A cet infortuné daignez ouvrir les bras; BRUTU S. Son remords me l'arrache. (Rome! ô mon pays! TITUS. Adieu, je vais périr, digne encor de mon père. (On l'emmène.). SCENE VIII. BRUTUS, PROCULU S.. PROCULUS. SEIGNEUR, tout le Sénat dans fa douleur fincère, En frémiffant du coup qui doit vous accabler. . BRUTU S. Vous connaiffez Brutus, et l'ofez confoler? Songez qu'on nous prépare une attaque nouvelle.. Rome feule a mes foins, mon cœur ne connaît qu'elle,. Allons: que les Romains, dans ces momens affreux, Romé eft libre: il fuffit... Rendons grâces aux Dieux. Fin du cinquième et dernier acte. DES EDITEURS. СЕТТ ETTE pièce fut jouée avec fuccès en 1732, quoique l'ombre d' Amphiaraüs et les cris d'Eri phy e immolée par fon fils, ne puffent produire d'effet fur un théâtre alors rempli de fpectateurs. Malgré ce fuccès, M. de Voltaire, plus difficile que ces critiques, vit tous les défauts d'Eriphyle; il retira la pièce, ne voulut point la donner au public, et fit Sémiramis. Nous donnons Eriphyle d'après un manuscrit trouvé dans les papiers de M. de Voltaire.. On a indiqué par des aftérifques ✶ les vers d'Eriphyle, que M. de Voltaire a placés dans d'autres tragédies.. DISCOURS Prononcé avant la repréfentation d'Eriphyle. JUGESP UGE S plus éclairés que ceux qui dans Athène Si l'on vit quelquefois des écrits ennuyeux Souvent vous démêlez, dans un nouvel ouvrage, |