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tem septem necnon et octo, 380; éloge du vieillard Paul, 458, 465; commentaire de ces paroles de l'Ecclésiaste: « La sagesse est plus utile quand elle est jointe aux richesses », 544; raison de la force des barbares contre les Romains, VII, 76, 77; manière dont procède Jésus-Christ pour la guérison de l'enfant épileptique, VIII, 20, 21, 27.

Jérusalem. Rome et Jérusalem considérées sous le rapport de leur mission divine, III, 643, 644 ; IV, 50, 54; analogies topographiques de Jérusalem et de Chartres, VI, 538, 539; elle est abandonnée de Dieu parce qu'elle est infidèle à sa mission, VII, 405, 406; sa ruine par Titus; Rome reçoit ses dépouilles, II, 494 et suiv. Jésuites de Poitiers. Consécration de leur nouvelle église à Poitiers; allocution, II, 105; ouverture de leur college, allocution, 434; cérémonie de la pose de la première pierre de leur nouveau college, allocution, III, 407; homélie prononcée dans la solennité de la béatification des BB. Jean de Britto, André Bobola, Ignace Azevedo et ses compagnons, martyrs, II, 255 et suiv.; homélie prononcée à la messe de clôture du triduum de béatification du B. Jean Berchmans, V, 512 et suiv.; homélie prononcée pour la solennité de la clôture des fêtes de la béatification du B. Pierre Canisius, V, 427 et suiv.; du B. Charles Spinola, VI, 244 et suiv.; homélie prononcée en l'honneur du B. Pierre Lefèvre, VIII, 65 et suiv.

Origines de la compagnie de Jésus semblables par leur entier développement, aux origines du monde et du christianisme, VIII, 65 et suiv.; connaitre les premiers auteurs de cette compagnie, c'est connaître la compagnie entière, dans son esprit, dans son but, etc., 69; nécessité de conserver le généralat du Jésus et le collége romain contre les lois spoliatrices du gouvernement italien, VII, 488, 489.

Eloge de la compagnie de Jésus; elle doit être aimée de tous les bons prêtres, I, 525; II, 16, 17; services qu'ils ont rendus à la ville de Poitiers, en particulier celui de l'éducation; leur collége de Montmorillon sous la Restauration, II, 105 et suiv.; résidence rétablie dans la ville épiscopale, 545; ils reprennent à Poitiers leur fonction primitive, l'enseignement de la jeunesse que leur avait confié Henri IV; leur présence dans cette cité contribuera à maintenir son antique renommée littéraire, 438; la société de Jésus est fidèle à l'enseignement de la philosophie; elle prend la défense des droits de la raison humaine, II, 442; ils travaillent en Poitou au maintien de l'orthodoxie contre le protestantisme et le jansénisme, V, 558; VI, 325; paroles d'encouragement et de consolation adressées aux novices espagnols, chassés d'Espagne et retirés à Poitiers, VI, 250, 254. Jésus-Christ. Exposition des preuves de la divinité de Jésus-Christ puisées dans l'ancien et le nouveau Testament, dans l'enseigne

ment de l'Église, dans l'histoire de la conversion des nations, V, 99 et suiv., 243 et suiv.; saint Hilaire s'élève contre ceux qui prétendaient que Jésus-Christ ne s'était pas affirmé Dieu; il établit cette vérité sur le témoignage même de Jésus-Christ, 103, 104; le monde entier s'est ému à la négation de la divinité de Jésus, qui est Dieu venu dans son œuvre, Dieu avec nous, 128; blasphèmes contre la divinité de Jésus-Christ dans notre siècle, IV, 584; c'est aux prêtres de proclamer la royauté divine de Jésus-Christ, d'annoncer ses grandeurs et de maintenir ses droits, II, 342; sa généalogie selon la chair (S. Matth., I, 1 et suiv.), II, 200 et suiv.; sa venue était nécessaire pour que nous pussions devenir nous-mêmes enfants de Dieu; Bossuet l'enseigne après saint Augustin et saint Thomas, VIII, 225; depuis cette venue, nous sommes les membres de son corps; force des liens qui nous unifient avec lui, 227; honneur qui en résulte pour nous, 228; il est le chef de toute la création, le type et l'exemplaire de tous les êtres créés, IV, 489; V, 22, 130, 134, 432; il exerce une véritable et suprême royauté sur toutes les sociétés, III, 544 et suiv.; dire qu'il n'est pas le Dieu des peuples et des sociétés, mais seulement des individus, c'est dire qu'il n'est pas Dieu, VI, 434; homélie prononcée en la solennité de saint Hilaire sur l'étendue universelle de la royauté de Jésus-Christ, VIII, 56 et suiv.; son sceptre est un sceptre d'amour et de doctrine, de puissance et de force; développement de cette vérité par saint Hilaire, VII, 538 et suiv.; sa promesse de reconnaitre devant son Père ceux qui l'auront confessé devant les hommes; commentaire de ces paroles par saint Hilaire, VIII, 77, 78.

