Recueil de romans, contes, nouvelles, histoires, voyages, mémoires, feuilletons, etc., des écrivains les plus remarquables de l'époque: Mélanges, Tom 2Bureau de la Macédoine littéraire, 1843 |
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Strona 20
... général , un pauvre bûcheron qui rccueille des racines mortes , mais qui , autrefois , maniait assez proprement un fusil sous vos ordres . - - Il serait vrai ! vous êtes un vieux soldat ? Un soldat du temps où le comte de Tottleben fai ...
... général , un pauvre bûcheron qui rccueille des racines mortes , mais qui , autrefois , maniait assez proprement un fusil sous vos ordres . - - Il serait vrai ! vous êtes un vieux soldat ? Un soldat du temps où le comte de Tottleben fai ...
Strona 22
... général et où celui - ci plaça sa valise . Mais , pendant que l'hôtesse déposait le flambeau sur une table qui était à quelques pas de la fenêtre , Tot- tleben arma l'un des deux pistolets qu'il avait cachés dans ses poches , et se ...
... général et où celui - ci plaça sa valise . Mais , pendant que l'hôtesse déposait le flambeau sur une table qui était à quelques pas de la fenêtre , Tot- tleben arma l'un des deux pistolets qu'il avait cachés dans ses poches , et se ...
Strona 29
... général Dugommier l'ont respecté . Depuis cinquante ans , on parle de le démolir , et toujours on vous montre le plan du théâtre futur . Cette incurie routinière qui en- dort en France les administrations municipales , en dépit de ...
... général Dugommier l'ont respecté . Depuis cinquante ans , on parle de le démolir , et toujours on vous montre le plan du théâtre futur . Cette incurie routinière qui en- dort en France les administrations municipales , en dépit de ...
Strona 33
... général d'abord à Osterode , puis au château de Finkenstein , ayant Bernadotte à sa gauche , Davoust à sa droite , Ney et Soult à peu de dis- tance , et il résolut de mettre à profit son inaction forcée pour se raffermir par la prise de ...
... général d'abord à Osterode , puis au château de Finkenstein , ayant Bernadotte à sa gauche , Davoust à sa droite , Ney et Soult à peu de dis- tance , et il résolut de mettre à profit son inaction forcée pour se raffermir par la prise de ...
Strona 35
... général comte de Kal - Kreuth obtint les mêmes conditions que celles qu'il avait accordées quatorze ans auparavant à la garnison de Mayence . Lefebvre le fit reconduire aux avant - postes Merci , camarade ... ; alors je vous dis au ...
... général comte de Kal - Kreuth obtint les mêmes conditions que celles qu'il avait accordées quatorze ans auparavant à la garnison de Mayence . Lefebvre le fit reconduire aux avant - postes Merci , camarade ... ; alors je vous dis au ...
Kluczowe wyrazy i wyrażenia
Adeline amour arrivé assez avez Bas de Cuir belle Bergeronnette Billette bonne bras c'était chambre Chambry Champrod chanté charmante château cher chevalier chose cœur comte coup cousine dame demanda devant Dieu dire dit-il duc de Marlborough enfant êtes Eugène Sue faisait Fanny Elssler Félicie femme Florise forçat FRÉDÉRIC SOULIÉ Gaston George George Sand Henriette heures Idoménée j'ai j'étais Jamston jeta jeune fille jeune homme Jonathas Joséphine jour Kettina Labardès laisser larmes leva Louis XV Louise madame mademoiselle main maison malheur mari marquis de Livry ment Mme de Cambasse Mme de Norbert monsieur mort n'avait nuit pâle parler paroles passer pauvre pensée père personne Philippe Cazal Pierrette porte Préval prit qu'un Ramier regard Régina reine répondit reprit reste rien s'écria s'était sais sentiment Séphora sera seul sœur soir sort Steimpol tête trouver venait Versac veux Vibray visage voilà voix Volfart Waldstein yeux
Popularne fragmenty
Strona 408 - ... qu'on désire ; Au même instant rire et pleurer , Sans raison de pleurer, et sans raison de rire ; Redouter le matin , et le soir souhaiter D'avoir toujours droit de se plaindre; Craindre , quand on doit se flatter , Et se flatter, quand on doit craindre; Adorer, haïr son tourment...
