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Perilli. et adm. Rndo Dno Dno Obsmo Dno C.-J. Destombes,
Moderatori Institutionis a S. Joanne nuncup. Duacum.

PERILLUSTRIS ET Adm. Rnde DNE DNE OBSME,

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ICUTI altera e luculentioribus Ecclesiæ catholicæ laudibus manat ab exordiorum ejus puritate, sanctitate ac suavitate, sic hæresum omnium turpitudo ab ipsa detegitur earum origine, fraudibus, hypocrisi, violentia odioque fœdatâ. Cum itaque Tu, commemorata prioris inductione in Angliam, eximiisque beneficiis illic ab ipsa partis, historiam texueris turpissimæ schismatis causæ, nefariarumque machinationum et sævitiæ per quas invitis impositum fuit, gravissimique detrimenti inde ei populo illati, bene profecto meruisti de Ecclesia, ac præsertim de nostræ hujus ætatis hominibus, inter quos impii labem illam omni ope diffundere nituntur in catholicæ religionis exitium. Acceptissimum idcirco Sanctissimus Dominus Pius IX habuit oblatum a Te opus; et quamquam ejus lectioni, gravissimis impeditus curis, vacare nondum potuerit, cum tamen e summaria ipsa libri partitione propositum ejus sit assecutus, istud commendavit, meque id tibi significare jussit, ac paternæ benevolentiæ suæ pignus nunciare Apostolicam Benedictionem, quam Tibi peramanter impertit.

Huic vero gratissimæ mihi mei muneris functioni addo peculiaris in Te observantiæ meæ ac æstimationis testimonium, Tibique fausta omnia adprecor a Deo. Tui, Perillis et adm. Rnde Dne Dne Obsme.

Romæ, die 2 martii 1864.

Humill. Addictiss. Famulus,

FRANCISCUS MERCURELLI`
SSmi D. N. ab Epistolis latinis.

Traduction de la lettre de Mgr Mercurelli.

A Monsieur C.-J. Destombes, Supérieur de l'Institution St-Jean à Douai.

OMME l'une des gloires les plus éclatantes de

de sainteté et de douceur qui signale ses commencements; ainsi la honte de toutes les hérésies se découvre par leur origine entachée de fraude, d'hypocrisie, de violence et de haine. Vous donc qui, après avoir rappelé la naissance de cette Église catholique en Angleterre, avez exposé la cause honteuse du schisme, les machinations abominables et la cruauté avec lesquelles on l'imposa violemment, et le très grave dommage causé par là au peuple anglais, vous avez assurément bien mérité de l'Église, et en particulier des hommes de notre siècle, parmi lesquels des impies s'efforcent, par tous les moyens, de répandre ce fléau du schisme, au grand détriment de la religion catholique. C'est pourquoi le Très-Saint Père Pie IX a reçu avec beaucoup de bienveillance le livre que vous lui avez offert; et, bien que ses occupations très graves ne lui aient pas permis de le lire encore, néanmoins, comme d'après le sommaire des chapitres il a compris son objet, il en a fait l'éloge, et m'a ordonné de vous l'annoncer et de vous transmettre, comme gage de sa paternelle bienveillance, la bénédiction apostolique qu'il vous accorde très affectueusement.

Après m'être acquitté de ce devoir si doux à remplir, je vous offre l'assurance de ma considération et de mon estime particulières, et je prie Dieu de vous être favorable en toutes choses.

FRANÇOIS MERCURELLI,

Secrétaire de Notre Saint-Père pour les Lettres latines.

Rome, le 2 mars 1864.

N

L

Lettre de Mgr l'archevêque de Cambrai.

MON CHER ABBÉ,

Cambrai, le 10 septembre 1864.

E légitime succès qu'à obtenu le premier volume de votre Histoire de la Persécution religieuse en Angleterre, et le bien considérable qu'il a produit, me faisaient vivement désirer que vous nous donnassiez la suite de ce remarquable travail. — Je vous félicite de l'avoir si heureusement achevé.