Incorporation des hommes à Jésus-Christ; priviléges et obligations qui en résultent pour nous, V, 140, 144; la régénération spirituelle de l'homme a été le prix de ses grands travaux, II, 385; doctrine sur la valeur de ses satisfactions surabondantes pour la rédemption des hommes, source des indulgences, I, 272, 273; III, 71, 72, 78; la grande nappe qui fut montrée à saint Pierre à Joppé, figurait le corps de Jésus-Christ qui aspirait à s'adjoindre ses membres séparés, IV, 600; efforts du démon pour détruire ce corps, temple divin dont la restauration devient le principe de la restauration de toutes choses, 492; relique du saint sang de Jésus-Christ; preuves de la conservation de cette relique dans l'église de Mantoue, 554, 552; en dehors de JésusChrist nous ne connaissons pas de messie, de révélateur, de sauveur, et Dieu et Jésus-Christ ne se trouvent pour nous que dans l'Église, I, 403; Jésus-Christ restera éternellement la pierre angulaire et fondamentale de l'Église, mais pierre cachée, impalpable à nos mains, II, 469 et suiv.

Comment s'abaisse en nous le rayon de la lumière éternelle, à

mesure que Jésus-Christ est abaissé et déprimé dans nos âmes, III, 635; comment on peut faire du progrès dans la connaissance de Jésus-Christ, VI, 448, 449; le connaître, c'est posséder la connaissance de tous les mystères de la foi chrétienne, 447; causes pour lesquelles on fait si peu de progrès dans la connaissance de Jésus-Christ, 444, 450; signification de ces mots de Pilate Ecce homo; Jésus résumait en lui toute la race humaine, VII, 644; Jésus-Christ modèle des pauvres, III, 649; attraits de l'enfance de Jésus, VII, 348, 349; il a été le restaurateur de l'homme déchu, par sa rédemption, par sa grâce, 351; il est l'homme parfait, parce qu'en lui l'humanité a été refaite par la divinité, 349; le moyen de posséder Dieu, c'est de le saisir par JésusChrist, 350; les riches charitables représentent Jésus-Christ dans sa gloire; les pauvres dans sa vie passive, II, 613; commentaire de ces paroles de saint Jean: Ego sum pastor bonus, VI, 383, 384, 385; doctrine impie et sacrilége des philosophes rationalistes sur la personne de Jésus-Christ, II, 368 et suiv.; l'histoire de l'humanité, de l'Église surtout, n'est que l'histoire de Jésus; la vie de chaque élu, de chaque saint est un chapitre nouveau de la vie de Jésus, V, 166, 167, 168.

Jésus (Sacré-Cœur de). Homélie prononcée pour la clôture de la neuvaine au Sacré-Cœur de Jésus, à l'intention de l'Église et de la France (octobre 1870), VI, 603 et suiv.; rien n'est plus fondé en raison, rien n'est plus conforme aux doctrines de la foi que le culte du Sacré-Coeur; développement de cette vérité, 609, 640; remarque de saint Augustin sur le côté de Jésus, ouvert par la lance, 644; le Sacré-Cœur de Jésus est le sommaire substantiel de tout le christianisme, 613.

La fête du Sacré-Cœur de Jésus est la quintessence même du christianisme, l'abrégé et le sommaire de toute la religion, III, 48; cette dévotion est révélée par Jésus-Christ lui-même à sainte Gertrude et à la bienheureuse Marguerite-Marie, 43; la France a toujours pris une grande part à la propagation du culte du Sacré-Cœur, soit par ses évêques, soit par ses écrivains, 44; la fête étant restée facultative jusqu'à nos jours, le pape la rend obligatoire, sur la demande des évêques français, 44, 45; fruits que la France a retirés et doit retirer encore de la dévotion au Sacré-Cœur, III, 48, 49; VI, 644; le culte du Sacré-Cœur est une des richesses nationales de la France, VII, 549, 550; l'église de Loigny placée sous le patronage du Sacré-Cœur, VII, 337.

Indulgences accordées, par un décret du 8 mai 1872, aux fidèles qui sanctifient le mois de juin par des pratiques pieuses en l'honneur du Sacré-Cœur, VIII, 151, 452.

Nom de Jésus. Explication de ces paroles de saint Paul : « Au

nom de Jésus tout genou doit fléchir au ciel, sur la terre et dans les enfers », VIII, 60, 61.

Voir Incarnation, Sauveur, Verbe, Notre-Dame du SacréCœur.

Vie de Jésus par Renan; condamnation de ce livre rempli de blasphèmes. Voir Renan.