Strona 70 - ... tourelle pour nous instruire de celle que prenaient les malheureux qu'on immolait et pour calculer, d'après leur rapport, celle que nous ferions bien de prendre. Ils nous rapportaient que ceux qui étendaient leurs mains souffraient beaucoup plus longtemps, parce que les coups de sabre étaient amortis avant de porter sur la tête; qu'il y en avait même dont les...
Strona 408 - Passer ses jours à désirer, Sans trop savoir ce qu'on désire; Au même instant rire et pleurer, Sans raison de pleurer et sans raison de rire ; Redouter le matin et le soir souhaiter D'avoir toujours droit de se plaindre ; Craindre quand on doit se flatter, Et se flatter quand on doit craindre ; Adorer, haïr son tourment...
Strona 264 - L'officieux portier sortit pour aller chercher le livre, et Santeuil de fermer aussitôt la porte sur lui. Maître Pierre, qui était à demi nu, se met à frapper à la porte : notre poète lui répond qu'il n'ouvrira pas, parce que M. le prieur l'a défendu. " Eh ! monsieur de Santeuil, je vous ai ouvert de si bonne grâce ! — Je t'ouvrirai au même prix, dit Santeuil.
Strona 71 - Nous étions occupés à arranger nos lits lorsqu'on fit une nouvelle proclamation qui fut huée généralement. Peu après, un homme demanda la parole au peuple, et nous lui entendîmes dire très-distinctement : « Les « prêtres et les conspirateurs qui restent, et qui sont là, ont « graissé la patte des juges ; voilà pourquoi ils ne les jugent « pas. » A peine eut-il achevé de parler qu'il nous sembla entendre qu'on l'assommait. L'agitation ^du peuple devint d'une véhémence effroyable....
Strona 71 - LA lueur de deux torches , j'aperçus le terrible tribunal qui allait me donner ou la vie ou la mort. Le président, en habit gris, un sabre à son côté , était appuyé debout contre une table , sur laquelle on voyait des papiers , une écritoire , des pipes et quelques bouteilles. Cette table était entourée par dix personnes, assises ou debout, dont deux étaient en veste et en tablier ; d'autres dormaient étendues sur des bancs.
Strona 264 - Saint- Victor après onze heures, le portier refusa de lui ouvrir, parce que, disait-il, on le lui avait défendu. Après bien des prières et bien des refus, notre poète glissa un demi-louis sous la porte, et les verrous tombèrent aussitôt. A peine fut-il entré qu'il feignit d'avoir oublié un livre sur une borne où il s'était assis pendant qu'on le faisait attendre.
Strona 64 - Malbrough s'en va-t-en guerre, Mironton, mironton, mirontaine; Malbrough s'en va-t-en guerre, Ne sait quand reviendra!
Strona 222 - ... plus prononcé, et j'osai lui dire : « Monsieur, tant d'opiniâtreté à votre âge est un défaut que rien ne peut excuser ; elle est d'autant plus étonnante que notre visite, comme vous le voyez, a pour objet d'apporter quelque adoucissement à votre situation, des soins et des secours à votre santé. Comment voulez-vous qu'on y parvienne, si vous refusez toujours de répondre, et de dire ce qui vous convient? Est-il une autre manière de vous le proposer? Ayez la bonté de nous le dire,...
Strona 302 - ... vingt mille francs. Les économies annuelles qui étaient faites sur les revenus de la Liste civile se montaient de treize à quatorze millions. Ainsi l'esprit d'ordre et la bonne administration qui régnaient dans les dépenses de sa maison, avaient permis à l'Empereur de tenir une cour qui ne le cédait en magnificence à aucune autre, et...