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Comme vous faites partie de ma famille sacerdotale, mon cher Abbé, je me crois tenu à plus de réserve dans les éloges que j'aurais à vous donner. Je me borne à vous dire que votre ouvrage est de nature à rendre un service réel à la sainte cause de l'Église. J'ai la confiance que, Dieu aidant, il contribuera pour quelque chose à accélérer le mouvement qui ramène l'Ile des Saints à la foi de ses pères, mouvement béni que nous sommes à même d'observer de près (1), et dont les progrès sont l'objet de nos vœux les plus ardents et de nos plus douces espérances.

Recevez, mon cher Abbé, l'assurance de mon affectueux dévouement.

† R.-F., arch. de Cambrai.

1. Un grand nombre de missionnaires martyrisés en Angleterre pendant la persécution, avaient été ordonnés à Cambrai. Le Saint-Siège a établi l'archevêque de ce diocèse protecteur particulier de la communauté des Bénédictins anglais fondée à Douai en 1618 et dont les sujets, pour la plupart, reçoivent l'ordination de ses mains.

J

Lettre de Mgr le cardinal Pitra.

Monsieur l'abbé,

Rome, 3 juillet 1867.

'AI pu voir de près, autrefois, l'ardeur et la patience

que vous savez mettre dans vos études historiques.

Je sais que, malgré les occupations d'une vie très dévouée aux œuvres diocésaines, vous n'avez rien perdu de votre studieuse activité, et vous en fournissez une nouvelle preuve dans votre excellente histoire de la Persécution Religieuse en Angleterre. Je ne puis m'étonner des éloges et des suffrages distingués qui l'ont accueillie, ni refuser de m'y associer, en exprimant le vœu que vous ne tardiez point trop de donner un nouveau fruit de vos très estimables labeurs.

Veuillez agréer, monsieur l'abbé, l'assurance de mes sentiments dévoués et respectueux.

J.-B., card. Pitra.

Lettre de Mgr l'archevêque de Toulouse.

MON CHER ABBÉ,

Toulouse, le 28 octobre 1864.

J

E ne suis point étonné du succès de votre livre.

Vous avez raconté avec de si solides témoignages l'histoire de la Persécution Religieuse en Angleterre, que vous avez presque forcément ramené la lumière sur une période enveloppée de ténèbres par la passion antireligieuse. Si Mr de Maistre a pu écrire que l'histoire depuis trois siècles était une conspiration contre la vérité, ce reproche doit surtout s'appliquer au développemeut du protestantisme en Angleterre et aux moyens sanglants dont il a si longtemps abusé. Votre

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main, mon cher abbé, vient de déchirer un des voiles qui couvraient une trop douloureuse époque, et comme évêque de cette catholique France, qui serait si heureuse de retrouver une sœur dans l'ancienne île des Saints, je vous adresse volontiers, avec mes remercîments, mes plus affectueuses félicitations.

Agréez, mon cher abbé, ce nouveau témoignage de l'estime et de l'affection que je vous porte depuis long

temps.

Fl., archev. de Toulouse.

J'

Lettre de Monseigneur l'évêque d'Arras.

MONSIEUR LE SUPÉRIEUR,

Arras, le 14 février 1863.

'AI lu déjà en grande partie votre ouvrage sur la Persécution religieuse en Angleterre sous le règne d'Élisabeth, et, avant d'aller plus loin, je me sens pressé de vous dire combien j'en suis satisfait. C'est tout à la fois très intéressant et très solide. Il s'y trouve des révélations effrayantes, et qu'il est bon de méditer aujourd'hui sur la perversité profonde et les mensonges audacieux des ennemis de la sainte Église catholique. Je vous remercie donc d'avoir entrepris cet ouvrage, et vous félicite de l'avoir si bien exécuté.

† P.-L., évêque d'Arras.

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