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Ce que, de l'aveu du protestant Cobbet, l'Angleterre protestante fit souffrir à l'Angleterre catholique, sous la papesse 599-603 Elisabeth. Services rendus par les catholiques anglais à Elisabeth. Sa reconnaissance, 603-604 d'après Cobbet. Supplice de Marguerite Middleton, pour avoir gardé un prêtre catholique comme instituteur de ses enfants, 604 et 605

Religieuse confiance du cardinal Baronius au retour de l'Angleterre à la vue de ses généreux martyrs. Accomplissement de cette confiance prophétique. Désir qu'on forme une collection de ces martyrs anglais du seizième et du dix-septième siècle. 605

et 606

Conduite respective de l'Angleterre catholique et de l'Angleterre protestante. 606-608 Martyre des missionnaires catholiques 608-610 en Angleterre. Traite des noirs par l'Angleterre pro610 testante et sa papesse Elisabeth.

Principes généraux pour juger l'histoire et la politique moderne. 610–613 Bas-empire des intelligences en Eu613-615 rope, notamment en France. Les Français renégats ou huguenots, ayant à leur tête la famille des Bourbons. 615 et 616 Les Français politiques, ayant à leur 616 tête la famille des Montmorency.

La France catholique, ayant à sa tête la famille de Lorraine. Solution à des questions bien importantes. 616-618

Situation critique de la cour de France après la mort de François II et sous la minorité de Charles IX. Michel de l'Hôpital, chancelier, catholique équivoque. Jean de Montluc, évêque secrètement apostat. 618

Triumvirat catholique du connétable Anne de Montmorency, du duc de Guise et du maréchal de Saint-André. La cour favorise les huguenots. 618-620

Rencontre fortuite de Vassy entre les catholiques et les protestants, d'après des protestants mêmes. 620 et 621

Réponse du duc de Guise, François de Lorraine, à un protestant qui cherchait à l'assassiner. Bataille de Dreux, gagnée par le duc de Guise. Il est assassiné par le protestant Poltrot, à la connaissance et avec l'assistance du protestant Coligny, de l'aveu du protestant Sismondi, conformément aux principes du protestantisme. 624-627

Pacification d'Amboise en 1563. Les huguenots reprennent les armes en 1567 pour enlever le roi Charles IX et la reine 'sa mère, qui ne doivent leur salut qu'à la fidélité des Suisses. 627-629

Paix boiteuse de Lonjumeau. La guerre civile recommence. La papesse Elisabeth d'Angleterre envoie des secours aux Français renégats. Coligny est repoussé de devant Poitiers par le jeune duc de Guise. Nouvelle paix en 1570. 629-631

Histoire du coup d'état de la SaintBarthélemy. S'il y a eu préméditation. Si Charles IX l'ordonna dans les provinces. Nombre des victimes. Quelle part le clergé catholique y a eue. — Qui est-ce qui peut condamner ou non ce d'état. coup 651-640 Caractère des trois jeunes rois : Charles IX, Henri de Pologne, depuis Henri III, et Henri de Béarn, depuis Henri IV. 640-642 Quatrième et cinquième guerre civile des huguenots. 642 et 645 Etat critique de la France. Henri de Béarn abandonne le catholicisme, reste quelque temps sans aucune religion, puis redevient huguenot. Henri III se rend méprisable par ses goûts frivoles et son inconduite. 643-643

Ligue formelle des Français renégats ou des huguenots en 1575, pour la perversion de la France entière. 645 et 646 Trois ans après, ligue sainte des Fran

Le nouveau duc de Guise, Henri le Balafré, et sa famille. 649 et 650 Le cardinal de Bourbon est reconnu héritier présomptif de la couronne. Henri de Navarre est excommunié comme hérétique par Sixte-Quint. 650 et 651 Guerre des trois Henri. Etats de Blois. Henri III y fait assassiner le duc Henri de Guise et son frère le cardinal de Lorraine. 651 et 652 La Sorbonne et le parlement de Paris prononcent la déchéance de Henri III, qui s'aliène de plus en plus la confiance des Français fidèles. A la veille de livrer un assaut général à la ville de Paris, il est tué par Jacques Clément. Les protestants ne peuvent blâmer ce régicide. 652-655 Mort de Henri III. 655 et 656 Les seigneurs catholiques de la cour et de l'armée disposés à mourir plutôt que de reconnaître un roi huguenot. Engagements et promesses de Henri de Navarre, autrement Henri IV. 656-658 Le duc de Mayenne, frère du duc de Guise, chef de la ligue, est sur le point 659 de prendre Henri IV. Supplice du père Bourgoin. 659 et 660 Guerre entre le duc de Mayenne et Henri IV, qui assiège Paris, saccage les faubourgs, est repoussé plusieurs fois, et obligé par le duc de Parme à lever le siége. Constance merveilleuse des Parisiens. 660-664

Négociations secrètes. Henri IV obligé de lever le siége de Rouen. Etats-généraux de la ligue à Paris. Fermeté de Mayenne pour conserver à la France son unité, avec une dynastie française. 664-667

Conférences de Surêne entre les cathoLiques des deux partis. Henri IV fait profession de la foi catholique à Saint-Denis. Fin de la lutte entre la France et son roi.

667-669

Négociations de Henri IV avec le Pape,

pour obtenir la ratification de son absolution provisionnelle. 669 et 670

670 et 671

Il est sacré à Chartres. Exécution de Barrière, accusé, et de Jean Chastel, convaincu d'avoir voulu assassiner Henri IV. 671 et 672

Lâche cruauté que, de l'aveu du protestant Sismondi, le parlement de Paris exerça à ce propos contre les Jésuites. 672 et 675

Véritable esprit de la ligue, se manifestant dans ses chefs et dans la masse du peuple. 675

Le pape Clément VIII reçoit solennellement Henri IV au sein de l'Eglise, en la personne de ses plénipotentiaires d'Ossat et du Perron. 673-675 Soumission et fidélité du duc de Mayenne. Conclusion. 675 et 676

Conduite différente des

des politiques.

hugnenots et

676