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pnie podkanclerza W. Ks. Lit. Załączamy tu kilka, któreśmy osądzili za godniejsze uwagi, nie zmieniając w niczem pisowni oryginału.

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Vous me demandes Monsieur que ie vous done mon advis Scavoir pour qui j'incline qui obtiene la charge qui a tant de concourant ie suis d'acord pour celuy que uous este davis mais si celuy la ne l'auet pas ie croy que le frere du mort feret moins desnemis c'est mon santiment car il lia bien des suite a considerer dans cete charge croyees moy apres mon vrais amy celuy la conviens le mieux son defunt frere a pries pour luy et il est dosile il done san mille livre aux Roy et à moy trois mile ducas et ancore ie vous remercie du soing que uous aves de m'escrire ne manques pas une hocasion de le faire vous m'obligeres iay une inscription tiree de Czersk de la roboration du testament mais on dit quilia un autre papies ie croy que cest un zapis la manifestation ce me sanble seret bien faite par Mr le Cardinal come parant et primat mandes moy nostre santimant ie ne fais pas sanblant aux Roy que ie resoyve des lestre de persone ie le conais bien pour scavoir ce qui luy faut dire ou seler adieu croyees que ie noublires point le playsir que vous me faite an me tirant de la peyne ou ie seres du Roy si vous ne manfesies scavoir Marie Casimire Reyne.

Mandes moy aux vray tout ce qui se pase ce que fait mon fils aynes et comme il est aux pres du Roy et avec son frere ce quil fait mes reconmandations a mon cher amy le grand tressories dite luy qui m'escrive plus souvant il n'aura jamais une si bone amies que moy.

ce 2 octobre.

ie ne puis manpescher de vous dire moymesme que ie noubliesres point le playsir que vous me faite an me mandant toute les fois que vous pouves des nouvelle de la sante du Roy monseygneur qui est la chose du monde qui mest la plus chere et de me tenir averties de tout ce qui se pase ie vous assure Monsieur que ie marqueres ou ie ne poures quil fait bon me faire playsir à lesguard des concourant auxs generalat ie vous ay desia fait scavoir mon santimant ie les estime tous mais ie croy quil est plus naturel et fesant moins des nemis si le Roy an disposet an faveur du frere du desfunt pour le dernies dont vous me faite part de la concourance ie croy quil ne li manque que deuxs chosse pour an faire un bon general le coeur et l'experiance favorises le palatin de Vilna dans ces interest ie vous pries

Marie Casimire Reyne

ie me reconmande au pere Vota.

de Szolkiewf ce 30 de dessan.