Jeune. La mitigation du jeûne n'emporte pas l'abolition du reste de la discipline quant à la nature des aliments, etc., VII, 280, 281; le jeûne public est demeuré en vigueur chez tous les peuples pour les nécessités publiques, 149, 450; Dieu s'est souvent laissé fléchir par cette marque de pénitence, 465; le jeûne contribue à l'efficacité de la prière, VIII, 5, 6; le jeune corporel ne saurait obtenir grâce pour les intelligences indociles aux définitions de l'Église et obstinées dans leurs préjugés, VIII, 29. Jeunes hommes. Discours prononcés au cercle catholique de Poitiers, I, 164 et suiv., 303 et suiv.; expressions tout à fait particulières dont se sert l'Écriture sainte en parlant d'eux, 164 et suiv.; respect des jeunes gens envers les vieillards, 473; quel doit être leur zèle à se préserver du péché et à se relever de leur chute, 289, 290; le jeune homme ne se suffit pas à lui-même pour s'élever aux sublimes et difficiles hauteurs de la vertu et de la perfection chrétienne, 177, 178, 646, 617; mission de la jeunesse dans la société actuelle, 303 et suiv.; la jeunesse catholique et lettrée de nos cités doit obéir avec amour à la direction du chef de l'Église; bref de Pie IX au cercle catholique de Paris, VI, 478; le B. Berchmans modèle des jeunes gens, V, 512 et suiv. Voir Éducation.

Joinville (le sire de). Trait remarquable de sa vie pour l'observance du vendredi, VI, 276.

Josaphat (saint), archevêque de Polosck. Vote pour sa canonisation, VI, 78, 79; opportunité de cette canonisation, 84, 82. Joseph, fils de Jacob. Il est une des plus grandes figures de JésusChrist, VII, 470; et il figurait aussi le vicaire de Jésus-Christ, 474 et suiv.; l'application en est faite à Pie IX, 175, 176; rapports entre Joseph, fils de Jacob, et saint Joseph, père nourri- • cier de la sainte famille, 147, 132, 133.

Joseph (saint), époux de Marie, mère de Dieu. Instruction pastorale et mandement portant promulgation d'un décret apostolique qui attribue à saint Joseph le titre de patron de l'Église universelle, VII, 443 et suiv.; histoire du culte de saint Joseph; raisons qui en ont pu retarder l'extension; ses fondements reposent sur l'Evangile et sur des raisons théologiques concluantes, 116, 117; l'augmentation de la gloire terrestre de saint Joseph annoncée au xve siècle, 117, 148; il est, dans un sens élevé et très-vrai, le chef et le père des membres du corps mystique de Jésus-Christ, 129; il est la providence temporelle des maisons

religieuses; dévotion de sainte Thérèse envers saint Joseph, 128, 129; aperçu historique sur ses fêtes, 123, 124; Clément XI compose son office, 124; son nom est inséré dans les litanies des Saints après celui de saint Jean-Baptiste par Benoît XIII; analyse de la dissertation canonique et théologique du cardinal Lambertini touchant cette insertion, 424, 125, 126; la France a produit ses plus éloquents panégyristes, 120, 124, 122; son culte établi à Chartres dès le xive siècle, IV, 84; le concile de Poitiers exhorte les prêtres à promouvoir son culte, VI, 369, 370; vœux de la chrétienté adressés à Pie IX pour le supplier de proclamer saint Joseph patron de l'Église universelle; décret de Pie IX, VII, 134, 132; dispositif du bref apostolique confirmatif de ce décret, 270, 282. Journalisme. L'Église encourage la presse religieuse à combattre la presse impie et anarchique, mais elle n'accepte pas une solidarité compromettante avec cette façon d'enseigner, II, 326, 327; elle s'est réservée le droit de conseil et d'avertissement envers les écrivains religieux, 327; difficultés pour la presse religieuse de soumettre ses écrits à l'autorité de l'Ordinaire avant de les donner au public, 327, 328; règles tracées par l'encyclique du 24 mars 1855 sur la question du journalisme, 328; le concile de La Rochelle se réjouit de la promptitude avec laquelle l'encyclique a été accueillie partout, 329; combien sont dangereuses pour la société et les familles les feuilles quotidiennes, hostiles à l'Église, 344, 345; violentes attaques de la presse irréligieuse contre le pouvoir temporel du saint-siége, II, 438, 439; III, 599, 600, 644 et suiv.; IV, 34, 33; VI, 3, 4, 7; contre l'épiscopat français. I, 144, 543, 544; III, 606; IV, 397, 399, 403, 569 et suiv.; contre les associations religieuses et les pèlerinages, IV, 349 et suiv.; VII, 585; contre le concile du Vatican, VI, 71, 72, 96, 415; elle favorise et propage le naturalisme et les erreurs philosophiques de notre époque, III, 238, 454; V, 390, 394, 394 et suiv.; elle proclame la sécularisation absolue des lois, V, 472.

Appréciation par la presse étrangère de la brochure la France, Rome et l'Italie, IV, 147, 148; combien est coupable le journalisme dit conservateur et modéré, dans la question du pouvoir temporel, 54, 63, 64; paroles de remerciement aux publicistes qui défendent le pouvoir temporel, III, 550, 551.

Éloge de la presse qui proclamait en 1874 la nécessité de retourner aux principes d'ordre et de religion, VII, 305, 306; lettre en réponse à la communication de plusieurs journaux à l'occasion du récit de la visite d'un journaliste, VIII, 95, 96. Jouin (saint), abbé d'Ansion, II, 551.

Jubilé. Instruction pastorale pour la publication du jubilé demiséculaire, I, 258; seconde instruction sur l'opportunité de ce jubilé, 308; homélie et allocution pour l'ouverture et la clôture

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