Rhétorique françoise, Tom 2Chez Saillant, rue Saint Jean de Beauvais, vis-à-vis le Collège [et] Desaint, rue du Foin, la Ire porte cochère en entrant par la rue S. Jacques, 1765 - 384 |
Co mówi± ludzie - Napisz recenzjê
Nie znaleziono ¿adnych recenzji w standardowych lokalizacjach.
Spis tre¶ci
230 | |
233 | |
237 | |
239 | |
259 | |
264 | |
266 | |
273 | |
105 | |
113 | |
119 | |
123 | |
129 | |
136 | |
142 | |
148 | |
154 | |
161 | |
167 | |
174 | |
185 | |
191 | |
198 | |
204 | |
211 | |
218 | |
224 | |
278 | |
279 | |
285 | |
289 | |
290 | |
297 | |
300 | |
307 | |
309 | |
316 | |
323 | |
348 | |
354 | |
360 | |
365 | |
372 | |
375 | |
377 | |
379 | |
Inne wydania - Wy¶wietl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
aifé ainfi ajoute appelle auffi avoit beau c'eft C'eſt caractére caufe chofe Cicéron cité clarté cœur commun contraire convient corps coup cours Dieu difcours différentes dire dit-il doit donner efprit employer eſt étoit éxemples expreffions exprime fans feconde fens fentiment fera feroit feul Figures fimple foit fond font force fort forte fous fouvent ftyle fublime fuivant fujet général genre goût Grecs hommes idées imiter j'ai jours jugement l'Art l'autre l'efprit l'expreffion l'Orateur l'ufage l'un langage langue lieu lui-même main maniére ment mieux modéle mort mots n'eft n'en nature naturel néceffaire obfervations objet Orateurs paffer paffion parler paroles penfées pére perfonne phrafe place plufieurs poëfie Poëte porte pré premier premiére preuve Prince Prononciation propre qu'une quelquefois raifon rapport régle remarque Rhétorique rien s'en s'il tems termes tion tirer tour traits trouve ufage utile vertu veut vice Voilà voix vrai yeux
Popularne fragmenty
Strona 136 - Allez, honneurs, plaisirs, qui me livrez la guerre : Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre; Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Strona 76 - Au pied de ses remparts quel intérêt m'appelle? Pour qui, sourd à la voix d'une mère immortelle, Et d'un père éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre Aux champs thessaliens osèrent-ils descendre?
Strona 128 - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Strona 120 - L'antonomase est une espèce de synecdoque, par laquelle on met un nom commun pour un nom propre ou bien un nom propre pour un nom commun.
Strona 76 - Qu'ai-je à me plaindre? où sont les pertes que j'ai faites? Je n'y vais que pour vous, barbare que vous êtes ; Pour vous, à qui des Grecs moi seul je ne dois rien ; Vous, que j'ai fait nommer et leur chef et le mien ; Vous, que mon bras vengeait dans Lesbos enflammée, Avant que vous eussiez assemblé votre armée.
Strona 78 - ... au milieu des riantes prairies. Il apprit ainfi aux Bergers quels font les charmes de la vie champêtre, quand on fait goûter ce que la fimple nature a de gracieux. Bientôt les Bergers avec leurs flûtes fe virent plus heureux que les Rois, & leurs cabanes attiroient en foule les plaifirs purs qui fuyent les palais dorés. Les jeux, les ris, les graces, fuivoient par-tout les innocentes Bergeres (a).
Strona 278 - Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi : L'un veut que plein d'amour pour toi Mon cœur te soit toujours fidèle. L'autre à tes volontés rebelle Me révolte contre ta loi. L'un tout esprit, et tout...
Strona 172 - Pourquoi faire , après tout ? — Pour courir l'Océan de l'un à l'autre bout , Chercher jusqu'au Japon la porcelaine et l'ambre, Rapporter de Goa ' le poivre et le gingembre. — Mais j'ai des biens en foule , et je puis m'en passer. — On n'en peut trop avoir ; et pour en amasser II...
Strona 95 - Ils savent que sur eux prêt à se déborder, Ce torrent, s'il m'entraîne, ira tout inonder; Et vous les verrez tous, prévenant son ravage, Guider dans l'Italie et suivre mon passage.
Strona 276 - ... l'autre, et par l'avantage d'une si haute naissance, et par ces grandes pensées que le ciel envoie, et par une espèce d'instinct admirable dont les hommes ne connaissent pas le secret, semble né pour entraîner la fortune dans ses desseins et forcer les destinées. Et, afin que l'on vît toujours dans ces deux hommes de grands caractères, mais divers, l'un, emporté d'un coup soudain, meurt pour son pays comme un Judas...