Essai sur le Vêda: ou, Études sur les religions, la litérature et la constitution sociale de l'Inde, depuis les temps primitifs jusqu'aux temps Brahmaniques. Ouvrage pouvant servir d'introduction à l'étude des littératures occidentales

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Dezobry, 1863 - 476
 

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Strona 72 - Ferme et riante, tu marches la première et tu dévoiles ton sein brillant. Pareille à la jeune fille que sa mère vient de purifier, tu révèles à l'œil l'éclatante beauté de ton corps. Aurore fortunée, brille par excellence; aucune des aurores passées ne fut plus belle que toi...
Strona 429 - Vous connaissez celui qui a fait toutes ces choses; c'est le même qui est au dedans de vous. Mais à nos yeux tout est couvert comme d'un voile de neige : nos jugements sont obscurs. Et l'on s'en va, offrant des holocaustes et chantant des hymnes.
Strona 92 - Je prends cet arc dans la main du trépassé pour notre force, notre gloire, notre prospérité. 0 toi, voilà ce que tu es devenu. Et nous, en ces lieux, puissions-nous être des hommes de cœur, et triompher de tous nos superbes ennemis ! 10.
Strona 317 - Pindas 3, et je les jette au foyer d'Agni. 20. (0 coursier), quand tu vas (vers les dieux), ne te chagrine pas de ton sort. Que la hache ne s'appesantisse pas longtemps sur ton corps. Qu'un barbare et indigne victimaire n'aille pas, par ignorance, taillader tes membres avec le fer.
Strona 224 - Livres saints, et de *ne pas s'abandonner aux plaisirs des sens. Soigner les bestiaux, donner l'aumône, sacrifier, étudier les Livres saints, faire le commerce, prêter à intérêt, labourer la terre, sont les fonctions assignées au vœçya. Mais le souverain Maître n'assigna aux cûdras qu'un seul office, celui de servir les classes précédentes sans déprécier leur mérite.
Strona 93 - Sois pour lui prévenante et douce. 0 terre, couvre-le, comme une mère couvre son enfant d'un pan de sa robe. Que la terre se soulève pour toi ; que sa poussière...
Strona 425 - Le ciel est mon père, il m'a engendré. J'ai pour famille tout cet entourage céleste. Ma mère c'est la grande terre, la partie la plus haute de sa surface, c'est sa matrice.
Strona 84 - ... des rapides Maruts, ces vents légers du matin que précipitent les premières chaleurs du soleil. Ces Maruts, enfants de Rudra, le pleureur, sont d'une mobilité extrême : debout sur des chars traînés par des antilopes, ils vont entre le ciel et la terre ; chargés des vapeurs humides de la rosée, ils s'élancent, habiles archers, armés du glaive; l'aigrette au front, le carquois sur l'épaule, prêts à frapper la nue pour en déchirer le sein fécond; légers et forts, ils courent, ils...
Strona 251 - J'avais répondu à son appel ; il m'a donné des milliers de parures; il a voulu que je fusse orné comme un seigneur. » Qu'on attelle aussi à mon char les beaux et brillants chevaux de Dwanya, fils de Laxmana. Que les richesses viennent avec grandeur vers le risi Samvarana, comme les vaches viennent au pâturage.
Strona 237 - L'Aurore disperse les ténèbres de sa sœur, Elle fait rouler son char sous d'heureux auspices. HYMNE XXXI. SACRE D'UM ROI, PAR DHRODVA, FILS D'ANGIR AS. (Mètre : Anuuchloubh.) 1. Je t'ai amené au milieu (de nous). Sois ferme; soutiens-toi sans trembler. Tout le peuple te désire. Que ta royauté ne chancelle pas ! '2. Croîs en grandeur. Ne tombe point; (sois) comme ure montagne inébranlable.

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