Jenay put vous escrire monsieur aussi souvant que ie l'aures voulu ne sachant aux vray le lieu de vostre habitacion sachant que vous alies d'unes de vos terre a lautre ie le fais apressant estonee de tout les vilins procedes de l'asanblee de Varsovie qui na fait que nous descouvrir les dessins de nos esnemis des quels nous nous doutions touiour et qui nous a estes confirmes avec leur mauvaise volonté ceux qui se sont iouint auxs lituanais mepouvante ie suis fachee Monsieur destre contrinte de dire que la nation poulonayse est pleyne de grande calités mais cest la plus ingrate qui soit dans le monde cest un desfaut qui estoufe toute les bonne calitee quil pocede ie vons pries de comuniquer a mon pere lors que vous seres convenu de ce qui est plus apropos que le Roy monseygneur face le tanps seulement a peu pres que nous pourons estre a Varsovies ce qui despand de vostre ressultat dieu redonant la parfaite santé aux Roy M. comme nous l'esperons de sa bonte divine et a laquelle il lia bien de amandement, ie vous prie de ne pas oublier de le dire a mon pere parceque ie luy mande sur cela quil reste le dessin quila de partir pour venir icy et quelque annuy que iayes de son absance iayme ancore mieux an estre privée pour quelque tanps si nous avions a partir dan peut de semayne plustost que de le voir exposes aux fatigues du chemin dans une saysson rude et ie scay que le voyage luy a fait mal. ie vous anvoies deux lestre que iay signée vous priant de vouloir les remplir lune pour le magistra de Danzik requesrant deux de permestre aux vaysaux marchands que ie faits freter et autre si ię puis en avoir que ie fais charger de blés fromant et seygle pour passer an france quoyque la font kamer soit fermée le Roy monseygneur leurs a fait escrire aussi sur ce subiet sans spescifier sinon quil dessire quil fasse ce que l'abbé d'Olive leur demandera de sa part pour quelque interest qua la Reyne l'autre lestre vous la ranplirez pour Monsieur le marechal bielk suedois gouverneur de Pomeranies qu'ayant aprit cun navire ayant fait naufrage l'on navet remis autre ces mins un cofre de papiers de feu Monsieur le marquis de betune que ie le pries de ne le point anvoieer an france mais de le guarder insquace cun expres de ma part luy demande. le sieur dupont que ie faits passer an france avec les grins que ie veut y anvoyeer auxs quel iaves anvoyées un paseport me mande quil nest pas fait dans les terme quil faut parce quil les faut bien diferant pour la mer quil faut mestre aussi son nom Mostosky c'est pour quoy ie vous anvoyes un blanc sin pour que si vous scaves comme ils doibvent estre construit de le faire escrire et anvoiées auxs dit sieur dupont tout droit a danzik avec ces paquest sy iouint il les y atand si vous ne scaves pas comme il faut quil soit vous luy anvesres la forme sur un papier apart et le blanc sin pour la le renplir de ce quil faut mais comme il peuvent ne pas scavoir la forme comme lon escrit de nostre part

Tem I. Styczeń 1861.

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une information nesera pas ynutile ie croy que le Roy monseygneur dessire que vous venies icy ie luy ay parles de ce que vous aves dessires mais il dit quil faut bien discuter cet affaire avant de scavoir â qui elle apartiens ie seres tres ayse Monsieur de vous voir icy et cepandant ie vous dires que nous louons vostre bon esprit vostre prudance et vostre zelle que vous faite touiour parestre croyees Monsieur que iaures touiour pour vous bien de l'estime et de la consideration

Marie Casimire Reyne

ie ne puis iamais asee admirer la malice des gans mais on ma dit une chosse ou pour mieux dire le Roy me la dite que la Marechale et sa soeur la palatine de Kiovies avec le resident de lempereur asistes aux cessions de lituanais informes vous aux vray de la verité pour man randre conte.

ce 20 iuin.

A qui, monsieur pui ie me plindre du cruel malheur aux quel il a plu adieu de me condamner pour le reste de mes iours an mostant la meslieure partie de moy mesme qua ceux qui come vous mayderont ale pleurer si il peut y avoir quelque soulagement dans une telle douleur cest de dans la part qui prene nos amis si ie pouves santir quelque chose les procedes de mon fils aynes me toucheret mais ie ne suis sansible qua ce que ie viens de perdre qui mayant layses deux anfans tout deux dignes anfans dun tel pere requesrent de moy pour eux lamour que iaves pour luy il exige de celuy que vous avies pour sa person que vous ne laysies pas oprimer ces pauvres anfans venes donc ie vous suplies monsieur auxs plustost pour cet effet ie suis persuadee de vostre affection ayant eu des preuve de la miene

Marie Casimire Reyne.

W jedném z pism czasowych ogłoszone były uwagi nad obecną pracą przed jéj wyjściem z druku. W kilkudziesięciu wierszach tekstu pomienionych uwag, następujące znajdują się usterki: 1) W poczet dochodów królewskich zaliczona mennica, z nadmienieniem że takowa odebraną została królowi Janowi Kazimierzowi za sfałszowanie monety; w saméj zaś rzeczy, jeszcze Władysław IV, na mocy paktów konwentów, dobrowolnie ustąpił mennicy na korzyść rzeczypospolitéj r. 1632; upodlenie zaś (nie) sfałszowanie) monety nastąpiło z woli i wiedzą sejmu. Za Jana III skarb rzeczypospolitej nie miał z mennicy żadnego dochodu, jak się pokazuje z konstytucyi sejmu w r. 1677 i 1678. 2) W po

