsi que sans rien outrer ...
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Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Aristophane Aristote arts arts libéraux assez barreau beau beauté bienséances Boileau Bossuet Britannicus carac caractère cause chaleur chant charme chœur choses Cicéron Cinna cœur comédie comique Corneille couleurs critique Démosthène dessein Dieu dire doit donne Élém éloquence Eschine espèce esprits Euripide eût exemple fable force génie genre goût Grecs Henriade Homère homme idées imitation jamais juge juste l'action l'ame l'amplification l'Arioste l'art l'autre l'éloquence l'Énéide l'épopée l'esprit l'expression l'homme l'Iliade l'imagination l'orateur l'oreille l'un laisse langue Littér Longin lui-même Ménandre ment Mérope mieux modèle mœurs Molière morale mouvements moyens musique nature naturel objet Orat orateurs parler parole passions pathétique peindre peint peinture pensée personnage peuple Phèdre plaisir Plaute Plutarque poème poésie poète qu'un quelquefois Quintilien raison ressemble ridicule rien s'il scène sens sensible sentiment serait seul siècle simple Sophocle souvent style sublime talent Térence théâtre tion tragédie vérité veut vice Virgile Voilà Voltaire vrai yeux
Popularne fragmenty
Strona 200 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Strona 214 - Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachais au jour, je fuyais la lumière : La mort est le seul Dieu que j'osais implorer.
Strona 208 - C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé; J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine; Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine. De quoi m'ont profité mes inutiles soins? Tu me haïssais plus, je ne t'aimais pas moins.
Strona 433 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Strona 189 - Dieux ! que ne suis-je assise à l'ombre des forêts ! Quand pourrai-je, au travers d'une noble poussière. Suivre de l'œil un char fuyant dans la carrière?
Strona 569 - Toutes ces critiques sont le partage de quatre ou cinq petits auteurs infortunés qui n'ont jamais pu par eux-mêmes exciter la curiosité du public. Ils attendent toujours l'occasion de quelque ouvrage qui réussisse, pour l'attaquer : non point par jalousie , car sur quel fondement seraient-ils jaloux?
Strona 434 - Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible; Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta famille; Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta fille.
Strona 366 - Oiseau jaloux, et qui devrais te taire, Est-ce à toi d'envier la voix du Rossignol, Toi que l'on voit porter à l'entour de ton col Un arc-en-ciel nue...
Strona 505 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Strona 224 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.