Critique philosophique, Tom 2Bureau de la Critique philosophique., 1873 |
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Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
absolument actes associationniste Auguste Comte catholicisme cause chose classes comte de Chambord conditions connaissance conscience conséquences constitution contrat social criticisme CRITIQUE PHILOSOPHIQUE POLITIQUE croyance démocratie déterminisme développement devoir Dieu dire doctrine doit donner écoles esprit facultés familistère fond force Frohsdorf général gouvernement Herbert Spencer historique hommes humaine idées jugement justice Kant l'auteur l'école l'enseignement l'esprit l'état l'existence l'expérience l'histoire l'homme l'idée Lamettrie Leibniz liberté libre libre arbitre logique lois Mahaffy maison Bonaparte manière Max Müller ment métaphysique méthode monarchie monde morale mouvement nation nature naturel nécessaire noumène objets paix passé passions pensée personne peuple phénomènes philosophie de l'histoire physique PILLON pose positivisme possible principe probabilité progrès propre protestantisme Proudhon psychologique puissance qu'une question raison rationnelle rédacteur-gérant réellement réforme religion républicain République révolution Révolution française rien RUE MIGNON science scientifique sens sensations sentiment serait seulement simple social société sorte Stuart Mill suppose système théorie thèse tion trouve universel vérité volonté vrai
Popularne fragmenty
Strona 3 - Les clauses de ce contrat sont tellement déterminées par la nature de l'acte, que la moindre modification les rendrait vaines et de nul effet; en sorte que, bien qu'elles n'aient peut-être jamais été formellement énoncées, elles sont partout les mêmes, partout tacitement admises et reconnues...
Strona 371 - ... il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature, il n'ya point de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s'en aller, et elle ne tarde pas à mettre elle-même cet ordre à exécution ». M.
Strona 380 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Strona 381 - Avant qu'il y eût des êtres intelligents ils étaient possibles : ils avaient donc des rapports possibles, et par conséquent des lois possibles. Avant qu'il y eût des lois faites , il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rie...
Strona 130 - Quand on dit, par exemple, que la loi ne peut pas aller contre le droit naturel, on emploie le mot droit dans un sens supérieur à la loi : on reconnaît un droit qui attaque la loi, qui la renverse et l'annule.
Strona 381 - Dieu a du rapport avec l'univers comme créateur et comme conservateur; les lois selon lesquelles il a créé sont celles selon lesquelles il conserve. Il agit selon ces règles parce qu'il les connoît; il les connoît parce qu'il les a faites ; il les a faites parce qu'elles ont du rapport avec sa sagesse et sa puissance.
Strona 220 - Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture,et mon sang est véritablement un breuvage.
Strona 157 - Nous n'aurons encore que du mouvement, et un mouvement, quel qu'il soit, rotatoire, ondulatoire, ou tout autre, ne ressemble en rien à la sensation de l'amer, du jaune, du froid ou de la douleur. Nous ne pouvons convertir aucune des deux conceptions en l'autre...
Strona 381 - Il serait absurde de dire que le Créateur, sans ces règles, pourrait gouverner le monde, puisque le monde ne subsisterait pas sans elles. Ces règles sont un rapport constamment établi. Entre un corps mû et un autre corps mû, c'est suivant les rapports de la masse et de la vitesse que tous les mouvements sont reçus, augmentés, diminués, perdus: chaque diversité est uniformité, chaque changement est constance.
Strona 319 - De là une objection éternelle contre le dogmatisme des partis conservateurs, un gauchissement sans remède de la conscience, une secrète perversion du jugement. Des misérables, honnis par tous les gens comme il faut, sont devenus des saints. Il ne serait pas bon que les démentis de cette sorte fussent fréquents. Le salut de la société veut que ses sentences ne soient pas trop souvent réformées. Depuis la condamnation de Jésus, depuis que les martyrs se sont trouvés avoir eu gain de cause...