czet dochodów królewskich zaliczono dochód od 50,000 wsi królewskich: na mocy konstytucyi z r. 1590 dobra stołowe, mające stanowić dochód króla a zawierające kilkaset wsi tylko, oddzielono od reszty dóbr, które stanowić miały od owego czasu panem bene merentium: z liczby zatém 50,000 wsi, (o ile ta cyfra zgadza się z prawdą, pozostawiamy to odpowiedzialności bezimiennego autora poufnych uwag), należy potrącić przynajmniéj 49,000 wsi, z tych bowiem ostatnich dochód zgoła nie należał do króla. 3) Do wydatków królewskich policzono koszta utrzymania posłów; tymczasem poczynając od pierwszego znanego nam budżetu, tojest z r. 1506, koszt utrzymania posłów rzeczypospolitej i podejmowania posłów cudzoziemskich, ponoszony był nie przez króla, lecz przez skarb rzeczypospolitej, a za Jana III 1677 r., sejm uchwalił odrębny dochód: „Cło generalne". 4) Zarzut, że nie policzono dochodu z Ziem Pruskich, jest niesłuszny; albowiem w ryczałtowej summie, naprzykład poboru złp. 267,192, wciągniętą jest summa przypadająca na trzy województwa pruskie, a mianowicie złp. 47,024, jak przekonać się można z taryf w Komissyi skarbu. 5) Za Jana III, dochód od ks. Pruskiego nie mógł być wciągnięty w poczet dochodów rzeczypospolitej, gdyż on był już ustał za Jana Kazimierza przed rokiem 1657. 6) Za Jana III podatek od stępla nie był wprowadzony, a zatém nie mógł trwać lat kilka": podatek ten ustanowiono dopiéro na mocy konstytucyi z 1775 roku. Konstytucya z r. 1677 pod tytułem; Monopolium tabaczne i papieru", miała na celu nie opodatkowanie papieru używanego w tranzakcyach sądowych i administracyjnych, ale znajdującego się w handlu; nie wprowadzała więc stępla, lecz tylko akcyzę.

KRONIKA LITERACKA.

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Przekład dzieł Platona przez An. Bronikowskiego.
W Poznaniu, r. 1858.

Przy ogólnym dziś rozwoju naszego piśmiennictwa, słusznie należy się wzgląd dla starożytnéj klassycznéj literatury, która jak u innych ludów Europy, tak i u naszego była źródłem początkowej oświaty. Z niéj pierwotnie czerpano całą naukę; na niéj doskonalili się najpierwsi mistrzowie we wszystkich gałęziach umiejętności; z niéj nabiérali gustu i na jéj wzorach zaprawiali się pierwsi nasi poeci i mówcy: zresztą na językach starożytnych doskonaliły się języki nowożytne prawie wszystkich narodów Europy; a lubo później przyszedłszy do pewnej dojrzałości, podług właściwej sobie natury odmienną poszły drogą i powstali w nich znakomici pisarze narodowi, którzy na gruncie ojczystym potworzyli wzorowe dzieła, jednakże pisarze starożytnéj klassycznéj literatury nie stracili dlatego swéj wartości. Pozostaną oni zawsze oném pierwszém źródłem, z którego wypłynęły obfite strumienie wiedzy ludzkiej, które roztoczywszy się na wszystkie strony, wydały rozległe morze rozmaitych nauk i umiejętności. Nie od rzeczy więc będzie zaglądać do tych pierwszych, czystych i nie zmąconych zdrojów pierwotnej naszej wiedzy, w nich rozpatrywać się z pilnością dla korzyści i zbogacenia piśmiennictwa tych ludów, które wszystkich rodzajów nauk rozwiniętych i udoskonalonych u siebie nie mają, jak np. u nas pod względem filozofii: bo kiedy inne narody na tém rozległém polu wiedzy daleko się posunęły i mają własną filozofią, my własnej narodowéj filozofii, zastosowanej do ducha narodu i języka naszego, jeszcze nie posiadamy i dlatego brak ten dziełami obcemi albo na wzór ich potworzonémi zastępujemy. Dlatego mając

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